Lecture de Gilles Lades, note de lecture publiée in Verso N° 191, juillet 2022
Le poète, au seuil de la nouvelle page et du nouvel ouvrage, pense au lecteur, « inconnu aveugle qui est là et attend ». Poète et lecteur sont initialement pris dans des sortes de limbes dont seul l’acte téméraire d’écrire permettra de sortir. Un nouvel ouvrage est l’occasion de défier « l’étrangloir » où toute voix se brise.
Le premier mouvement, « Dans l’incertain du monde », ne sera que vie revécue et interrogée, épreuves à sonder et à surmonter. En ce point, en ce lieu, le poète est un homme noué, seul, avide du « lin blanc des paroles », mais menacé par un « grand pin rougi de foudre ». Pourtant, au moment d’une possible rupture, viennent des images de matin ouvrant sur « un passage étroit entre ciel et pénombre ». Alors se dessine le souvenir de la mère, accompagnée sur le chemin de sa solitude. Les pages qui suivent sont toutes d’absence, d’accablement, le temps d’attendre et d’accepter qu’ « un nouveau jour se lève ».
Des mots prennent un relief particulier : « voix », « rien », et chacun d’eux relance la parole et la texture des images. Le poète cerne ce qu’est l’obstination à vivre, ce qu’est la saisie du sentiment de l’existence. De nombreuses et obsédantes anaphores répondent à cette pulsion de dire. Le mouvement enclenché va à son épuisement, à son apaisement de vagues. Et le propos passe de l’adhésion anxieuse ou plénière au monde (« tout sentir, de toutes les façons, à petits traits, par intervalles ») au regard aigu posé sur soi : « Tu vis du sentiment que tu n’es rien aux yeux indifférents du monde, que l’ombre d’une silhouette qui t’effraie ». Le monde, notons-le, est aussi la planète actuelle en péril : « Ces temps veillent en pleurs au chevet de la vie unanime ».
Dans le second mouvement, « S’essayer à vivre plus loin », le poète prend le parti de l’affrontement : « Pas qui gravit, marque sa crête pour ne pas descendre au ravin ». En son cœur, cette marche est la capacité à ne plus même viser un but, mais à se prouver qu’aller vaut de soi, par soi. Etre et d’abord vouloir être.
Après ce temps d’âpreté, vient l’apaisement, l’immersion dans un monde fraternellement uni au poète : « Cette lumière, comme un chaleureux battement de poitrine ». Le poète appelle de ses vœux « un cœur capable d’occuper à lui seul le silence quand tout bruit sera consommé ». L’auteur dégage une leçon de sa déambulation inspirée : se scruter revient à scruter le monde, l’un rend capable de l’autre.
Et le poète termine ce second mouvement en consentant au silence, pas le silence abstrait d’un regard perdu à l’infini, mais le silence qui sonde l’instant présent au pied du ciel étoilé, non sans quelque amer arrière-plan, « comme brûle un rosier noir qui a pour fleur l’éternité ».
Lorsque s’ouvre la troisième partie, « Travailler à l’offrande », le poète est affronté « à la peine, au doute et à la mort ». Il se livre, « comme une branche dans le feu », non sans risquer autour de lui des regards de sauvegarde afin de rassembler les bribes de tout ce qui fait sens. Il dessine sa renaissance « pour le seul bonheur de survivre à la misère du renoncement ». Insensiblement, il se coule dans le renouveau des choses. Son désir est « le jour le plus simple ». L’avoir désiré le rend réel. Le poète sait gré à ce « miracle d’une allégresse ». « Offrande » est le mot répété de la fin, offrande le rassemblement de ce qui fait monde autour de l’épreuve et de la grâce de vivre. Grâce qui n’a pas de meilleure image que la lumière, mise en exergue par le titre, extrait du recueil « Triptyque », de Silvaine Arabo.
Ouvrière durée, Gilles Lades – éditions Le Silence qui roule (2021)
Lecture par Michel Diaz, in ce blog (mai 2021) et in Terres de femmes , mai 2022
Ce récent opus de Gilles Lades, Ouvrière durée, est composée de cinq sections :I. Du profond de soi ; II. Une brassée de chemins ; III. Reflets de ciel et d’eau ; IV. Des mots dans les mains ; V. Personnes. Et sans doute y voit-on déjà quel mouvement l’anime.
J’emploie le terme « composé » au sens musical de ce terme, car cet ouvrage (qui n’est pas un simple recueil de textes mais un livre pensé et conçu comme un tout rigoureusement charpenté), nous offre l’exigence d’une partition musicale : exposé d’un thème initial qui sera décliné en multiples variations, repris, développé selon des tonalités différentes, variations aussi de rythmes ou d’harmonies, variations encore de tempos et de couleurs de voix que soulignent la disposition typographique des vers et l’ordonnancement des strophes…
Le recueil, qui s’ouvre donc par Du profond de soi, titre on ne peut plus évocateur, commence par un poème qui nous donne d’emblée le premier thème du recueil : L’âge / en ce jour / crispe le cœur // que reste-t-il / chez les morts et les vivants / de tes refus de tes sarcasmes de ta fuite / de ton élan fermé ? Question introductive en forme de bilan de ce qu’a laissé une vie qui marche désormais sur la pente plus raide des jours, ces jours-là / frappés d’inutile, et s’avance à voix grave comme sonneraient les premières mesures d’un De profundis, ou comme sonneraient aussi les mots d’un Memento mori, portés en des vers courts par un sourd, sombre et lent largo qui ne peut que nous poindre le cœur.
Et comment en serait-il autrement, à l’heure de cet âge humain devant lequel l’Abîme se promet, puisque le poème qui suit ne peut que constater : A l’aube / une peur s’empare du sang / le dernier rêve s’enfuit / comme l’oiseau de la ruine noire, que l’angoisse continue de vriller son cristal de glace / de percer les volets / d’entrouvrir la mémoire / sur la lumière opaque.
Question frappée du sentiment de la précarité existentielle, que le poète ne pourra que retourner dans tous les sens, partagé entre crainte, impuissance et détresse devant l’inéluctable qui s’annonce et dresse son mur d’ombre. Heure incertaine, comme l’on dit de celle « d’entre chien et loup », révolte vaine où sombre toute certitude : tu ne sais plus ce qui se décide / du chêne qui va mourir ou de celui qui, vert, triomphe / alors que les sonnailles sont toute la vie / et qu’un cri d’homme hésite entre appel et colère. Indécision d’autant plus grande qu’aujourd’hui / la pendule seule / inépuisée / guide ton souffle et ton pas.
Ces mots sont ceux que dictent l’expérience de la perte, l’assèchement de l’être, la tentation de l’abandon peut-être, ceux de la douleur abrasive et désespérante du temps, Pourtant, lit-on aussi, dans les mêmes pages, comme les contredisant aussitôt : Le corps refuse / l’abandon / au temps profond / comme la mer sans vagues / mais animée d’une vie de pâte à pain / d’un souffle sûr d’élargir son aire /aux limites mêmes de sa force. Ainsi se traduit, en une inversion positive, le passage de la perte à un flux intérieur que le poète, loin d’y renoncer, travaille à restaurer puisque, écrit-il encore, bien sûr les vergers / sont assiégés de friches rancunières / bien sûr le jardin est au fond d’escaliers / tranchants comme des lames // mais ta parole / un jour a valu d’être dite / et tu veux qu’elle reste vive / comme un vin avide d’air et de lumière.
Dès les premiers poèmes du recueil apparaissent donc les éléments du deuxième thème qui seront développés dans la section suivante, Une brassée de chemins. Ces chemins, ce sont ceux qui s’ouvraient, intracés encore et obscurs, sous les pas de celui qui, jeune homme, cherchait à survivre dans le printemps désert, souvenir d’un lointain lui-même à qui s’adresse le poète : un poème parfois /bouge en toi comme un arbre / pantelant d’orages. Souvenir de cet âge où, à la fourche des chemins, s’ouvraient tous les possibles et où la vie s’offrait comme l’unique risque à prendre : Jeune j’étais / à la pointe de la course et du cri // prêt à sombrer dans la ravine / à la moindre mégarde // je suivais les pistes les plus âpres / ignorant si le terme était le but / ou quelque borne aléatoire. Nulle nostalgie cependant, chez l’auteur, ni regret des chemins qu’il n’aura pas su ni voulu emprunter, car si je n’avais qu’un chemin / le sang de la hâte // ce temps-là reste vrai / comme un interminable printemps.
Ces pages posent là, non souvenirs revisités, mais éléments d’une géographie qui ont nourri la rêverie de ses errances, balisé ses chemins de vie, tout ce qui a entretenu autant son rapport au monde et aux choses que contribué à créer son espace intérieur : arbres nus et lointains horizons, murets de vieilles pierres qui servent à parquer les bêtes, bois, clairières, villages, hautes herbes sèches, créneaux de roche et de feuillage… Tous ces fragments de paysage, ces recoins d’enfance, comme ces gestes qui reviennent, dans ces textes, témoigner de cette traversée nocturne des années qu’est la si lente quête de soi-même, de ce travail de terrassier et de carrier qu’est l’écriture poétique quand elle cherche à déboucher à l’air libre.
Certes, puisque comme toujours, plus que jamais, la mort menace, que la vie désormais n’est plus que ce trop peu, devant, que lui accorderont encore les années, tu devras maintenant, écrit Gilles Lades, chercher ton chemin / à la lumière de lampes frêles// tâtonner vers le son de l’âme / en attendant que le bleu d’avril se reforme, Mais bien que la lumière s’apprête à nous quitter, il faut pourtant encore, et sans relâche, travailler à faire histoire avec l’esprit du lieu / et se nouer à l’ouvrage insatiable des heures. Poursuivre, sans relâche, pour demeurer vivant, la tâche de célébration des beautés de la nature et du monde. Poursuivre, jusqu’en ses extrêmes limites et ressources du corps et de l’esprit, ce qui fonde la justification de cette « ouvrière durée ». Conserver, jusqu’au bout, ce regard de ferveur première comme ressource d’espérance qui permet si le malheur / pose un pied large devant toi de regarder vers la fenêtre, d’ouvrir toutes les fenêtres / dans le profond et le lointain, et d’imaginer un instant / les poignées du blé céleste / crissant de sauvegarde aux angles de la nuit.
