Les éditions du Petit pois, Collection Prime Abord, 2020
Lecture par Michel Diaz, note de lecture à paraître dans le numéro 82 de Diérèse.
« Dans ce nouvel opus, lit-on sur la page de présentation de l’ouvrage, l’auteur nous livre un texte intime, véritable hymne d’amour pour un être cher que la mort avait emporté prématurément… »
Avant même d’aller plus avant dans ce livre, il faut nous attarder sur la belle image de couverture, une peinture de Lionel Balard : une chaise vide sur laquelle ruisselle un jaune lumineux, vers laquelle s’incline une forme humaine, tête noyée dans l’ombre, avant-bras demi replié, main pendante le long de la cuisse, comme hésitant à se risquer vers la caresse ou affronter l’effroi de ne trouver personne. Quelqu’un est là, qui cherche qui n’est plus, présence/absence intimement mêlées pourtant sur la surface de la toile. Et dans cette image qui joue, comme sur une scène de théâtre, de la dramatisation du silence et des objets d’un humble quotidien, se tient déjà, comme en un drame condensé, tout le propos du livre.
Le Bruit des nuits est donc un poème de deuil et d’amour que Léon Bralda dédie à sa mère. Poème que, d’abord, avant d’y découvrir quelles croyances combatives et quelle pulsation de vie le portent au plus profond, on aborde comme chant de deuil et de douleur, un lamento qui s’apparenterait ainsi à ces chants de tristesse et de déploration que l’on rencontre aussi bien dans la poésie que dans la musique. Chants que ceux qui demeurent consacrent à la mémoire de ces disparus à qui l’on rend hommage et que l’on se refuse à laisser sombrer dans l’oubli.
Mais la mémoire des présences disparues, de leurs visages, de leurs voix, est cet espace de l’intime que le temps traverse, bouscule et use dans son flux, aussi injustement qu’inexorablement. Aussi, comme un défi que le poète jette à l’oubli, il formule ainsi, dans un entretien, l’impérieuse nécessité de l’écriture de ce texte : « Porter mémoire… Ne pas laisser le temps qui passe effacer l’image de ceux qu’on a profondément aimés et qui ont à présent disparu. Refuser la part faillible de la mémoire et lutter contre l’oubli qui naturellement s’infuse peu à peu dans nos consciences d’homme, échoppant lentement, inexorablement le visage des êtres chers. » Ecrire alors, car c’est, face à la mort, nous dit Léon Bralda, « Faire acte de résistance en quelque sorte ! Pour ne pas oublier. »
C’est donc en toute cohérence que l’auteur cite, dans son entretien ces mots de Christian Bobin, « Ecrire pour réparer l’irréparable », ou encore ceux d’Alain Borne, « C’est contre la mort que j’écris ».
La poésie alors, et l’écriture, dernier acte de résistance et ultime rempart contre l’effacement de ce que la mémoire cèle de plus précieux (souvenirs du regard, de la voix, des sourires et des odeurs), et dont les mot du poète, mots humains de si peu de poids contre l’arrêt irrévocable de la définitive Absence, ne sont que la seule arme, celle que la peur de l’oubli charge d’invocations, qui sont aussi supplications :
Que tes yeux durent dans l’étroit du matin ! // Que tes nuits échappent / Aux luisances des vitres : / Murmures longs léchant le sable
Mots du poète qu’habite l’éternelle nostalgie des attributs et des pouvoirs d’Orphée, qui se retourne vers la morte pour mieux, la cherchant du regard au creux de la pénombre, la rappeler à lui, ne serait-ce qu’un seul instant, voudrait croire qu’il peut, ne serait-ce qu’un seul instant, la rendre à quelque étincelle de vie ou à quelque éternelle présence dans la si secrète lumière du cœur. Mots grâce auxquels le poète attend que la figure maternelle lui revienne, dans la chambre de sa mémoire, vêtue / d’une clarté soudaine / dans le sourire / d’un enfant / (…) //Source miraculeuse, / chose inexacte qui dure / qui résiste, / qui épuise un chemin.
Alors, ainsi, lit-on plus loin : Vous demeuriez à jamais // Eternelle : // Constellation nouvelle / qui luit au bout / des digues // qui scintille et remue. // Cela même qui reste / Votre voix // Et je l’accueille cette parole / Qu’un souffle / Rend à la lumière. Et ces derniers beaux vers par lesquels se termine l’ouvrage : Que ton sourire soit / inéluctable / au temps.
Pourtant, on lit encore cela, dans une autre page, comme on cède à l’amère résignation : Mais ton sourire, / Ô ton sourire / mère // qu’en est-il advenu ? // Quelle ombre est demeurée / aux lèvres de ton secret ? Alors, s’il faut se résigner devant l’absence, et le vide qu’est cette absence, quand Le vide se vide encore, en dépit de ces éphémères miracles que peuvent susciter les forces de l’amour, comment dire l’absence et son intolérable vide dont les mots mêmes du poète ne peuvent fixer les contours ? La cruauté de cette absence, c’est d’abord cet infranchissable silence qui sépare les rives des mondes, avant que ce même silence se fasse lancinant murmure aux lèvres du jour achevé :
On troqua le silence / contre le bruit des nuits / et dans vos mains inertes // on fit l’heure plus lourde / qu’elle n’y paraissait. // Le jour n’a plus suffit / alors // à votre voix.
Mais même les mots du « plus là, plus personne, plus rien » ne peuvent jamais rendre compte de l’impensable de la mort. Reste la brume du chagrin sur l’impensé de la nuit d’au-delà, le bruit d’encre de ses syllabes sur l’ardoise blanche des pages. Tout ce blanc aveuglant qui, sous les signes du langage, serait a priori la seule possible traduction de l’absence définitive et de ce que l’on devine du néant. Reste à cet homme qui, désormais, ne peut s’écrire qu’au passé, ne peut plus désormais marcher qu’en dehors / de ses pas, ne peut plus se faire que voix sans voix, et pour qui le printemps ne sera plus jamais qu’en recul sur la terre, ne lui reste que le recours d’écrire sur la neige cette lente douleur qui l’habite et poser ses vaines questions sur le velours / du quotidien.