C’est dans la troisième section du recueil, Reflets de ciel et d’eau, située au centre exact de l’ouvrage, comme en un cœur battant où s’apaisent les dissonances, que le poète opère la synthèse des deux premiers thèmes dont nous avons parlé. Ni abandon à la douleur de la séparation ni résignation amère à la perte, mais démarche d’acceptation sereine (que l’on devine lentement conquise sur soi-même), qui tâche d’épouser toujours le simple bonheur d’exister. Ou se tourne vers quelque ineffable consolation dont le nom se dérobe à la langue de la raison et ne prend tout son sens que dans nos intimes prières: là-haut dans les croisées la solution suprême / la lumière presque oubliée / jusqu’à soi venue / méritée sans savoir / comme un battant de cachot / poussé sur la totale liberté.
Le titre de cette section, évocateur en son image de la musique de Debussy et de sa poétique, nous laisse deviner sans peine dans quel creuset lyrique se mêleront, s’y confondant, les accents de la pure mélancolie (celle, sombre sans doute mais active, de la rêverie où puise l’inspiration créatrice, au plus près de la vérité profonde de l’être, de ses tourments, et de ses mystères enfouis), et l’émerveillement devant les manifestations de la beauté du monde, fussent-elles les plus humbles, comme celle de cet arbuste aux fleurs rouges / (qui) te sidère d’extase. Comme celle de ce rouge-gorge dont l’art est de surgir des buissons de brume / et de vibrer de vie.
Lisant aussi ces vers, tu crains que le couchant / ne renonce à l’aurore / pour s’être couché dans la nuit, on ne peut que reprendre les mots de Gérard Paris, écrits à propos d’un autre texte (Témoins de fortune) mais qui épousent au plus juste notre réflexion : « Entre vie et mort, l’homme dissident, portant la marque d’une écorchure n’a pour seuls viatiques que le frémissement de tout et le souffle donné, et se trouve face à un dilemme : l’exil ou la présence. De l’attente à la splendeur, du tranchant de lumière au glissement de l’ombre tout s’unit dans l’absence et se défait dans les bleus replis de l’inconnu. » A quoi Gilles Lades semble répondre ici : pourquoi dire encore je / alors qu’il s’agit d’aller le long d’arbres / et d’atteindre un toit sombre / à mi-chemin de l’adieu.
Annoncé par quelques réflexions semées ici et là dans les précédentes parties, le troisième thème de ce recueil, celui de l’écriture poétique, occupe la section intitulée Des mots dans les mains. Et s’y pose d’emblée la question du poème, ce qui se passe dans le for intérieur du poète, de la nécessité de ce qui cherche à advenir, avant même que son chant ne prenne forme, dans ce blanc vierge de l’attente, et ce blanc néant du silence qui toujours inquiète la voix qui a su trouver les mots pour l’écrire :Poème pressenti / par l’émotion à goût de fer / un soir si plein de tous les morts enfin réconciliés // (…) si souvent tu t’es cru déserté de parole / de la sonorité tout à part soi / que tu tressailles à la nouveauté / un instant vierge de mots.
Mais chez Gilles Lades, comme chez tout authentique poète, il n’est qu’un chemin / celui du mot / germé comme un safran d’un été de fournaise. Un germe étrange qui nous sauve. Et il écrit encore, à propos des paroles qui donnent chair à ce qui dérobe encore à la pleine conscience : leur chant se risque / comme un pas / enivré d’une ronde. Car la poésie de Gilles Lades, depuis l’âge premier / où chaque lettre éveillait une phrase / dont on ne voyait pas la raison, est aussi poésie dans laquelle le poème, fagot de hâte, est expérience où la parole se risque vers ce qu’elle ignore de ce que se tient devant et qui la tire toujours plus avant. C’est là aussi, pour ce qui le concerne, une mise en rapport avec l’inconnu, avec ce qui disparaît dans son apparaître, avec l’instant quand il est ce qui coupe. Instant qui est également ce qui, comme l’aube est déchirure qui renouvelle, prise et déprise. Instant de grâce, qui cherche à s’emparer du vif / ailes battantes sauvagine, dont il faut conserver intacte la trace de l’imprévu surgissement, mais qui ne saurait s’épargner le lent travail de mise en forme du poème, puisqu’il s’agit d’abord de défricher un peu d’espace et de temps / pour qu’y lève le chant. Alors, le poème attendra / que l’œil vienne vingt fois ranimer les ratures / les maintienne en constante lumière.
Pour Gille Lades, le travail d’écriture est travail d’une force qui vient d’ailleurs, d’avant le poème et que le poème ne parviendra pas à limiter. Cette force, attentive à la beauté du monde et à la présence des êtres, est ce qui le sauve des tourments que l’on sent constamment à l’œuvre en arrière-fond de ses textes, comme ceux qui ouvraient ce recueil, ces ombres qui ne peuvent que peser sur nos nuques humaines, puisque marcher attendre voir / se chevauchent sans but // et qu’être se perd parmi le dérisoire.
Le recueil s’achève sur la si émouvante section intitulée Personnes. Employé au pluriel, le mot désigne ceux, ces quelques-uns, que croise encore le poète dans les rues ou sur la place des villages, et ceux, absents, chers disparus dont le souvenir, à demi-effacé, du visage et du timbre usé de la voix (ou le silence de leur bouche close), viennent hanter ces pages, ombres furtives comme sont les fantômes sur les photos qui raniment des braises de mémoire : Photos / condamnées aux tiroirs // photos d’où monte un sourire / qui devient nôtre.
Mais nous citions plus haut ces vers dans lesquels le poète s’interrogeait sur la nécessité de dire encore « je ». Et c’est alors le pronom indéfini « personne » qui transparaît dans le mot-titre puisque privés, au long des ans, de ceux que nous avons aimés, le monde se dépeuple, que l’heure est froide comme pierre, même si la pluie donne / un reste de soleil. Le « tu » vocatif, le double du poète, si souvent invoqué dans ces pages, a laissé place au « il », mais suffisamment tenu à distance pour n’être plus que l’homme, figure dirait-on dissoute du poète qui ne semble plus qu’aspirer à se fondre dans cet anonymat : l’homme assis ne sait plus / quelle piste l’appelle / quels arbres / le consoleront d’abeilles. Et même encore si l’ancien temps résiste / comme un pont bombardé, même s’il continue, ayant presque tout épuisé des chemins d’attente et de désir, d’aimer le poids du jour / et sa couleur jamais la même, et même si ses mots pourtant vivent toujours / à la manière des moineaux / venus en foule à la fenêtre, « l’homme » semble accepter de quitter la scène des jours, comme l’on marche à reculons, sans savoir si sa maison conservera la lumière / qu’il a fermée derrière lui,.
S’effacer lentement de la scène du monde, ayant fait de douleur et joie ses complices, alors que le souffle errant de la forêt se pose sur la peau, que l’on croit encore pouvoir se nourrir d’éternel / à la moindre douceur de ciel, est-ce cela que l’on désigne par le mot par ailleurs si mal employé de « sagesse » ?
Mais laissons Gilles Lades répondre lui-même, avec ses propres mots : « Aujourd’hui, l’Ouvrière durée est un temps de patience qui ne veut pas se devancer, qui accepte et reçoit le poème comme le cadeau d’un jour de plus, qui nous bâtit autant que nous l’inventons. Le passé revient, tamisé de sagesse, le visage (le sien propre et tous les autres) n’en finit pas de s’approcher et la voix, la juste voix, est plus que jamais traquée, au secret des pas, au hasard des haltes. Alors que défile la splendeur du monde, sublime routine, indéfinie redécouverte. »
Dans La pièce du bas, Gilles Lades dessine le portrait d’un petit garçon, sensible et rêveur, pour qui le réel n’était pas assez grand. Dans le cas de celui-ci, vouloir en déplacer les bornes, poussé par « un instinct d’évasion (qui) impulsait puissamment ses horizons derrière (son) front« , sans en connaître les enjeux ni en mesurer les limites, cela ressemble à un parcours initiatique (au sens étymologique du terme) qui pourrait aussi bien tourner à l’aventure poétique, ou à « un engagement dans la vie (qui) vaut acceptation de l’existence quand elle vient vers vous, comme une vague, une tempête, un moment de solitude qui vous ravage et vous transforme« , autrement dit à ce qui a haute valeur d’expérience humaine.
Voilà donc un petit livre indissociable, lui aussi, de l’œuvre poétique de l’auteur. De la ville, Castelsarrasin, à ses proches lointains, le Quercy, Gilles Lades nous invite à un voyage personnel tout autant intérieur que spatial. Voyage en cercles concentriques, marqué d’allers-retours, imaginaires et réels, cheminement d’une conscience au monde qui va s’élargissant depuis son centre « originel », cette pièce du bas, jusqu’à un horizon perçu comme un « appel » irrépressible. Un appel très tôt entendu, pour ce que cet « ailleurs » supposait de promesses, comme un territoire de liberté qui lui permettrait de « vivre dans un espace et un temps choisis, occupés d’humains juste assez nombreux pour que le monde soit dépourvu de contraintes. » Appel à un voyage d’un ici étroit vers un vaste là-bas entrevu autant que rêvé, d’un proche et terne quotidien scolaire vers un lointain envisagé comme « le pays de l’ailleurs et de l’inaccessible. » Cet « ici » et « là-bas », ce « proche » et ce « lointain » s’entrelaçant au cours des pages et autorisant, dans la même coulée du texte, « ces surgissements conjoints », ainsi que l’écrit Chantal Danjou à propos de Quercy de roche et d’eau.