« Vanité des vanités, tout est vanité ! » se lamente Cohélet dès les premiers mots qu’il prononce dans le livre de L’Ecclésiaste. Et il poursuit ainsi : « Quel profit l’homme retire-t-il des peines qu’il se donne sous le soleil ? Une génération s’en va ; une génération lui succède ; la terre cependant reste à sa place. Le soleil se lève, le soleil se couche ; puis il regagne en hâte le point où il doit se lever à nouveau. »
Le Bruit des nuits pourrait alors, si Léon Bralda décidait de s’en tenir là (Ô jeune gars qui ne fait que rêver / qui se meut vers la mort), se contenter de n’être qu’un « Memento Mori » qui, si l’on se réfère aux premières phrases de l’Ecclésiaste, se poursuivrait en paragraphes résignés évoquant le sens de la vie – ou l’apparente absence de sens – , proclamant avec fatalisme la futilité et l’inanité de toute action humaine, sage comme fou connaissant le lot commun de la mort. Mais, comme nous le dit encore la page de présentation du texte, c’est aussi « un texte plein de cette voix qui porte aux confins des jeunes années, où s’amalgament les souvenirs d’enfance et les croyances en l’avenir », souvenirs de querelles enfantines et de jeux où « l’on meurt pour de faux » (Des jeux pleins / au bord de la chaussée / ont des millions d’années). Turbulences de ces vies jeunes qui se construisent dans l’échange des coups ou, comme aussi la sienne, cherchant la plénitude / en un lieu sans saison, cette vie jeune / prenant l’ombre pour la lumière / faisant château des silices et du sel / armure d’une écorce / pour un coléoptère.
Alors écrire, écrire encore, écrire noir sur blanc, en dépit de la mort et de son inconsolation, et du déchirement de l’irrémédiable séparation, un canif enfoncé dans le cœur, mais sachant qu’au négoce des mots / une image se forme : // immensité recluse / dans le verger / de mes nuits blanches.
Car c’est de l’écriture que ces mots peuvent naître, où la mémoire se ressource, l’absence s’apprivoise, où le chagrin devient fertile et l’espérance plus têtue encore : Que tes nuits échappent / à la blancheur / des marbres. // Qu’elles soient rectitudes / aux méandres des mots.
Oui, le deuil peut être fertile quand l’absence / accomplit / le fruit / de toute absence.
Ce blanc, alors, qu’affouille et creuse l’écriture, pour y révéler ce qui s’y trouve enfoui, ne serait donc pas exactement le vide de l’absence et du néant, mais le lieu d’une intime résurrection car, ainsi que l’écrit Kandinsky, si « le noir est comme un bûcher éteint, consumé, qui a cessé de brûler, immobile et insensible comme un cadavre sur qui tout glisse et que rien ne touche plus », au contraire le blanc, de la toile ou de la page, « sonne comme un silence, un rien avant tout, un commencement. » Et les mots du poème peuvent donner sens à ce blanc, qui ne peut exister que par eux, pour en faire un espace où la mémoire se ranime et l’esprit reprend souffle : Ma mère / votre voix secoue / l’insoupçonnable. // L’ombre d’un cargo / court jusqu’au bout de la digue / sur les missives blanches / d’une éparse saison. // Un être cher attend.
Ecrire, peindre, faire de tout ce blanc le lieu d’une « intime résurrection », avons-nous écrit plus haut, car ainsi que Kandinsky le pensait aussi, « l’acte de création ne peut être qu’un élargissement de l’esprit, une manière de renaître au monde », et il ajoutait ailleurs : « C’est une puissance dont le but doit être de développer et d’améliorer l’âme humaine ». Et l’artiste-plasticien, ce double de Léon Bralda, sait aussi parfaitement de quoi il parle quand il confie encore dans son entretien : « Si mon chemin dessine les contours d’une existence vouée aux arts, je le dois pour une part essentielle à cette blessure insomniaque qu’ont nourrie tout autant la mort de ma mère et mon enfance passée à la Devèze (quartier d’immeubles et de lotissements construits à la périphérie de la ville de Béziers dans les années 1960) ». Ainsi l’acte de création, écriture, peinture, serait une manière de faire face au deuil, aux turbulences de la vie, aux désordres et aux violences du monde et, en les sublimant par l’art, d’en nourrir les raisons de ses choix de vie, d’en faire les ferments d’une pensée qui saurait même contrarier la mort, comme une ombre a fait feuillage / de tous ses souvenirs. C’est ainsi qu’il écrit, en parlant de lui-même :
Se vit lui-même, encore, / dans l’accomplissement du monde. // Il sonda le poids fabuleux des couleurs / en fit l’événement et sa finalité // cherchant les croix dans le matin / fouinant les étalages / les allées de commerce // (…) goûta le fruit des mots / allant de leur colère // (…) et pour quel cri, aussi ? // Se demandant : qui a vu Dieu ?
C’est pour la densité des émotions que l’écriture de Léon Bralda sait mettre en œuvre que ce livre vaut, et par lui-même et pour ce qu’il nous apprend des thèmes et des éléments qui traversent sa poésie, notamment ceux de la nuit et de la mort, de ses irréductibles angoisses comme de sa sourde mélancolie, de l’enfance et de l’innocence première, perdue mais partiellement reconquise. Mais aussi, et toujours, malgré tout, de cet élan vital qui le porte vers la lumière et dont nous recevons l’éclat. A quoi nous rajouterons volontiers que sa poésie a cette qualité de présence qu’ont les écrits qui s’arrachent tout saignants de la vie et dont chaque mot dit ce qu’il dit, et plus encore, et autre chose aussi, nous ouvrant à ces autres chemins par quoi la poésie nous devient territoire d’errance infinie.