« Une enfance à Castelsarrasin », ce sont les quelques mots que le bandeau du livre offre à l’attention du lecteur. Et une fois le livre ouvert, on lit ces quelques autres: « Il y eut trois maisons…« . Cela commence, presque, comme un conte. Comme en d’autres histoires, il y a trois fils ou trois filles, et quelque espace de forêt où l’on n’ose s’aventurer. Trois maisons successives. La première, aux « pièces étroites », à l’escalier « à rampes droites » donnant sur « une place ouverte » occupée par une entreprise de matériaux, gardée par une rue encombrée de camions, un « vide lancinant » sans échappées possibles, la deuxième, « pavillon en rez-de-chaussée ouvert sur un jardin à la française » que le soleil « agrandissait de liberté », et la troisième, « grande et claire » pourvue, à l’arrière, d’une terrasse qui « s’ouvrait sur un maillage de jardins ». A chacune de ces maisons, des rues rectilignes, d’abord, un « canal enjambé d’un pont », un horizon fermé, puis le simple bonheur d’un jardin, d’un appentis qui recelait de « périlleux trésors », la découverte d’un vélo rouillé, vieil engin hors d’usage, annonciateur de la passion future de l’auteur « pour les modèles plus accomplis de cette souple et puissante machine », puis, plus tard encore, une Nationale de tous les dangers à franchir héroïquement pour aller au-delà, plus loin, vers une autre école. Trois espaces de vie d’une enfance, qui s’ouvrent lentement, l’un après l’autre, et qui vont en s’élargissant comme une étreinte se desserre, même si, « bien des fois, nous confie le narrateur, le chemin de l’école (lui) parut d’une austérité sans recours, comme si ce lieu d’échanges et de savoir heurtait » sa sourde faim de liberté. C’est pourtant dans cette troisième maison que lui est offert un espace, comme « au centre du monde », où vont s’alimenter la source de ses rêveries et fleurir son imaginaire: « Ma pièce était là, au bout du couloir, et le bureau qui l’occupait et m’a suivi depuis porte de chaque côté des tiroirs à l’étrange arôme de bois et de vieux papiers. » C’est dans cette pièce, ajoute-t-il, qu’il pressentait « que le silence et les livres faisaient œuvre en (lui)« , que se cristallisait, à son insu, tout ce qui, par la suite, le déterminerait dans sa vie d’homme. Ces premières pages de La pièce du bas balisent ainsi, métaphoriquement, les premières étapes de ce lent cheminement de découvertes et d’aspiration à ce « désir absolu de liberté« , c’est-à-dire de ce qui fonde l’œuvre poétique et romanesque de son auteur.
Pour parler de son enfance passée à Castelsarrasin, Gilles Lades n’emprunte que bien peu aux procédés usuels de l’autobiographie. Si l’on ne doute pas que répondant à l’impératif initial du « pacte autobiographique » (tel que l’a défini Philippe Lejeune), le « je » du narrateur épouse celui de l’auteur, comme on ne doute pas non plus de sa « sincérité », condition essentielle de pareille entreprise, les autres termes de ce pacte font l’objet d’une bien plus libre utilisation et s’en affranchissent pour mieux répondre à une autre démarche, celle, poétique, d’un écrivain qui construit son « objet » et invente sa forme. En effet, la chronologie est certes soulignée par des repères temporels (passage des jours, des mois, des années, retour des saisons, des temps de vacances, de rentrées scolaires), mais la seule date qui soit indiquée est celle de l’hiver 56 dont il garde « en mémoire le bloc de glace scellé dans le bac à lessive ». La ville n’est jamais non plus explicitement désignée, pas plus que ne sont désignés par leur nom les rues, les places, les écoles ou le premier collège, et si la région du Quercy est souvent évoquée, c’est avant tout comme un lointain espace d’évasion, « une vallée aux falaises blanc éclatant et feu longée d’une claire rivière, le Célé », une terre en grande partie fantasmée par l’esprit de l’enfant, un pays aux contours incertains et détenteur d’un charme magicien, comme l’est le pays de Sologne dans le roman d’Alain Fournier. Les protagonistes de ce récit (mise à part« Madame Jacquin, la voisine de palier« ), jamais nommés non plus, ne sont présents que par leur qualité et leur fonction d’actants, le père, la mère, les grands-parents, telle « institutrice, coutumière de furieux éclats de voix », ou « tel instituteur irascible, élégant et tendre ». Aucun indice non plus (sinon par hasardeuse déduction), du statut social de cette famille dans laquelle grandit l’enfant, ni « portrait » d’aucun de ses membres, et excepté pour la personne du grand-père (figure très présente dans le livre, parce que personnage de « passeur », en relation directe avec le Quercy tant rêvé), ou ci ou là, pour d’autres, d’une plume furtive, Gilles Lades ne s’attarde pas à nous en donner quelques détails physiques ou de caractère.
Enfin, nous ne trouvons au long des pages aucun fil narratif continu, à proprement parler, enchaînement d’événements et de situations, et bien peu d’anecdotes qui constitueraient la trame du récit de ces temps de l’enfance. Autant dire que cet ouvrage, agencé en brèves séquences, séparées par des blancs elliptiques, posées comme les pièces d’un puzzle dont on doit inventer les manques, baigne tout entier dans une curieuse lumière, non celle, capricieuse, d’une mémoire intermittente, mais dans celle, exigeante et plus sélective d’un projet littéraire qui a fait le choix d’éclairer, dans ses flaches, des moments bien précis de l’enfance, n’en conservant que les images fondatrices, celles qui donnent sens à un cheminement d’homme, un cheminement d’écriture et son processus créatif.
Ce qui fait donc la matière même de ce livre, c’est ce que trace le sillon d’une écriture qui creuse dans ses origines. Matière de langage dans le travail des mots, révélateurs d’images que l’auteur remue, comme des fragments de mémoire, ou comme l’on choisit et rassemble des pierres pour édifier ces frêles cairns qui jalonnent le bord des sentiers des pays de cailloux et de vent. Ce sont les preuves d’un passage, les signes dans lesquels on peut lire, d’un passant à un autre, le souci du partage de ce qui, entre nous, fait chemin commun.
J’utilisais, plus haut, la métaphore de « voyage en cercles concentriques ». Le dernier qu’évoque ce livre n’apparaît qu’à la fin de ses pages. Le narrateur, adolescent, s’est rendu en vélo jusqu’aux rives de La Garonne. Et c’est là, que depuis le début de l’ouvrage ses mots nous conduisaient. Géographiquement, vers ces limites du Quercy, un autre paysage de lumière, « saturé de soleil », un horizon qui soudain s’ouvre comme se déchire un rideau sur un espace où d’autres forces se font jour, élémentaires, elles aussi: « les puissances de l’eau et de la terre, descendues des plus hautes montagnes, affirmaient leur alliance et révélaient toute la réalité d’un fleuve emporté vers la mer« . Moment de découverte stupéfaite, de grâce rare et de révélation, de ceux-là qu’il nous faut savoir accueillir, quand nous sommes prêts à les recevoir. « Révélation », dans le sens spirituel de ce terme, comme celle où chavirent les sens et l’esprit, quand le corps sue et brûle et les yeux se consument au feu d’une autre vérité. Les mots que Gilles Lades emploie pour décrire ce moment-là ne sont pas, ici, vraiment différents de ceux des expériences mystiques: « Je ressentis bientôt des picotements, comme autant de rayons distincts, puis la chaleur, d’un bloc, s’empara de mon corps. Je résistai, jusqu’au bout du raisonnable, à cette emprise. Lorsque j’ouvris les yeux, l’espace était presque noir, noir d’aveuglement. » Et il ajoute, un peu plus loin: « Le monde bruissait comme une fournaise de sève et de marée. Pour la première fois peut-être, je venais de sceller le pacte de ce que je pouvais ressentir à l’extrême ce que je pouvais pressentir à travers des poèmes, des romans, des visages, des voix, des musiques, à travers aussi les plus beaux gestes du sport, tout ce qui témoigne d’un engagement dans la vie et vaut acceptation de l’existence quand elle vient vers vous comme une vague…« .
Je commençais ces lignes en parlant de ce livre comme puisé aux sources d’une quête initiatique, un parcours tâtonnant d’abord, comme on marche l’aveugle, mais qui va peu à peu s’éclairant, comme il peut aussi éclairer ou à tout le moins, fraternellement, faire écho à certaines de nos expériences de vie. C’est, j’en reste persuadé, ce qui en fait la force retenue, confortée par la beauté sobre d’une écriture dont nous demeurons quelque peu étourdis.
Michel Diaz, 26/11/2018
Réponse de Gilles Lades à cet article (03/06/19) :
Cher Michel Diaz,
permettez-moi de vous dire « cher », même si nous ne nous connaissons pas, mais je tiens à vous assurer à quel point j’ai été touché, ému et même comblé par votre étude. Cette étude donne tout son sens à mes contraintes implicites : l’extrême discrétion des miens quant à leur vie personnelle – discrétion que je voulais respectueuse – et l’idée qu’il n’est pas de petite vie, ou de « vie minuscule » » : tout le monde est égal parce qu’en proie à l’absolu et à l’infini. Ces derniers sont parfois déformés ou pervertis, mais ils existent en chacune ou chacun.
Merci pour vos éclairages qui me justifient de m’être « jeté » à l’eau, afin de rechercher ce qui vaut le plus en nous, et refuse l’avilissement ou la banalisation. Merci au nom des miens, et de tous les enfants et adolescents qui cherchent parfois sans le savoir un sens à leur vie.
Au plaisir de se rencontrer, peut-être un jour au Marché de la poésie,
Le poème recommencé – Gilles Lades – Editions Alcyone (2018) –
Chronique publiée dans Diérèse N° 75 (été 2019) et sur le site de Radio occitania (mai 2018)
Ce qui se lève entre les lignes
La poésie de Gilles Lades est d’abord une voix. Elle est de celles qui, précédant toute saisie du sens, est avant tout matière de parole. Elle est de celles qui se lisent en murmurant, se disent à mi-voix, comme l’on se parle à soi-même, se façonnent et se modulent en musique sur les lèvres, dans le mouvement de chair de la langue.
Dans Le poème recommencé, recueil qui se divise en cinq parties, Gilles Lades donne à cette musique la lumière vacillante de la mélancolie, celle à laquelle puisent, au plus profond, les racines les plus intimes du poème. « Lumière de mélancolie » disais-je, qui peut être sombre, avare de clarté, complice de la mort, ou clarté douce, bienveillante et amie. Cette lumière-là, comme « une clarté qui vient sous la main », une « demeure où faire solitude », est celle que fréquentent volontiers les poètes, un espace de mi-pénombre offert à la lucidité de leur questionnement, d’eux-mêmes et du monde. Lumière dans laquelle la douleur, tenue à sa juste distance, se fait territoire fertile où vient puiser ce qui persiste de l’amour, et où s’alimente la source de la création. De toute création peut-être.