Un poème inédit de Léon BRALDA Extrait de « Aux fissures d’un songe » 2021
Les mots. Les mots qui ne disent pas ce qu’ils savent du jour naissant, ne disent pas ce qu’ils cachent du soir éteint au large des saisons. Les mots-silences, les mots ouverts dans l’âtre froid d’un souvenir de classe… Le ciel a traversé les mots. Enterré le secret dans le terreau du temps. Effondré ce souffle obscur qui saille en fin de phrase : j’ai dit. Un point qui tombe mal sous la graphie du songe… À peine révélé, ce peu de ciel incandescent Brûlure, Écho regard Une pierre équarrie Une herbe Une araignée Lycose Nuit velue Allumettes Incendie Jeux d’enfant et graillons
Brûlure sous le ciel Le silence éperonne les possibles paroles qui montent lentement au seuil de la lumière. Je dis. J’ai dit… Je porte voix jusqu’au mutisme d’un signe noir écrit pour l’ombre, et pour l’épave, et pour le grain mauvais des champs de la jeunesse.Pierres dressées à l’horizon des lèvres, une à une, assemblées pour la levée du cœur lorsqu’ailleurs on enterre un être cher… Pierres logées aux creux de la parole, en ce lieu imparfait où le vide accomplit. Je sais cet homme errant parmi les voies du monde et tous ces signes lus sous le parvis du jour, et tous ces noms perdus aux caves de ses yeux. Eclairant éclairée une lampe jeunesse Etendue vagues bruits Et la maison mémoire Nuages lourds volets persiennes Vieux tas gisant Cet homme passe au gré des mots replets. Il a l’âge du ciel quand l’enfant chante haut, l’âge des cimes bleues sous l’aile endolorie d’un mois de mai, l’âge d’un homme nu derrière le paraître. Et sonne l’heure neuve aux porches des églises qui annoncent ailleurs la terre opaque. C’est le silence qui campe à l’arrière des mots : soc rouillé qu’inexorablement corrode un ciel rageur et gris, que lentement recouvre une herbe maigre. Un soc ruiné portant un ciel d’orages vieux, annonçant le déluge dans l’arrière saison, jetant l’absence à la face d’un mur où l’ombre s’amenuise. Et l’enfant qui dispose quelques soldats de plomb et quelques cailloux blancs pour jouer à la guerre… Et l’enfant qui façonne des bribes de temps faux à la bouche du rêve.
Ciel et croix pierre et cri souterrain puits bois mort
et la nuit fracassée Trop de silence après le mot ! Tas d’ombres ainsi fauchées aux sillons des paroles entendues à grandmesse, quand on venait pour croire dans l’heure paroissiale aux jours immaculés d’éternelle jeunesse. Un enfant joue, pour son théâtre d’âme, au jeu de la prière. Il prie. Il prie : labour étrange dans l’exact matin, un vieil objet tranchant casse la terre où germe l’inachevé printemps
« A L’AUBE DE LA VOIX », poèmes de Léon Bralda, gravures de Lionel Balard, éditions Donner à voir, Collection / Séries Petits Carrés (2020)
Chronique publiée in Terres de femmes, juin 2020
Lecture de Michel Diaz
« A l’aube de la voix », nous dit la quatrième de couverture, est un texte qui répond à « l’impérieuse nécessité pour ce poète (que) de toujours revenir par le travail d’écriture à la maison natale, en ces abords de la jeunesse qui ont irrémédiablement façonné sa perception du monde ».
Ce livre, dédié à un vieil ami de l’auteur, aux parents du premier, évocation de leur maison et de jours d’insouciance, est bien une tentative de retour amont sur les terres d’enfance, ainsi que son annonce le souligne aussi : « Au plus loin de ma vie, dans le vacarme incessant où se déchirent les matins jeunes, il fut un lieu clos, un jardin où le ciel reposait dans la douceur de vivre et le bonheur d’une famille ».
La présentation de l’auteur, à la fin de cet ouvrage accompagné de neuf gravures, nous rappelle que le poète Léon Bralda et le plasticien Lionel Balard ne sont qu’une seule et même personne. Si le plasticien illustre les textes du poète et s’en fait l’écho dans de sobres et belles images que le seul recours au noir et blanc contribue efficacement à « dramatiser », le poète laisse deviner le plasticien qu’il est en même temps. En ce sens, la publication de ce livre par les éditions Donner à voir nous semble on ne peut plus pertinente ! En effet, et davantage, nous semble-t-il, que dans ses autres textes, le côté « visuel » de cette écriture semble s’y inviter avec plus de prégnance encore. C’est aussi bien, en éclairs de réminiscence, la silhouette de « la mère aimante et sombre derrière les volets », que « le long trottoir d’asphalte et de poussière », « le chat maigre endeuillé par la nuit pourpre », « l’éclat fulgurant du jour sur le corps des fenêtres », ou encore « la porte endeuillée où rouillent quelques clous ». Mais c’est aussi le ciel « lourd d’un orage grêleux », « un jour de pluie posé sur les carreaux de la fenêtre », « ces fronts de vigne dans leur parfaite géométrie »… Images de la langue poétique dont la référence explicite à l’environnement ou à ce qu’en fait la mémoire, suscitent aussitôt les images d’un monde dont s’empare l’esprit du lecteur et qui parlent à l’œil de son imaginaire, lui laissant tout loisir de les faire siennes. Cette « perception du monde » évoquée plus haut est ici d’ordre « expérimental », celle que façonnent les sens d’un enfant qui découvre et s’imprègne du monde, s’y avance pour s’y inscrire ou, plus exactement, s’y aventure, déjà lourd des questions qu’il ne cessera plus de se poser face à cette ouverture d’inconnu qu’est l’énigme de l’existence.