Ainsi, écrit-il dans la cinquième section qui donne son titre à l’ouvrage, section dans laquelle le poète nous confie sa relation à l’écriture: attends que l’instant devienne mémoire reconnaisse ton pas te mène à la cour d’enfance amenuisée de toutes parts
Ou écrit-il, par exemple encore, quelques vers plus loin, donnant à son métier d’écrire sa profonde et incontournable nécessité:
[…] le souffle qui soulève par surprise ta poitrine tisse des écheveaux de vie
Ou dans ceux-là aussi, tout aussi explicites: désir d’accorder le poème à l’ultime leçon du vaste étonnement au point de fuite du silence
Ce recueil, en effet, bâti de pierres assemblées à leur juste place, ne laisse aucune chance à quelque égarement sur des voies digressives. Cette lumière dans laquelle « la mémoire fait front à l’hiver », comme on use en peinture du clair-obscur, n’éclaire que l’espace de ses seuls objets, dans des textes où signes et lignes se rangent autour d’une lumière défendue ligne à ligne
Ainsi sommes-nous, dès les premiers vers, appelés à une démarche méditative à travers souvenirs d’enfance, évocation des êtres aimés disparus, questionnement de ce qui fonde nos origines et de notre présence au monde: Ecoute vois la forêt sans feuille que même le vent n’approche pas
[…] ne sors que lentement des arbres et des pistes traverse mélodieux la mémoire de tant de disparus
Evocations de paysages, de places de villages ou d’un château ruiné, d’une « rue qui éclate en jardins cachés », de personnages égarés dans la solitude de la vieillesse, d’une hirondelle annonciatrice des « grands vols d’avril », d’un arbre « grand comme la beauté », d’une rose au bord d’un sentier, d’une clairière loin dans les bois ou du souffle aigre du vent de mars, constituent l’ample matériau de ces textes. Gilles Lades est ici le poète de ces presque riens, rencontrés çà et là dans l’affût du regard et au hasard des pas, de ces riens comme suspendus au-dessus, une chose coulant dans une autre, et toutes se fondant dans un long travelling de pensée ou de rêverie, sans que l’on sache où cela fut, ni même si cela fut, sauf que cela revient, lui revient comme une hantise, sans que l’on sache pourquoi ni comment cela lui revient: Une cendre de ciel survit le remords tourne au-dessus des rires comme la fatigue sur le dernier soleil
Gilles Lades est aussi le poète de la fusion des états de conscience dans le même creuset poétique, quelquefois dans le même vers (« bonheur ce mot qu’il faut renommer »), douleur de la perte des autres et de soi à soi-même, nostalgie des temps de l’enfance et de ses éblouissements, mais quête toujours poursuivie de ces menus miracles de bonheur furtif et de jubilation dans sa présence provisoire au monde, ce qu’il nous donne à voir, à entrevoir, qui est là et s’échappe aussitôt, qu’il faut traquer sans cesse et, saisi un instant, couver dans la tendresse de ses mots, celle qui fait le cœur plus grand que toute la mort à venir. C’est ainsi qu’il écrit à sa mère, par-delà le néant de l’absence: merci de m’avoir donné cette main si fragile qu’elle soulevait la colline vers l’impossible avenir merci de me laisser parcouru de questions sévères et salvatrices
Le poète se montre tout prêt, page après page, à sauter hors de l’espace mesurable comme du temps des horloges – cet autre espace – où ne joue que la causalité pour, par delà toute chronologie, à inscrire les choses les unes dans les autres dans un même regard attentif sur le monde. Attentif à le déchiffrer comme à en défier les apparences, dans des poèmes dont chacun, écrit-il, « contribue à dessiner une mystérieuse ligne de faîte, entre permanence et transmutation ».
Il y a une profonde nostalgie chez qui cherche, encore et toujours, comme le fait Gilles Lades, espérant que quelque chose se lève de l’obscur, d’entre les mots et les lignes, qu’il éclaire toute la scène, et donne sens par là au monde. Nostalgie qui fonde, j’y reviens encore, une mélancolie difficile à juguler. S’ouvre le ravin noir sous la musique de sa voix, reste le bord du précipice, le seuil du vide et de ce temps où « le printemps venu par effraction « s’annonce « comme une douleur de plus »… Le ton est certes grave, mais ce n’est pas rien pour autant cette confidence glissée dans la section « Avide solitude »: je choisis la terre vive limpide entre ses murs où quelques fleurs s’écrivent au bas d’une légende pauvre
Gille Lades s’avance, dans ce poème recommencé, entre affirmation du désir de vivre et apprivoisement de sa familière et pudique désespérance. Et si cette faille d’abîme était à accueillir ? Pour ce qu’elle est. C’est-à-dire la ligne tracée de notre humaine condition.
IX. Chroniques et notes de lecture publiées en revues
X. Nouvelles et textes poétiques publiés en revues
XI. Revue de presse : articles et études consacrés aux ouvrages de Michel Diaz
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I. THEATRE
Le Verbe et l’hameçon, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1977
L’Insurrection, Cahiers de Radio-France, Paris, 1986
Le Dépôt des locomotives, préface de Georges Vitaly, édit. Jean-Michel Place, Paris, 1989
La Dame blanche, 2000, Jour de colère, 2002 [ monologues, publiés sous forme de nouvelles in A deux doigts du paradis , édit. L’Amourier, 2012]
La Nuit de la Toussaint, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, janv. 2016
Au « Musée de la littérature théâtrale belge », Bruxelles :
Faubourgs amers, MLTB 04282, 1986
Trois impromptus pour clarinette seule, pièces pour la radio [publiées sous forme de nouvelles dans différents recueils], MLTB 04283, 1987-88 :
I. Lettre de loin II. La photo de Louise III. Roissy blues
Solitudes, d’après quatre nouvelles de Raymond Carver, MLTB 04316, 1989
Il est doux sur la vaste mer…. a été joué au Théâtre municipal d’Orléans (Carré Saint-Vincent), en 1975.
Le Verbe et l’hameçon a été joué à Tours (salle Thélème, Université François Rabelais), par le Théâtre du Pratos, en 1975.
Lettre de loin a été joué au festival de Cluny par la Compagnie de José Manuel Cano Lopez, en 1986.
Cœur obus éclaté a été joué à Tours, Espace Ligéria, par la troupe de Claude Derrez, en 1989.
Le Dépôt des locomotives à été joué au théâtre Mouffetard (Paris), dans une mise en scène de Georges Vitaly, avec Maria Casarès et François Perrot, en 1989.
L’Insurrection et Faubourgs amers ont été lus dans leurs théâtres respectifs, à l’invitation de J.-L. Barrault et L. Terzieff, en 1989.
L’Insurrection, Lettre de loin, Roissy blues, Le Dépôt des locomotives, Faubourgs amers ont été diffusés, dans leur version radiophonique, sur France-Culture et la R.T.B.F.en 1986, 1990, 1992 (avec une Aide à la Création du Ministère de la Culture, Département des Théâtres et des Spectacles).
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II. POÉSIE ET LIVRES D’ART
Mise en demeure, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1975
Atelier des silences, photos de Thierry Cardon, préface d’Yves Bonnefoy, édit. Jacques Hesse, Saint-Etienne-de-Diray, 1997
Juste au-delà des yeux, images de Pierre Fuentes, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-les-Tours, 2013
Cristaux de nuit, édit. de L’Ours blanc, Paris, 2013
Aux passants que nous sommes, photos de Rieja van Aart, note liminaire de Martin de Crouy, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, 2013
La belle, photo de Rieja van Aart, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013
Sans titre 2 (Approches du visage), peintures de Laurent Bouro, préface d’Agathe Place, édit. Label-Martin Decrouy, La Guerche, septembre 2014
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, édit. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014
Arbre(s), dessins de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, Paris, déc. 2014
Né de la déchirure, cyanotypes de Laurent Dubois, préface de Raphaël Monticelli, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2015
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015
Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, peintures d’Alain Plouvier, édit. La Simarre & Chistian Pirot, Joué-lès-Tours, novembre 2015
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016
Owakudani, terre de soufre, images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, Paris, janv. 2016
Le Cœur endurant, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 4ème trim. 2016
Un navire de papier, photos de Laurent Dubois, préface de Bernard Giusti, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2017
Dans l’inaccessible présence, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Thi lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, nov. 2017
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018
Bassin-versant, préface de Jean-Marie Alfroy, édit. Musimot, Cussac-sur-Loire, avril 2018 (Prix Amélie Murat 2019)
Lignes de crête, frontispice de Jean-Michel Marchetti, édit. Alcyone, Saintes, févr. 2019
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
Comme un chemin qui s’ouvre, édit. de L’Amourier, Coaraze, mars 2019
La source, le poème, gravures sur bois de Lionel Balard, édition séparée en portfolios, tirages de tête numérotés de I à IV, éd. Les Cahiers des passerelles, Aubière, juillet 2020
Le verger abandonné, édit. Musimot, Le Mayet d’École, août 2020 (Prix Aliénor 2020)
Offrandes, peintures d’Olivia Rolde, préface de Daniel Leuwers, Thi Lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, sept. 2020
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés, édit. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2021
La source, le poème, avec 10 gravures sur bois de Lionel Balard, édition courante, suite extraite du recueil « Eloge des eaux murmurantes » (inédit), édit. Les Cahiers des passerelles, Aubière, 1er trim. 2021
Quelque part dans l’inaccompli, peintures de Paola Di Prima, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Quelque part la lumière pleut, frontispice de Silvaine Arabo, édit. Alcyone, Saintes, mars 2022
Sous l’étoile du jour, préface d’Alain Freixe, Rosa canina éditions, Lodève, avril 2023
Au risque de la lumière, recueil à quatre mains, textes de Michel Diaz et Léon Bralda, avec en fontispice une peinture de Silvaine Arabo, éd. Alcyone, juillet 2023
Eloge des eaux murmurantes, gravures sur bois de Lionel Balard, éd. La Simarre, mars 2024
Plus rien que le blanc dans la nuit, en projet de publication aux éditions Les Cahiers des passerelles, gravures de Pierre Jourde (à paraître en 2025)
Traverser l’obscur, édit. Musimot, Le Mayet d’Ecole (2024)
Entrefaits et Le quatuor d’Arnal, Michel Diaz, Jean-Claude Tardif, Yves Arauxo, Jean-Pierre Otte, édit. A l’index, collection Empreintes (octobre 2024)
Le souffle du sacré, peintures de Patrice Delory, en attente de publication (sept.-oct 2024) aux éditions Unicité
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III. NOUVELLES
Séparations, édit. L’Harmattan, Paris, 2009
A deux doigts du paradis, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2012
Le Gardien du silence, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2014
Partage des eaux, édit. N. & B. (Noir & Blanc), Toulouse, septembre 2014
Le Petit train des gueules cassées,recueil collectif de nouvelles, contient : « Dites-moi une chose, une seule », « Compte à rebours », édit. de L’Ours Blanc, Paris, janvier 2015
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IV. PUBLICATIONS EN ANTHOLOGIES
in Gravure / poésie, « Sciences »,une prose poétique, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2023
in Donner à voir, « Forêts », un poème, juin 2022
in Gravure / poésie, « L’errance/le voyage », deux poèmes, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2022
in Terre à ciel, « Rencontrer », deux poèmes (Vieil arbre), janvier 2022
in Editions Musimot, « Désir » ( à l’occasion du Printemps des poètes 2021), trois poèmes, mars 2021
in Terre à ciel, « Dire oui », un poème, janvier 2021
in Saraswati numéro 16, « Les saisons », quatre poèmes, décembre 2020
in Arpanuméro 130, « Naître au monde », quatre poèmes, décembre 2020
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V. ESSAIS
Arthur Adamov, hier déjà et encore demain, thèse de doctorat, 1990-95, bibliothèque de l’Université François Rabelais, Tours. (700 p., 2 vol.: bibliographie d’Arthur Adamov; écrits de jeunesse et textes inédits commentés ; essai sur l’influence de la poésie romantique allemande et du théâtre expressionniste allemand et nordique sur l’œuvre d’A. Adamov.)