L’expérience sensorielle du monde, c’est ce qui emplit le champ du vacant, y plante ses repères, y sème ses possibles, en nourrira sa nostalgie. C’est, en premier lieu, bien sûr, le regard et ce qui s’y est déposé, « la déraison d’un ciel de mai, quand saignent les lilas », « le blé révélé par un soleil latent » et « court au terme des moissons », « l’herbe qui jaillit comme le sein de lait offert à la terre natale », « les thuyas de l’allée, au pied d’un mur d’enceinte », la pluie « sur les rosiers, les iris et les statues de ciment qui peuplaient le jardin », c’est « la beauté d’une lueur pendue loin derrière les bâtisses ». Ce qui s’invité à cette faim de monde, ce sont aussi les bruits, partition en fond de mémoire, le murmure des fontaines qui « prendront dans l’herbe et jusque sur les vitres », les mêmes thuyas qui « se font encore entendre », qui « chuchotent parfois sous le débord du vent », les volets et les portes qu’on ouvre, le ciel « avec ses grondements et ses râles de bête ». Partition où s’accrochent encore des éclats de voix humaines, ce si lointain « à tout à l’heure, mon garçon », « ces mots, depuis toujours, pour prendre l’heure dans le matin, sur le chemin des écoliers », ceux des leçons jadis apprises et qui ânonnent, dans le souvenir, « les siècles de l’Histoire que gouvernent les cartes, les lois aux temps écrits qui accordaient le verbe », ces voix qui, plus tard, « viendront broder aux pas de la marmaille le moindre souffle d’air », les cris accompagnant « les jeux qui auront germé dans l’heure vagabonde de la récréation », le cri d’appel au « chien échappé de l’enclos depuis la veille ». Images visuelles et sonores, olfactives encore, puisque ces « terres avaient l’odeur des romarins, des menthes et des tilleuls », qu’au creux de la cave régnait « l’odeur du jour mourant de trop de solitude », que flottait parfois cette odeur sur les « terrains vagues dans lesquels ont brûlé, à chaque canicule, les ronces et les chardons ». Mais aussi odeurs de la mort dont on fait, à cet âge, la première expérience, celle de la bête « crevée depuis longtemps déjà », des eaux qu’elle a souillées, qu’on enfouit au fond d’une fosse tandis que « des enfants s’étaient assis sur le bord du talus et jetaient leur visage dans l’ordinaire des immeubles ». Expérience parmi les plus décisives puisque « le jardinier venait de retourner un peu de terre et nous savions quelle énigme se formait à l’endroit du labeur ». Expérience que forgent les jeux l’enfance : jeux de l’apprentissage de la vie, en même temps que jeux de guerres et de mort, les uns étroitement mêlés aux autres puisque, comme l’écrit l’auteur, « Nous mimions l’agonie et l’horreur des batailles, et nos mots étaient ceux des gorges incendiées ». Puisque, ajoute-til, « Nous mourions aux confins de nos joies (…) Nos guerres avaient le poids du jour et l’heure de nos cris », et que « dans les jeux de l’enfance, nous jetions les désastres d’autrefois ».
Mais Léon Bralda est l’un de ces poètes auxquels la lumière n’est pas spontanément et naturellement accordée. Il serait plutôt de ceux-là qui travaillent à la gagner, s’efforçant d’habiter poétiquement le monde comme nous le conseillait Hölderlin, et qui peuvent revendiquer ce qu’ils en ont conquis sur le sombre et la terre des jours. Il est de ceux sur qui le ciel de l’existence fait peser son poids de pénombre, ceux pour qui leur ciel de poète est quelquefois lourd à porter (je cite inexactement de mémoire ces mots de lui écrits ailleurs). Parce que « le ciel est lourd de n’être au fond qu’un jeu pour l’enfance profonde ». Pour Léon Bralda, les territoires de l’enfance ne sont pas exclusivement ceux des « verts paradis » baudelairiens. Pour ce qui le concerne et qui remonte en ses écrits, de façon récurrente, « il y avait l’enfant et toutes les ténèbres qui mordaient l’œil sous le trop-plein de la jeunesse ». Et si, pour cet enfant qui inventait l’enfance, le monde s’ouvrait sur son secret, il y avait aussi pourtant « les sauts allant à la lumière et le soleil éteint derrière chaque allée ». Car lumière et ombre vont de pair dans l’apprentissage du monde, comme elles vont de pair, et s’épaulant, sur les chemins rugueux des hommes. Parce que, écrit le poète, « on n’a pas dix ans quand les cris mordent aux portes closes, que jaillissent les branches hideuses du regard ». Car aussi l’enfance « laisse l’enfant venir dans le silence pour des rires épars et des bruits sourds de chairs que mange la colère ». Premiers bonheurs glanés dans l’innocence des rires et des jeux, alors que déjà la nuit rôde, que se font mordantes les peurs, que s’ouvre au fond de l’insouciance cette « chambre effrayée par le bruit de la nuit. Une mort qui tissait du sang au ventre noir, qui se faisait pressante et avide de tout ». Puisque encore l’enfant a peur, « dans le mystère de l’enfance » et que, du monde qui le cerne, comme de celui qui l’attend, il observe déjà et pressent ce qu’il contient de violence irréductible et d’irrémédiable incompréhensible. Saison d’enfance, « impudique saison soumise à la question, vieille âme enchevêtrée dans l’hystérie du monde », saison d’une innocence provisoire où l’on entend déjà « battre le pouls de tous les morts ». Saison où l’être en devenir, prêtant l’oreille, serait capable d’entendre aussi, et sans chercher à les comprendre, dans le bruissement du vent dans les arbres et les murmures des statues, tous les secrets de la terre, sans encore savoir que « c’est de là que les rêves surviennent… » Et avec eux, une fois pris par les soucis des jours et dans les tenailles du temps, « des lendemains d’étoiles et des restes d’orties […] De là qu’advient le doute, ou la parole pour le dire ». Car à l’enfant succède le poète, qui n’a que sa parole pour tisonner parmi les mots, en ressusciter quelque braise, essayer de sauver ce qu’ils ont oublié et ne savent plus dire. Se souvenir, c’est prendre aussi le risque d’écorcher ses pas sur les pierres vives du temps, de blesser sa mémoire aux ronces de la nostalgie, en tout cas de se confronter à la perte de tout et de tous, d’endosser la tristesse. Tourner son regard en arrière, mais avancer pourtant (que faire d’autre ?), ce poids d’ombre sur les épaules, dans l’ornière des heures. « Mon pas est lent », écrit Léon Bralda, au début de son livre, « Et je suis de ceux-là qui passent comme tant d’autres, par habitude ! Qui sarclent le rêve au fond de la ravine (…). Ils sont passés comme je passe : le corps lourd et douloureusement fermé sur ce peu de bonheur qui l’habite ».
Lumière et ombre, avons-nous dit, se partagent ces pages, sans que la seconde pourtant prenne décisivement le pas sur l’autre. « Je buvais l’instant doux de la vie douce », lit-on. « J’allais le cœur halant jusqu’à la paix des âmes. » Mais l’ombre aussi, parfois, est accueillante et douce. Pour preuve, ces lignes qui évoquent, dans une lumière de clair-obscur qui pourrait nous faire penser à quelque peinture de Georges de la Tour, un intérieur paisible et amical : « Il y avait l’enfant et le soir survenu, l’ombre d’un cerisier cassant la nuit derrière la baie vitrée et le téléviseur qui racontait le monde ». Scène complétée par cette autre : « Sur le couvre-lit rouge : un chat dormant de son sommeil de chat et d’autres nuits à faire au-delà de la nuit. Un miroir ciselé d’ombres imparfaites, quelques éclats chauds des phares de voitures jetés depuis la route à travers la fenêtre ». Scène qu’évoque ce poète qui est aussi bien plasticien, sans effets dramatiques ni théâtraux, scène de la vie quotidienne qu’en peinture on appelle scène de genre. Qui n’est, en l’occurrence, ici, qu’une scène de bonheur simple, mais de celles dont les racines s’enfoncent au tréfonds de l’âme, de celles que l’oubli ne saurait prendre à la mémoire et que le corps « tient d’un amour infaillible, à l’étroit de l’humain ».
Que faire d’autre qu’avancer, espérer qu’une aube se lève à l’horizon du jour ? Et espérer, comme l’enfant, se rassurant contre la peur du noir, que le jour revienne. « Et le jour reviendrait. » Parole de poète aussi, qui quête sa lumière : « Le soir, c’est sûr ! Il se fera d’argile à l’aube de la voix… Et le jour reviendra, c’est sûr ! Et le jour reviendra ». Comment d’ailleurs ne pas revendiquer cette espérance dans (et contre) le désespoir du monde ? Que peut promettre d’autre un homme debout, et en marche, qui n’avance qu’en faisant corps avec la poésie ? Parole de poète encore : c’est ainsi que Léon Bralda donne à ses mots la force douce et vigoureuse des images afin qu’ouverts à ce qu’il attend d’eux, ils libèrent cela qui en eux-mêmes cherchent à aller plus loin que leur toujours trop étroite détermination, et qu’allégés du poids des vaines nostalgies, ils remontent vers un de ces clairs-de-terre dont la poésie nous éclaire.
Article publié dans le N° 79 de Diérèse, automne 2020
Le numéro 38 des Cahiers de l’Entour (un tirage, comme toujours modeste, de 50 exemplaires), ce sont 22 pages également partagées entre le poète Léon Bralda et le photographe Michel Coste qui, de ses riches noirs, blancs et gris, et d’une matière indéterminée, racines, écorce, pierre, pâte de temps fossilisée, fait remonter à sa surface on ne sait quels fantômes, figures de la peine (on peut penser aux esclaves de Michel-Ange) dans lesquelles sont encore visibles, incrustées dans leur mouvement arrêté, quelque trace d’un jour crayeux et d’anciennes ruines de vie.
Dans ce texte, extrait de « A la marge, la nuit », Léon Bralda chemine à travers mots et d’une image à l’autre, comme on écarte de l’épaule les pans de la nuit qui nous cerne, s’y risquant à voix douloureuse, à la recherche d’un peu plus de lumière, comme l’on s’avance de pierre en pierre pour passer le gué du silence : Il y a toujours un drame noué tout au fond de la gorge lorsque le soleil luit si haut sous la parole et qu’un secret pèse dans l’herbe humide des bas-fonds. // Le silence a rongé les montants des fenêtres. Un espace inouï frappe où le feu prend, sans rien que de la cendre grise pour demain.
La fréquentation de l’espace propre à la poésie permet qu’une patiente et humble marche intérieure s’accomplisse en nous, cheminements de solitude, passages vers l’intérieur de l’être et le secret de ces paysages qu’ils ouvrent, ces circulations vitales qui les parcourent : Je longe la barricade que reconstruit le jour. J’embrasse un vide étrange et lumineux. Je bois à la fontaine une lumière vive, déjà vieille du temps que charrie la distance.
Ces cheminements à travers l’espace géographique, comme à travers celui ouvert par l’écriture, vers un peu plus loin que soi-même, ces territoires où la vie taille dans la mémoire, c’est cela, pour autant qu’on le puisse, essayer d’apprivoiser l’invisible, les mystères des voies vers la compréhension de notre appartenance au monde : La terre, et l’eau, et l’herbe ont un secret… Femme fertile, frêle fleur fécondée par le feu : ce froid fossile de ma nuit.
Il y a pourtant autant d’inconnu devant soi, logé dans nos questionnements, que d’invisible dans l’espace : Dans l’errance du pas que présage un désir, d’anciens vestiges ont proclamé le deuil, ourdi le souvenir. // Et je ne peux que croire à mon infirmité. Voir ne nous servirait de rien ? Ne rien voir nous soulagerait de tout ce qu’on a vu, et si ta fatigue est poussière au miroir de tes mots, s’il se fait, sous les versants de la montagne, une voix pleine de reproches, est-ce parce que nous ne pouvons que vivre dans le renoncement ? D’ailleurs n‘a-t-on pas déjà sondé ces champs de pierres ? N’a-t-on pas, et pour le souvenir, fouillé la moindre faille ? Ouvert le moindre vide au vide du matin ? N’a-t-on pas retrouvé l’os et le bois calciné ? // Que cherchons-nous, au fond, sinon nos origines ?