Introduction au théâtre radiophonique d’Arthur Adamov, 1996 (cf. archives sonores aux Editions André Dimanche)
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VI. PRÉFACES
Arbre(s), introduction à l’oeuvre dessinée, arbres morts et racines, de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, 2014
Le Petit train des gueules cassées, préface au recueil collectif de nouvelles, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 2015
Owakudani, terre de soufre, introduction à la série « La montagne de soufre », images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, janv. 2016
Anthologie poétique, 1956-1970 et 1999-2018, introduction à l’œuvre poétique de Claude Cailleau, édit. du Petit Pavé, avril 2019
Tout doit disparaître !, préface au recueil de nouvelles de Gabriel Eugène Kopp, RROYZZ Editions, mai 2019
Si loin est l’horizon, préface au recueil de nouvelles d’Anne Renault, édit. L’Harmattan, 2019
Dans la paix des tumultes, introduction à l’ouvrage Peintures, carnets, portraits, meubles, consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, présentation du poète dans le dossier qui lui est consacré dans le n° 105 de la revue Poésie sur Seine, décembre 2021
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VII. ENTRETIENS
Au seuil du silence,« Les chemins d’un auteur », entretien avec Christian Rome, in la revue « Chemins de traverse », N°43, pp. 1-14, décembre 2013
Entretien avec Benjamin Taïeb, in revue « La Voix du basilic », N° 47, pp. 2-4, mai 2014
Entretien avec Jean-Yves Casteldrouin, in site des éditions N & B (Noir et Blanc, Toulouse), février 2015
Entretiens avec Claire Desthomas-Demange, Radio Altitude (Clermont-Ferrand), 2 entretiens de 1 heure, enregistrés le 13 juin 2019.
Interview par Clémence Prot, pour Signature-Touraine, 15 mai 2020.
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VIII. LIVRES D’ARTISTES
Traits, spirales, pointillés, photos de Thierry Cardon, galerie La Métisse d’argile, Saint Hippolyte, 1998
Au regard du silence,photos de Pierre Fuentes, livre vertical, installation, in « L’Automnale de Vouvray », 2012
La belle, photo de Rieja van Aart, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013 (21 ex.)
Owakudani, image de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2013 (4 ex.)
Ne rien laisser que cendres, dessins de Jacques Riby, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex)
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, éd. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014 (21 ex)
Feuilles vives, la feuille de vigne, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feuilles vives, la feuille de figuier, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (6 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feu et sang,dessins de Georges Badin, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Textures, dessin de Roselyne Guittier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Par la fenêtre du solstice,dessin de Roselyne Guittier, 2014, coll. privée
Dans la nuit de la voix, dessins de Jean-Gilles Badaire, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Au commencement était le silence, photo de M.-Christine Schrigen, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015 (21 ex.)
Ce qu’il nous faut rendre à la nuit, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016 (21 ex.)
Nuit trop lucide, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
D’entre silences, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Evidemment le bleu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Ombre du doigt de Dieu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Derniers faux pas, dessins de Yves Conte, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Lettre morte, dessin de Jeannine Diaz-Aznar, « Du livre pauvre au Mail Art », médiathèque de Manosque, sept. 2016
Bassin-versant, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
Coup de grâce, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
La brûlure a la couleur des lèvres, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Heureux… comme le migrant…, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Etes-vous libre ? Soyez dangereux (hommage à Claude Cahun), dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Stylite, dessin de Patrice Delory (ex. unique), coll. privée, 2017
Mélancholia, gravure de Jean Luneau (ex. unique), coll. privée, févr. 2018
Aux lèvres du sommeil, dessins de Coco Texèdre, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Flamme et rose, dessins de Françoise Roullier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Clamavis in deserto, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Au croc rouillé des siècles, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche 2018 (4 ex.)
Soleil levant, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche, 2018 (4 ex.)
Drôle d’époque !, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018 (10 ex.)
Pour balayer les cendres, dessins de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Rumeur de l’eau, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
A Hölderlin, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Faux jour, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
L’âme est une eau heureuse I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse III, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse IV, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Résonance, dessins de Paola Di Prima, 2019, coll. privée (2 ex.)
Miroir sans fond, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Mais là, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
La sentinelle, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Dans le miroir des yeux, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés contenant 5 textes + 5 peintures, éd. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2020 (14 ex. dont 4 ex. en tirages de tête contenant 1 texte manuscrit accompagné d’un dessin inédit de l’artiste)
Entre la flamme et l’ombre, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fête des morts, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fujisan, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au pied du volcan, dessins de Michèle Vaucelle, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Le cri de la hulotte, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Cendre des jours, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au sommeil du volcan, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
La chevêche Athéna, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
J’écoute le silence, dessins de Paola Di Prima, 2020, coll. privée (3 ex.)
Palimpseste, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Phalène, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Pulsation, dessins de Jean-Noël Bachès, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
L’œil écoute, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Matin, champ, photos de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Telle est la nuit, dessins de Paola Di Prima, 2021, coll. privée (2 ex.)
Quelque part dans l’inaccompli, encres de Paola Di Prima, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Je vous écris I, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Je vous écris II, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Horizons du temps, encres de Paola Di Prima, juil. 2023 (5 ex.)
Pierre du vent, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
Le livre de l’exode, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
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IX. CHRONIQUES ET NOTES DE LECTURE (publiées en revues)
Comme tremble le seuil, Eric Chassefière, éd. Alcyone (2024), in ce blog (sept. 2024)
Cousu, décousu, profil perdu, Françoise Le Bouar, éd. L’Herbe qui tremble (2024), in ce blog (sept. 2024)
Ombres abruptes, Eric Barbier, 538ème Encres Vives (2024), in ce blog (sept. 2024)
L’invention des couleurs, Isabelle Lévesque, Pierre Dhainaut, éd. L’Ail des ours, collection coquelicot (2024), in ce blog (août 2024), note publiée en in Diérèse N° 91 (automne 2024)
La Petite Plage, suivi de Brest, rivage de l’ailleurs, Marie-Hélène Prouteau, éd. La Part commune (2024), in ce blog (juillet 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Après la fin du monde, Requiem, Colette Klein, éd. Henry (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Terres de femmes (sept. 2024)
Mes anticorps, Jean-Pierre Otte, éd. Le Temps qu’il fait (2023), in ce blog (juin 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Epures du cri, Pierre Thibaud, éd. Alcyone (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91 (automne 2024)
Mont Ventoux, vues et variations, Angèle Paoli, Caroline François-Rubino, éd. Voix d’encre (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Poésibao (12 juin 2024)
Eveil trois fois, Pierre Dhainaut, éd. du Douayeul, coll. Les Carnets du Douayeul (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 113 (sept. 2024)
Patienter sous les nuages, Richard Rognet, éd. Gallimard Collection blanche (2024), in ce blog (mars 2024), note publiée in Poésie sur Seine N° 113 (sept. 2024)
Héritage du souffle, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note publiée in Terres de femmes (mai 2024)
Pays perpétuel, Gilles Lades, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Vapeurs d’enfance, Michel Lamart, éd. Unicité (2023), in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Quelques miettes tombées du poème, Jean-Pierre Boulic, éd. Les Cahiers d’Illador, in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Cet au-delà de l’ombre, Sabine Péglion, éd. L’Ail des ours, Collection Grand ours (2023), in ce blog (février 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Emergences, Christophe Mahy, dessins de Jean-Marc Ehanno, éd. L’Herbe qui tremble (2023), in ce blog (novembre 2023), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Je veux dire, Cyrille Latour, éd. Jacques Brémond (2023), in ce blog (nov. 2023), note publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
L’âpre beauté du paysage, Jeanne Bastide, éd. L’ail des ours (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Palermo, Eric Chassefière, éd. Rafaël de Surtis (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Retour sur écoute : , Pierre Dhainaut, éd. Le Bateau Fantôme (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
L’empreinte Matala, Teo Libardo, Rosa canina éditions (2033), note de lecture in ce blog (août 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Lieux, Jean-Paul Bota, éd. Tarabuste (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée Place de la Sorbonne N° 13 (juin 2024)
La troisième voix, Isabelle Lévesque-Pierre Dhainaut, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023) et in Concerto pour marées et silence, revue, N° 17 (juin 2024)
Le ciel jaloux des roses, Alain Duault, éd. Gallimard (2023), in ce blog (juillet 2023) et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Enraciné, Jean-Pierre Boulic, éd. La part commune (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Dans un nid de flammes, Richard Rognet, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Un exil sans royaume(sur Camus et l’Algérie), texte à paraître dans un ouvrage collectif consacré à Albert Camus, in ce blog (mars 2023)
Un printemps sans fenêtre suivi de Réminiscences, Raymond Farina, éd. N&B (2022), in ce blog (mars 2023), et in Diérèse N° 87
Jardin des voix, Pierre Thibaud, éd. Parole et Silence (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 87
Clartés du soir, Jacques Robinet, éd. Unicité (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
La mesure des murs, Colette Daviles-Estinès, éd. L’ail des ours (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Persévérance des brumes, Florence Saint-Roch, éd. Vincent Rougier (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Images de l’éternel fleuve, à propos des peinture de Lena Nikcovic (en projet de publication dans un catalogue d’artiste, version française traduite en allemand) in ce blog (nov. 2022)
Le jardin d’absence, Eric Chassefière, éd. Sémaphore (2022), in ce blog (oct. 2022) et in Diérèse N° 86, janvier 2023
Dits de la pierre, Bernard Fournier, éd. La feuille de thé (2022), in ce blog (oct. 2022) et in [Terres de femmes, hiver 2023 ?]
Le réel est un poème métaphysique, Marie-Claude San Juan, éd. Unicité (2022), in ce blog (oct. 2022), et in Diérèse N° 88
A propos de Jean-Paul Bota, in ce blog ( janvier 2021) et in Diérèse N° 86, hiver 2022-23
Tu viens de là, Teo Libardo, éd. Musimot (2022), in ce blog (sept. 2022) et in Diérése N° 86, hiver 2022-23
Editorial, in Diérèse N° 85, octobre 2022
L’un seul, légendes, Geneviève Deplatière, éd. Unicité, Collection Le Vrai Lieu (2020), in ce blog (juin 2022) et in Diérèse N° 87
Le cerisier, Antoine Maine, éd. La chouette imprévue (2021), in ce blog (mai 2022) et in Diérèse N° 85, septembre 2022
A la cime des heures, Jean-Pierre Boulic, éd. L’enfance des arbres (2022), in ce blog (mars 2022) et in Diérèse N° 85, octobre 2022
Ouvrière durée, Gilles Lades, éd. Le Silence qui roule (2021), in ce blog, juin 2021, et in Terres de femmes, juin 2022
Capter l’indicible, Silvaine Arabo, éd. Rafael de Surtis (2021), in ce blog (mars 2022) et in Chemins de traverse N° 61, décembre 2022
D’ores et déjà, Daniel Martinez, éd. Les Deux Siciles (2021), in ce blog (mars 2022), sur le site Diérèse et les Deux Siciles, mars 2022, et in Chemins de traverse n° 60, juin 2022
Cahiers des chemins qui ne mènent pas, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2020), in ce blog (déc. 2020), et in Diérèse N° 83, janvier 2022
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, in ce blog (octobre 2021) et le n° 105 de Poésie sur Seine, janvier 2022
Ici, Pierre Dhainaut, éd. Arfuyen (2021), in ce blog, juin 2021, et in Concerto pour silence et marées, revue, N° 15, juin 2022
Conversations dans un jardin, nouvelles, Bernard Pignero, Encretoile éditions (2021), in blog (juin 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Statues-menhirs, Bernard Fournier, texte inédit, in ce blog, juin 2021
Le Bruit des nuits, Léon Bralda, Les éditions du Petit Pois, Collection Prime Abord (2021), in ce blog (mai 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Ombres géométriques frôlées par le vent, Marie-Claude San Juan & Roland Chopard, éd. Unicité, Collection Images écrits (2020), in ce blog, mai 2021
La bonne vie, Jean-Pierre Otte, éd. Cactus inébranlable (2021), in ce blog (avril 2021) et dans in Diérèse N° 82, octobre 2021
L’Offrande des lieux – Jean-Pierre Boulic, éd. La Part commune (2021), in ce blog (avril 2021) et in Diérèse N° 82, octobre 2021
La cérémonie des inquiétudes, Alain Duault, éd. Gallimard (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Pour voix et flûte, Pierre Dhainault, éd. AEncrages & Co (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
La gloire des poussières, Raymond Farina, éd. Alcyone (2020), in ce blog, oct. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
A l’aube de la voix, poèmes de Léon Bralda, gravures de Lionel Balard, éd. Donner à voir (2020), in le site Terres de femmes, juin 2020
Quelques regards, textes de Bernard Noël, peintures de Jean-Michel Marchetti, éd. La Dragonne (2016), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 79, juin 2020
Aux sources de ta voix, poèmes de Léon Bralda, peintures de Hervé Chanassiol, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 46 (2020), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Dans la paix des tumultes, introduction à Alain Plouvier – Peintures, carnets, portraits, meubles, ouvrage consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021, in ce blog, janv. 2020
Hémon, suivi d’Antigone, Silences et Loin la langue, Bernard Fournier, éd. La Feuille de thé (2019), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
Ophélie d’Elseneur, Michel Passelergue, éd. Aspect (2019), in ce blog, janv. 2020, et et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
L’œil et l’instant, Pascale Alejandra, éd. Le phare du cousseix (2019), in ce blog, déc. 2019 et in Diérèse n° 78, printemps-été 2020
Sang d’encre, textes de Michèle Vaucelle, linogravures de M. Vaucelle, éd. Collodion (2019), in ce blog, déc. 2019, publié sur le site des éditions Collodion et in Diérèse n° 79, juin 2020
De la matière des rêves, à propos des images photographiques de Pierre Fuentes et de sa série Dans le repli des songes , in ce blog, nov. 2019 et pages face book
Chartres et environs, textes de Jean-Paul Bota, dessins de David Hébert, éd. des Vanneaux – Collection Carnets nomades (2019), in ce blog, nov. 2019 et Dièrèse n° 78, printemps-été 2020
La cendre grise pour demain, poèmes de Léon Bralda, photographies de Michel Coste, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 38 (2019), in ce blog, oct. 2019, et Diérèse n° 80, printemps 2021
Pierrier, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2019), in ce blog, oct. 2019 et sur le site des éditions Musimot
Carnaval, textes de Jean-Luc Coudray, peintures de Jonathan Bougard, éd. du Petit Véhicule (2019), in ce blog, août 2019, et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Passants, Antoine Emaz, éd. Unes (2017), in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Les nuits échangées, Raphaële George, éd. Unes (2018), in in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Enquête sur un poète disparu – Jean-Jacques Mahet (2ème version), in ce blog, juillet 2019 et Dièrèse n° 77, automne-hiver 2019
A propos des photos de Rieja van Aart, in ce blog, mars 2019
De votre absence, Monique Lucchini, éd. Musimot (2019), in ce blog, févr. 2019 et sur le site des éditions Musimot
La prophétie des mouches, Brigitte Guilhot, éd. Jacques Flament (2019), in ce blog, févr. 2019
De sang, de nerfs et d’os, Patrice Blanc, éd. Le Contentieux (2018), in ce blog in ce blog, déc. 2018 et Diérèse n° 76, été 2019
La pièce du bas, Gilles Lades, éd. L’Etoile des Limites (2018), in ce blog, nov. 2018, et Diérèse n° 76, été 2019
Introduction à l’oeuvre poétique de Claude Cailleau, anthologie poétique, éd. du Petit Pavé (avril 2019)
Matrie, Colette Daviles-Estinès, éd. Henry, 2018, in ce blog, sept. 2018, le site de la revue Lichen, nov. 2018, et sur le site Volets ou vers, de C. Daviles-Estinès
Si loin est l’horizon, nouvelles, Anne Renault, éd. L’Harmattan (2019), in ce blog, août 2018
Car l’amour existe, Cyrille Latour, éd. de L’Amourier (2018), in Le Basilic (juin 2018), le site des éditions de L’Amourier et le site de C. Latour, mai 2018
Fragments d’une errance, texte pour une vidéo de Pierre Fuentes, in ce blog, avr. 2018
Le poème recommencé, Gilles Lades, éd. Alcyone (2018), in ce blog, avril 2018, Diérèse N° 74, hiver 2018, L’Iresuthe n° 45, sept. 2019, Chemins de traverse n° 54, été 2019, et le site de Radio occitania, 17 mai 2018
Debout, présents et vivants, Olivia Rolde, peintures, texte de catalogue, in le site d’Olivia Rolde, mars 2018
De la responsabilité du chroniqueur et de celle de l’auteur(e), in L’Iresuthe n° 45, sept. 2018
En territoires de l’incertitude, Patrice Delory, peintures, texte d’exposition, in ce blog, févr. 2018
Noir, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2017), in L’Iresuthe n° 43, août 2018, et sur le site des éditions Musimot
Requiem, Poème sans héros et autres poèmes, Anna Akhamatova, éd. Poésie/Gallimard (2014), in Les Cahiers de la rue Ventura N° 41, mars 2018
La nuit déborde, Jeanne Bastide, éd. de L’Amourier (2017), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 39, févr. 2018, sur le site des éditions de L’Amourier et sur le site Terres de femmes
Un bégaiement, Julien Bosc, éd. Cénomane (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura, n° 40, janv. 2018
Etre et avoir l’été, Charles Simond, éd. Musimot (2013), in ce blog, nov. 2107 et sur le site des éditions Musimot
Contre le désert, Alain Freixe, éd. de L’Amourier (2017), in le site des éditions de L’Amourier, et le site Terres de femmes, oct. 2017
Nouveau Roman & Théâtre nouveau, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 37, sept. 2017
Ma (dé)conversion au judaïsme, Benjamin Taiëb, éd. Lunatique (2107), coll. Lire debout, in ce blog, juin 2017
Mer intérieure, Raphaël Monticelli, éd. La Passe du vent (2011), in ce blog, juin 2017
Lettre au poète Claude Cailleau, in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et Les Cahiers de la rue Ventura n° 40, mai 2018
Le collier rouge, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard (2014), in L’Iresuthe n° 41, juin 2017
Le Livre du désir, Léonard Cohen, éd. Le Cherche Midi, collection Points (2008), in ce blog, mai 2017
Les reflets du silence, Shoshana, éd. Musimot (2017), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017, et sur le site des éditions Musimot
Un dangereux plaisir, François Vallejo, éd. Viviane Hamy (2016), in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et sur le site de François Vallejo
Mécomptes de Noël, Gabriel Eugène Kopp, éd. de L’Ours Blanc (2016), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017
Haïku – Anthologie du poème court japonais, éd. Poésie/Gallimard (2002), in ce blog, mai 2017
Je, tu, il, Claude Cailleau, éd. Tensing (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 35, mai 2017
Un scarabée bruissant du rêve, Pascal Revault, éd. Musimot (2015), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, oct. 2016
Fantaisies, Bernard Henninger, éd. Blogger de Loire (2015), in ce blog et sur le site « Impulsions » de B. Henninger, oct. 2016
Allant vers et autres escales, Colette Daviles-Estinès, éd. de L’Aigrette (2016), in ce blog et sur le site « Volets ou vers » de C. D.-Estinès, oct. 2016
Une étude sur Alain Borne, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 33, sept. 2016
Jésus l’apocryphe, Jean-Luc Coudray, éd. de L’Amourier (2016), in Chemins de traverse n° 49, déc. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
Quête du nom, Alain Guillard, éd. de L’Amourier (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
L’aube a un goût de cerise, Raymond Alcovère, éd. N&B (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site de Raymond Alcovère
Carnets de montagne, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2016), in ce blog et le site des éditions Musimot, juin 2016
Insinuations sur fond de pluie, Javier Vicedo Alos, éd. Fondencre (2015), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
L’Histoire de la brume, Stuart Dybek, éd. Siloé (2008), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
Shitao et Cézanne, une même expérience spirituelle, Charles Juliet, éd. L’Echoppe (2008), in ce blog, mars 2016
Les Admirés, Daniel Berghezan, éd. Musimot (2016), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, mars 2016
La Morasse, Jean Forestier, éd. Edilivre (2016), in L’Iresuthe n° 38, 2015
Il n’est plus d’étrangers, Catherine Leblanc, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 37, 2015, et sur le site des éditions de L’Amourier
Comme une corde prête à rompre, Bernard Giusti, éd. de L’Ours Blanc (2007), in Chemins de traverse n° 47, 2015
Bribes, Raphaël Monticelli, éd. de L’Amourier (2015), in ce blog, déc. 2015
La côte sauvage, Jean-René Huguenin, éd. Points-Seuil (rééd.), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 30, déc. 2015
Enquête sur un poète disparu, Jean-Jacques Mahet, éd. Les Paragraphes littéraires de Paris (1976), in L’Iresuthe n° 35, déc. 2015, sur le site de L’Anacoluthe et in Dièrèse n° 77 (version mise à jour du texte)
Alain Borne – En une seuleinjure, éd. Editinter (2002), in ce blog, nov. 2015
Treize – Indociles, Alain Borne, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
Cette roue qui nous emporte, Jean-Pierre Schamber, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