Ces cheminements incertains, et à mots tâtonnants, c’est aussi cela essayer d’avancer en nous appuyant sur ce qu’il y a de moins tangible en nous, pour nous apercevoir qu’il n’est rien de plus sûr, de plus solide et de plus essentiel que cette insoutenable vérité : cette immobilité trahit ton émouvant destin : tu meurs aussi et ton visage, peu à peu, se couvre d’un sable fin qui compte tes silences. Une vérité dont rien de ce qu’elle provoque de révolte ne pourra subsister sinon cet habit noir piqué de lèvres blanches, ce drap de pierre et d’ombre, de bois taillé aux lames du désir.
IX. Chroniques et notes de lecture publiées en revues
X. Nouvelles et textes poétiques publiés en revues
XI. Revue de presse : articles et autres textes consacrés aux ouvrages de Michel Diaz
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I. THEATRE
Le Verbe et l’hameçon, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1977
L’Insurrection, Cahiers de Radio-France, Paris, 1986
Le Dépôt des locomotives, préface de Georges Vitaly, édit. Jean-Michel Place, Paris, 1989
La Dame blanche, 2000, Jour de colère, 2002 [ monologues, publiés sous forme de nouvelles in A deux doigts du paradis , édit. L’Amourier, 2012]
La Nuit de la Toussaint, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, janv. 2016
Au « Musée de la littérature théâtrale belge », Bruxelles :
Faubourgs amers, MLTB 04282, 1986
Trois impromptus pour clarinette seule, pièces pour la radio [publiées sous forme de nouvelles dans différents recueils], MLTB 04283, 1987-88 :
I. Lettre de loin II. La photo de Louise III. Roissy blues
Solitudes, d’après quatre nouvelles de Raymond Carver, MLTB 04316, 1989
Il est doux sur la vaste mer…. a été joué au Théâtre municipal d’Orléans (Carré Saint-Vincent), en 1975.
Le Verbe et l’hameçon a été joué à Tours (salle Thélème, Université François Rabelais), par le Théâtre du Pratos, en 1975.
Lettre de loin a été joué au festival de Cluny par la Compagnie de José Manuel Cano Lopez, en 1986.
Cœur obus éclaté a été joué à Tours, Espace Ligéria, par la troupe de Claude Derrez, en 1989.
Le Dépôt des locomotives à été joué au théâtre Mouffetard (Paris), dans une mise en scène de Georges Vitaly, avec Maria Casarès et François Perrot, en 1989.
L’Insurrection et Faubourgs amers ont été lus dans leurs théâtres respectifs, à l’invitation de J.-L. Barrault et L. Terzieff, en 1989.
L’Insurrection, Lettre de loin, Roissy blues, Le Dépôt des locomotives, Faubourgs amers ont été diffusés, dans leur version radiophonique, sur France-Culture et la R.T.B.F.en 1986, 1990, 1992 (avec une Aide à la Création du Ministère de la Culture, Département des Théâtres et des Spectacles).
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II. POÉSIE ET LIVRES D’ART
Mise en demeure, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1975
Atelier des silences, photos de Thierry Cardon, préface d’Yves Bonnefoy, édit. Jacques Hesse, Saint-Etienne-de-Diray, 1997
Juste au-delà des yeux, images de Pierre Fuentes, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-les-Tours, 2013
Cristaux de nuit, édit. de L’Ours blanc, Paris, 2013
Aux passants que nous sommes, photos de Rieja van Aart, note liminaire de Martin de Crouy, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, 2013
La belle, photo de Rieja van Aart, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013
Sans titre 2 (Approches du visage), peintures de Laurent Bouro, préface d’Agathe Place, édit. Label-Martin Decrouy, La Guerche, septembre 2014
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, édit. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014
Arbre(s), dessins de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, Paris, déc. 2014
Né de la déchirure, cyanotypes de Laurent Dubois, préface de Raphaël Monticelli, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2015
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015
Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, peintures d’Alain Plouvier, édit. La Simarre & Chistian Pirot, Joué-lès-Tours, novembre 2015
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016
Owakudani, terre de soufre, images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, Paris, janv. 2016
Le Cœur endurant, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 4ème trim. 2016
Un navire de papier, photos de Laurent Dubois, préface de Bernard Giusti, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2017
Dans l’inaccessible présence, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Thi lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, nov. 2017
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018
Bassin-versant, préface de Jean-Marie Alfroy, édit. Musimot, Cussac-sur-Loire, avril 2018 (Prix Amélie Murat 2019)
Lignes de crête, frontispice de Jean-Michel Marchetti, édit. Alcyone, Saintes, févr. 2019
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
Comme un chemin qui s’ouvre, édit. de L’Amourier, Coaraze, mars 2019
La source, le poème, gravures sur bois de Lionel Balard, édition séparée en portfolios, tirages de tête numérotés de I à IV, éd. Les Cahiers des passerelles, Aubière, juillet 2020
Le verger abandonné, édit. Musimot, Le Mayet d’École, août 2020 (Prix Aliénor 2020)
Offrandes, peintures d’Olivia Rolde, préface de Daniel Leuwers, Thi Lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, sept. 2020
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés, édit. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2021
La source, le poème, avec 10 gravures sur bois de Lionel Balard, édition courante, suite extraite du recueil « Eloge des eaux murmurantes » (inédit), édit. Les Cahiers des passerelles, Aubière, 1er trim. 2021
Quelque part dans l’inaccompli, peintures de Paola Di Prima, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Quelque part la lumière pleut, frontispice de Silvaine Arabo, édit. Alcyone, Saintes, mars 2022
Sous l’étoile du jour, préface d’Alain Freixe, Rosa canina éditions, Lodève, avril 2023
Au risque de la lumière, recueil à quatre mains, textes de Michel Diaz et Léon Bralda, avec en fontispice une peinture de Silvaine Arabo, éd. Alcyone, juillet 2023
Eloge des eaux murmurantes, gravures sur bois de Lionel Balard, éd. La Simarre, mars 2024
Comme une porte au vent, en projet de publication aux éditions Les Cahiers des passerelles, gravures de Pierre Jourde (2024)
Traverser l’obscur, édit. Musimot, Le Mayet d’Ecole (2024)
Entrefaits et Le quatuor d’Arnal, Michel Diaz, Jean-Claude Tardif, Yves Arauxo, Jean-Pierre Otte, édit. A l’index, collection Empreintes (juillet 2024)
Le souffle du sacré, peintures de Patrice Delory, en attente de publication (sept.-oct 2024) aux éditions Unicité