A un jour de la source, Françoise Oriot, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 36, 2015, sur le site des éditions de L’Amourier, sur le site Terres de femmes et Talentpaper blog
J’ailleurs, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog et sur le site des éditions SKA, juil. 2015
La peau sur les mots, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog, juil. 2015
Le pays que je te ferai voir, Michel Séonnet, éd. de L’Amourier (2014), in L’Iresuthe n° 33, 2014, et sur le site des éditions de L’Amourier
Un an de noyaux de cerises, Sylvie Azéma-Prolonge, éd. Relink (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Soluble, Brigitte Guilhot, éd. de L’Ours Blanc (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Autour de quelques tableaux de Thierry Dussac, in ce blog, sept. 2014
Les petites pièces rapportées, Eve de Laudec, éd. Chum (2014), in ce blog et sur le site « L’Emplume et l’écrié » d’E. de Laudec, sept. 2014
La nouvelle came, Audrey Terrisse, éd. BoD (2013), in ce blog, oct. 2014
Les bois levés de Thierry Cardon, in le recueil Cristaux de nuit (éd. de L’Ours Blanc, 2013), mai 2013
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X. NOUVELLES ET TEXTES POÉTIQUES PUBLIÉS EN REVUES (ou sites et blogs)
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), publiés in Lichen N° 100, septembre 2024
5 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), publiés in Poésie sur Seine N° 113, septembre 2024
7 poèmes extraits de « Entre l’énigme et l’évidence », publiés in A l’index N° 49, sept. 2024
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), à paraître in le prochain N° de Concerto pour marées et silence, revue
4 poèmes extraits de « Traverser l’obscur », in Chemins de traverse N° 64, pp. 24-25, juin 2024
Eloge des eaux murmurantes, 2 extraits publiés in Terres de femmes, mars 2024
Un petit théâtre de ruines, nouvelle, in Diérèse N° 88, automne 2023
Fragments d’une errance, extrait de « Traverser l’obscur » (recueil publié en 2024), in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », février 2023
Comme une porte au vent, à Alejandra Pizarnik, in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », juin 2022
Pierre du vent, in Diérèse N° 85, septembre 2022
2 poèmes extraits de « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, juillet 2022
2 poèmes extraits de la série « Arbre(s) », in Terre à ciel (anthologie sur le thème « Rencontrer »), juin 2022
3 poèmes extraits de « Offrandes », in le N° 15 de Concerto pour marées et silence, revue, juin 2022
Je t’écris du plus loin de moi-même, nouvelle, in Diérèse N° 83, janv-févr 2022
« Nésdu confinement », 5 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Diérèse N° 81, automne 2021
3 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Concerto pour marées et silence (revue dirigée par Colette Klein) N° 14, juin 2021
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, mai 2021
1 poème extrait de « Quelque part la lumière pleut », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », mai 2021
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Diérèse N° 80, printemps 2021
4 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Saraswati N° 16, printemps 2021
Le livre de l’exil, in Chemins de traverse N° 57, mai 2021
1 poème extrait de « Offrandes », in anthologie Terre à ciel, janvier 2021
3 poèmes extraits de « Au risque de la lumière », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », décembre 2020
6 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Arpa N° 129-130 (thème « Naître au monde »), automne 2020
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Chemins de traverse N° 56, pp. 8-10, juin 2020
2 poèmes extraits durecueil « Quelque part la lumière pleut« , in le site de Raphaël Monticelli, Bribes en lignes, mai 2020
2 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut », in le site de Daniel Martinez, Diérèse et les deux Siciles, 28 mars 2020
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in la page Facebook de Silvaine Arabo, mars 2020
Fragments d’une errance, in L’iresuthe N° 46, pp. 5-7, hiver 2020
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in Chemins de traverse N° 55, pp. 8-10, décembre 2019
5 textes extraits de la suite « Sous l’étoile Absinthe », in Arpa N°127, pp. 43-46, sept. 2019
Vers le désert, nouvelle, in Diérèse N° 76, été 2019
6 poèmes extraits du recueil « Lignes de crête« , in site des éditions Alcyone, février 2019
1 poème extrait du recueil « Lignes de crête », in Terres de femmes, février 2019
« Comme vont ces chemins », 2 poèmes inédits, in L’Iresuthe N° 44, p. 38, hiver 2019
Poèmes et proses poétiques, in Lichen N° 5, 6, 7, 8, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 20, 23, 27, 34, 35, 36, 37, 57, 60, 61, 62, 63
« Alep », in Chemins de traverse N° 52, p. 15, décembre 2018
« Trois histoires d’anges », extraits du recueil « Bassin versant », in L’Iresuthe N° 42, pp. 41-44, hiver 2018
« Inverser le regard », poème, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 11, 1er trim. 2018
Extrait de la préface au recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 10, 1er trim. 2018
2 textes extraits du recueil « Bassin versant », in L’Herbe folle N° 9, mai 2017
« Trois courts hommages », extraits du recueil « Lignes de crête », in L’Iresuthe N° 41, pp. 38-40, automne 2017
1 poème sans titre, in Poésie/première N° 68, p. 89,sept. 2017
« Ce qui gouverne le silence », 2 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Ecrit(s) du Nord N° 31-32, sept. 2017
« Au clou rouillé du soir », texte extrait du recueil « Bassin versant », in site Emmila Gitana, 23 septembre 2017
« Certains jours de partage… », texte extrait du recueil « Cristaux de nuit », in site Emmila Gitana, 4 août 2017
2 poèmes sans titre, in L’Herbe folle N° 7, janvier 2017
1 poème extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Poésie/première N° 65, p. 82, oct. 2016
5 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 32, pp. 37-39, juin 2016
« Fragments d’un carnet d’hiver », extraits du recueil « Fêlure », in L’Iresuthe N° 37, pp. 42-47, printemps-été 2016
Vers le désert, nouvelle, in L’Iresuthe N° 32, pp. 6-9, hiver 2015
4 textes extraits de « Sans titre 2, Approches du visage », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 27, pp. 30-32, 1er trim. 2015
Dites-moi une chose, une seule, nouvelle, in L’Iresuthe N° 31, pp. 11-18, automne 2014
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in L’Iresuthe N° 30, pp. 4-9, été 2014
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in L’Iresuthe N° 26, pp. 2-10, hiver 2013
« Treize stèles et une pierre blanche »,extraits du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 43, pp. 12-13, décembre 2013
« Lettre à Pénélope », extrait du recueil « Le verger abandonné », in L’Iresuthe N° 28, pp. 5-8, automne 2013
10 textes extraits de « Né de la déchirure », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 20, pp. 24-28, juin 2013
« Scénario pour la fin d’un monde », extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 42, pp. 15-17, juin 2013
L’Invitation, nouvelle, in L’Iresuthe N° 25, pp. 24-30, automne-hiver 2012
« Chemins de crête », extrait du recueil « Séparations », nouvelle, in Chemins de traverse N° 41, pp. .18-20, décembre 2012
« Arbre, vieil arbre », in La voix du Basilic N° 10, p. 5, mai 2012
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XI. ARTICLES ET AUTRES TEXTES CONSACRÉS AUX OUVRAGES DE MICHEL DIAZ (cf » Revue de presse »)
Marie-Claude San Juan, Traverser l’obscur, note de lecture ) paraître in Dièrèse N° 92
Marc Wetzel, Les Entrefaits – Le quatuor d’Arnal, note de lectureà paraître
Thierry Corneau, Les Entrefaits – Le quatuor d’Arnal, note de lecture publiée in le site Le lorgnon mélancolique (oct. 2024)
Eric Chassefière, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Francopolis (septembre 2024)
Marie-Claude San Juan, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Trames nomades (juillet 2024)
Marie-Christine Guidon, Traverser l’obscur, note de lecture publiée in ……
Jean-Pierre Boulic, Traverser l’obscur, note de lecture à paraître dans un prochain numéro d’Arpa
Jean-Louis Bernard, L’Ecriture essentielle, texte publié in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024), introduction au dossier consacré à Michel Diaz
Jean-Louis Bernard, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Terres de femmes (avril 2024)
Marie-Christine Guidon, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Arts et poésie de Touraine (avril 2024)
Bernard Fournier, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024)
Jean-Pierre Boulic, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Antoine de Matharel, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023)
Marie-Claude Sans Juan, à propos de ma recension sur son recueil Le réel est un poème métaphysique, in Diérèse N° 88, automne 2023
Gilles Lades, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Verso N° 186
Jean-Louis Bernard, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Concerto pour marées et silence, revue N° 17 (juin 2024)
Jean-Pierre Boulic, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 et in Diérèse N° 90 (été 2024)
Marie-Claude San Juan, notes de lecture sur des articles parus dans deux numéros de Diérèse (85, 86), in « Trames nomades » (18/08/2023)
Jean-Pierre Boulic, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 110 (septembre 2023)
Eric Chassefière, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Diérèse N° 88 (automne 2023)
Michel Passelergue, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Pierre Dhainaut, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Bernard Fournier, Sous l’étoile du jour, note de lecture in Poésie/première (sept. 2023)
Alain Freixe, Sous l’étoile du jour, note de lecture, in Terres de femmes (juillet 2023)
Jean-Louis Bernard,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Concerto pour marées et silence, revue, N° 16-2023
Gérard Bocholier,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Arpa N° 137-138
Gilles Lades, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Verso N° 191
Armelle Chichit, Le verger abandonné, note de lecture, in Verso N° 190
Jean-Pierre Boulic, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Diérèse N° 85 -septembre 2022)
Marie-Claude San Juan, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Trames nomades (mai 2022) et in revue A l’index, N° 46 (mars 2023)
Bernard Fournier, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Poésie/première N° 82 (mai 2022)
Pierre Dhainaut, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Michel Passelergue, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Marie-Claude San Juan, « Le verger abandonné », de Michel Diaz. Ulysse errant choisissant le non-retour, ou l’ascèse d’écriture et d’être, en récit métaphysique…, in Trames nomades, décembre 2021
Bernard Fournier, La source, le poème, impressions de lecture, in ce blog, « Principaux ouvrages publiés, juin 2021
Jean-Paul Bota, Le Verger abandonné, note de lecture, in Diérèse N° 80 (mai 2021)
Bernard Fournier, Le Verger abandonné, note de lecture, in Poésie/première N° 79 (printemps 2021)
Marie-Claude San Juan, Lignes de crête, in le site des éditions Alcyone et le site Trames nomades, avril 2021
Marie-Claude San Juan, Les saisons en poésie (à propos des textes publiés in Saraswati N° 16), in le site Trames nomades (2021).