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III. NOUVELLES
Séparations, édit. L’Harmattan, Paris, 2009
A deux doigts du paradis, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2012
Le Gardien du silence, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2014
Partage des eaux, édit. N. & B. (Noir & Blanc), Toulouse, septembre 2014
Le Petit train des gueules cassées,recueil collectif de nouvelles, contient : « Dites-moi une chose, une seule », « Compte à rebours », édit. de L’Ours Blanc, Paris, janvier 2015
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IV. PUBLICATIONS EN ANTHOLOGIES
in Gravure / poésie, « Sciences »,une prose poétique, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2023
in Donner à voir, « Forêts », un poème, juin 2022
in Gravure / poésie, « L’errance/le voyage », deux poèmes, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2022
in Terre à ciel, « Rencontrer », deux poèmes (Vieil arbre), janvier 2022
in Editions Musimot, « Désir » ( à l’occasion du Printemps des poètes 2021), trois poèmes, mars 2021
in Terre à ciel, « Dire oui », un poème, janvier 2021
in Saraswati numéro 16, « Les saisons », quatre poèmes, décembre 2020
in Arpanuméro 130, « Naître au monde », quatre poèmes, décembre 2020
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V. ESSAIS
Arthur Adamov, hier déjà et encore demain, thèse de doctorat, 1990-95, bibliothèque de l’Université François Rabelais, Tours. (700 p., 2 vol.: bibliographie d’Arthur Adamov; écrits de jeunesse et textes inédits commentés ; essai sur l’influence de la poésie romantique allemande et du théâtre expressionniste allemand et nordique sur l’œuvre d’A. Adamov.)
Introduction au théâtre radiophonique d’Arthur Adamov, 1996 (cf. archives sonores aux Editions André Dimanche)
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VI. PRÉFACES
Arbre(s), introduction à l’oeuvre dessinée, arbres morts et racines, de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, 2014
Le Petit train des gueules cassées, préface au recueil collectif de nouvelles, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 2015
Owakudani, terre de soufre, introduction à la série « La montagne de soufre », images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, janv. 2016
Anthologie poétique, 1956-1970 et 1999-2018, introduction à l’œuvre poétique de Claude Cailleau, édit. du Petit Pavé, avril 2019
Tout doit disparaître !, préface au recueil de nouvelles de Gabriel Eugène Kopp, RROYZZ Editions, mai 2019
Si loin est l’horizon, préface au recueil de nouvelles d’Anne Renault, édit. L’Harmattan, 2019
Dans la paix des tumultes, introduction à l’ouvrage Peintures, carnets, portraits, meubles, consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, présentation du poète dans le dossier qui lui est consacré dans le n° 105 de la revue Poésie sur Seine, décembre 2021
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VII. ENTRETIENS
Au seuil du silence,« Les chemins d’un auteur », entretien avec Christian Rome, in la revue « Chemins de traverse », N°43, pp. 1-14, décembre 2013
Entretien avec Benjamin Taïeb, in revue « La Voix du basilic », N° 47, pp. 2-4, mai 2014
Entretien avec Jean-Yves Casteldrouin, in site des éditions N & B (Noir et Blanc, Toulouse), février 2015
Entretiens avec Claire Desthomas-Demange, Radio Altitude (Clermont-Ferrand), 2 entretiens de 1 heure, enregistrés le 13 juin 2019.
Interview par Clémence Prot, pour Signature-Touraine, 15 mai 2020.
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VIII. LIVRES D’ARTISTES
Traits, spirales, pointillés, photos de Thierry Cardon, galerie La Métisse d’argile, Saint Hippolyte, 1998
Au regard du silence,photos de Pierre Fuentes, livre vertical, installation, in « L’Automnale de Vouvray », 2012
La belle, photo de Rieja van Aart, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013 (21 ex.)
Owakudani, image de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2013 (4 ex.)
Ne rien laisser que cendres, dessins de Jacques Riby, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex)
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, éd. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014 (21 ex)
Feuilles vives, la feuille de vigne, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feuilles vives, la feuille de figuier, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (6 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feu et sang,dessins de Georges Badin, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Textures, dessin de Roselyne Guittier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Par la fenêtre du solstice,dessin de Roselyne Guittier, 2014, coll. privée
Dans la nuit de la voix, dessins de Jean-Gilles Badaire, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Au commencement était le silence, photo de M.-Christine Schrigen, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015 (21 ex.)
Ce qu’il nous faut rendre à la nuit, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016 (21 ex.)
Nuit trop lucide, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
D’entre silences, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Evidemment le bleu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Ombre du doigt de Dieu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Derniers faux pas, dessins de Yves Conte, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Lettre morte, dessin de Jeannine Diaz-Aznar, « Du livre pauvre au Mail Art », médiathèque de Manosque, sept. 2016
Bassin-versant, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
Coup de grâce, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
La brûlure a la couleur des lèvres, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Heureux… comme le migrant…, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Etes-vous libre ? Soyez dangereux (hommage à Claude Cahun), dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Stylite, dessin de Patrice Delory (ex. unique), coll. privée, 2017
Mélancholia, gravure de Jean Luneau (ex. unique), coll. privée, févr. 2018
Aux lèvres du sommeil, dessins de Coco Texèdre, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Flamme et rose, dessins de Françoise Roullier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Clamavis in deserto, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Au croc rouillé des siècles, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche 2018 (4 ex.)
Soleil levant, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche, 2018 (4 ex.)
Drôle d’époque !, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018 (10 ex.)