Brigitte Guilhot, Le petit train des gueules cassées, in le blog de L’Ours blanc, février 2021
Michel Passelergue, Le Verger abandonné, in Diérèse N° 80 (Hiver-printemps 2021)
Silvaine Arabo, Le Verger abandonné, in Sawasrati N° 16 (2021)
Eric Barbier, Né de la déchirure, in Diérèse N° 79 (octobre 2020)
Angèle Paoli, « Un chant nouveau de la disparition », Le Verger abandonné, in Terres de femmes, septembre 2020
Lionel Balard, Le verger abandonné, septembre 2020
Jean-Pierre Boulic, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Le verger abandonné, septembre 2020
Philippe Boutibonnes, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Fêlure, courrier du 13/08/2020
Gilles Lades, « Deux voies de l’infini », à propos de Né de la déchirure, juillet 2020
Daniel Leuwers, « Offrandes et contre-offrandes », préface à Offrandes-Olivia Rolde, éd. Thi Lùu, 2020
Gérard Bocholier, Lignes de crête & Comme un chemin qui s’ouvre, in Arpa N° 127
David Le Breton, « L’aspiration à l’absence », préface au Verger abandonné, éd. Musimot, 2020
Eric Barbier, Comme un chemin qui s’ouvre, in Diérèse N° 76, juin 2019
Fanny Guiné, « Michel Diaz reçoit le prix francophone de poésie Amélie-Murat à Clermont-Ferrand », in La Montagne, 14 juin 2019
Claire Demange, Bassin versant, présentation de l’ouvrage à l’occasion de la remise à l’auteur du prix de poésie Amélie-Murat, 12 juin 2019
Angèle Paoli, « Dans la complicité des arbres et la confidence du fleuve », Comme un chemin qui s’ouvre, in Terres de femmes, mai 2019
Alain Freixe, Comme un chemin qui s’ouvre, in Le Basilic, mai 2019
(Non signé) « Regards poétiques de Diaz et Luneau », in La Nouvelle République, 25 octobre 2018
Jean-Marie Alfroy, préface à Bassin versant, éd. Musimot, 2018
Philippe Fréchet, Bassin versant, in Lichen N° 27, juin 2019
Valérie Canat de Chizy, Fêlure, in Verso N° 171, janvier 2019
(Non signé) « Au Printemps des poètes-Château de Mosny », in La Nouvelle République, 04 mars 2018
Bernard Henninger, Fêlure, in blog Lire au Centre (FR3 Centre), 19 janvier 2018
Jean-Marie Alfroy, Fêlure, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 38, déc. 2017
Jean-Claude Vallejo, Un navire de papier, in L’Iresuthe N° 41, automne 2017
(Non signé) Un navire de papier, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Laurent Dubois, Fêlure & Le cœur endurant, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Gabriel Eugène Kopp,Fêlure & le Cœur endurant, in Chemins de traverse N° 50, juin 2017
Raymond Alcovère, Fêlure & Le cœur endurant, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
Claire Desthomas-Demange,Fêlure, in site des éd. Musimot, janvier 2017
Jean-Claude Vallejo, Fêlure, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
(Non signé) « Expo-dédicaces », Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, in La Nouvelle République, 02 décembre 2015
Renaud Marot, Né de la déchirure, in Réponses photo N° 280, juillet 2015
Raphaël Monticelli, « Oraison des suaires », préface à Né de la déchirure, éd. Cénomane, 2015, in le site Bribes en ligne (partie « Les rossignols du crocheteur »)
(Non signé) « Le Printemps des poètes à Mosny », Arbre(s), in La Nouvelle République, 26 mars 2015
Brigitte Guilhot, Le Gardien du silence, in site des éd. L’Amourier, avril 2014
(Non signé) « Les visages de nuit de Laurent Bouro », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 22 octobre 2014
(Non signé) « Visages et masques », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 28 septembre 2014
Agathe Place, préface à Sans titre 2-Approches du visage, éditions Label Martin-Decrouy, 2014
Jean-Claude Vallejo, Le Gardien du silence, in L’Iresuthe N° 31, septembre 2014
Bernadette Griot, Le Gardien du silence, lettre d’info de L’Amourier, septembre 2013
Martin de Crouy, note liminaire à Aux passants que nous sommes, éd. Christian Pirot, 2013
Bernard Henninger, Cristaux de nuit, in Lumières de la poésie (FR3 Centre), 25 août 2013
Marie Gosselin, Juste au-delà des yeux, in La Nouvelle République, 27 juillet 2013
Laurent Dubois, préface à Juste au-delà des yeux, éd. Christian Pirot, 2013
Marie-Jo Freixe, A deux doigts du paradis, in Le Basilic N° 21, mai 2012
Léa Morillon, « Une vie d’écrivain », A deux doigts du paradis, in La Nouvelle République, 9 mai 2012
(Non signé) « Loire, lits profonds », bois levés de Th. Cardon, in Les Carnets d’Eucharis N° 20, mai 2010
Dominique Rezeau, Séparations, in Cahiers de la Littérature belge et francophone, janvier 2010
Marie Lansade, Séparations, in Parallèles N° 10, déc.-janvier 2010
Pierre Imbert, Séparations, in La Nouvelle République, 27 octobre 2009
Christian Massé, Séparations, in Reflets du Temps, février 2013
Thierry Guichard, « Au bonheur des cheminots », Atelier des silences, in Le Matricule des Anges, nov.-décembre 1997
Brigitte Scarella, « Les ateliers assoupis de Saint-Pierre-des-Corps », Atelier des silences, in La vie du rail, 4 juin 1997
Jacqueline Hafidi, Atelier des silences, in Le nouveau Ligérien N° 17, été 1997
Jean Olivieri, « Michel Diaz dans la cour des grands », Le dépôt des locomotives, in La Nouvelle République, 25 mars 1989
Bruno Villien, « La dernière nuit de Michel Diaz », Le dépôt des locomotives, in Le Nouvel Observateur, 16 février 1989
A. H.,Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 13 mars 1989
Bernard Thomas, « Un solide petit train », Le dépôt des locomotives, in Le Canard enchaîné, 8 mars 1989
Agnès Dahard, « Maria Casares prend encore des risques », Le dépôt deslocomotives, in Le Parisien Libéré, 21 février 1989
Mario Thébaud, Le dépôt des locomotives, in Le Figaro, 21 février 1989
(Non signé) « Maria Casares défend un jeune auteur », Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 20 février 1989
D. M.,Le dépôt des locomotives, in La Croix, 8 mars 1989
Georges Vitaly, préface au Dépôt des locomotives, éd. Jean-Michel Place, 1989
(Non signé) « Les bruits de la guerre », L’Insurrection, in Libération, 4 novembre 1986
Th. H.,L’Insurrection, in La Libre Belgique, 30 novembre 1986
André Alter, L’Insurrection, in Télérama, 30 octobre 1986
(Non signé) « Convergences », in La Nouvelle République, 2 décembre 1981
Pierre Favre, « On aurait aimé y mordre », Le Verbe et l’hameçon, La Nouvelle République, 15 décembre 1977
Contacts :
micheldiaz.md@orange.fr
www.michel-diaz.com
cf. site des éditions Alcyone
cf. site des éditions L’Amourier
cf. site des éditions Musimot
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