Pour balayer les cendres, dessins de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Rumeur de l’eau, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
A Hölderlin, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Faux jour, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
L’âme est une eau heureuse I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse III, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse IV, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Résonance, dessins de Paola Di Prima, 2019, coll. privée (2 ex.)
Miroir sans fond, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Mais là, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
La sentinelle, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Dans le miroir des yeux, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés contenant 5 textes + 5 peintures, éd. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2020 (14 ex. dont 4 ex. en tirages de tête contenant 1 texte manuscrit accompagné d’un dessin inédit de l’artiste)
Entre la flamme et l’ombre, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fête des morts, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fujisan, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au pied du volcan, dessins de Michèle Vaucelle, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Le cri de la hulotte, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Cendre des jours, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au sommeil du volcan, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
La chevêche Athéna, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
J’écoute le silence, dessins de Paola Di Prima, 2020, coll. privée (3 ex.)
Palimpseste, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Phalène, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Pulsation, dessins de Jean-Noël Bachès, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
L’œil écoute, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Matin, champ, photos de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Telle est la nuit, dessins de Paola Di Prima, 2021, coll. privée (2 ex.)
Quelque part dans l’inaccompli, encres de Paola Di Prima, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Je vous écris I, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Je vous écris II, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Horizons du temps, encres de Paola Di Prima, juil. 2023 (5 ex.)
Pierre du vent, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
Le livre de l’exode, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
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IX. CHRONIQUES ET NOTES DE LECTURE (publiées en revues)
Comme tremble le seuil, Eric Chassefière, éd. Alcyone (2024), in ce blog (sept. 2024)
Cousu, décousu, profil perdu, Françoise Le Bouar, éd. L’Herbe qui tremble (2024), in ce blog (sept. 2024)
Ombres abruptes, Eric Barbier, 538ème Encres Vives (2024), in ce blog (sept. 2024)
L’invention des couleurs, Isabelle Lévesque, Pierre Dhainaut, éd. L’Ail des ours, collection coquelicot (2024), in ce blog (août 2024), à paraître in Diérèse N° 91
La Petite Plage, suivi de Brest, rivage de l’ailleurs, Marie-Hélène Prouteau, éd. La Part commune (2024), in ce blog (juillet 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Après la fin du monde, Requiem, Colette Klein, éd. Henry (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Terres de femmes (sept. 2024)
Mes anticorps, Jean-Pierre Otte, éd. Le Temps qu’il fait (2023), in ce blog (juin 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Epures du cri, Pierre Thibaud, éd. Alcyone (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Mont Ventoux, vues et variations, Angèle Paoli, Caroline François-Rubino, éd. Voix d’encre (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Poésibao (12 juin 2024)
Eveil trois fois, Pierre Dhainaut, éd. du Douayeul, coll. Les Carnets du Douayeul (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Patienter sous les nuages, Richard Rognet, éd. Gallimard Collection blanche (2024), in ce blog (mars 2024), note à paraître in Poésie sur Seine
Héritage du souffle, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note publiée in Terres de femmes (mai 2024)
Pays perpétuel, Gilles Lades, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Vapeurs d’enfance, Michel Lamart, éd. Unicité (2023), in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Quelques miettes tombées du poème, Jean-Pierre Boulic, éd. Les Cahiers d’Illador, in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Cet au-delà de l’ombre, Sabine Péglion, éd. L’Ail des ours, Collection Grand ours (2023), in ce blog (février 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Emergences, Christophe Mahy, dessins de Jean-Marc Ehanno, éd. L’Herbe qui tremble (2023), in ce blog (novembre 2023), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Je veux dire, Cyrille Latour, éd. Jacques Brémond (2023), in ce blog (nov. 2023), note publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
L’âpre beauté du paysage, Jeanne Bastide, éd. L’ail des ours (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Palermo, Eric Chassefière, éd. Rafaël de Surtis (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Retour sur écoute : , Pierre Dhainaut, éd. Le Bateau Fantôme (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
L’empreinte Matala, Teo Libardo, Rosa canina éditions (2033), note de lecture in ce blog (août 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Lieux, Jean-Paul Bota, éd. Tarabuste (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée Place de la Sorbonne N° 13 (juin 2024)
La troisième voix, Isabelle Lévesque-Pierre Dhainaut, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023) et in Concerto pour marées et silence, revue, N° 17 (juin 2024)
Le ciel jaloux des roses, Alain Duault, éd. Gallimard (2023), in ce blog (juillet 2023) et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Enraciné, Jean-Pierre Boulic, éd. La part commune (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Dans un nid de flammes, Richard Rognet, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Un exil sans royaume(sur Camus et l’Algérie), texte à paraître dans un ouvrage collectif consacré à Albert Camus, in ce blog (mars 2023)
Un printemps sans fenêtre suivi de Réminiscences, Raymond Farina, éd. N&B (2022), in ce blog (mars 2023), et in Diérèse N° 87
Jardin des voix, Pierre Thibaud, éd. Parole et Silence (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 87
Clartés du soir, Jacques Robinet, éd. Unicité (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
La mesure des murs, Colette Daviles-Estinès, éd. L’ail des ours (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Persévérance des brumes, Florence Saint-Roch, éd. Vincent Rougier (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Images de l’éternel fleuve, à propos des peinture de Lena Nikcovic (en projet de publication dans un catalogue d’artiste, version française traduite en allemand) in ce blog (nov. 2022)
Le jardin d’absence, Eric Chassefière, éd. Sémaphore (2022), in ce blog (oct. 2022) et in Diérèse N° 86, janvier 2023
Dits de la pierre, Bernard Fournier, éd. La feuille de thé (2022), in ce blog (oct. 2022) et in [Terres de femmes, hiver 2023 ?]
Le réel est un poème métaphysique, Marie-Claude San Juan, éd. Unicité (2022), in ce blog (oct. 2022), et in Diérèse N° 88
A propos de Jean-Paul Bota, in ce blog ( janvier 2021) et in Diérèse N° 86, hiver 2022-23
Tu viens de là, Teo Libardo, éd. Musimot (2022), in ce blog (sept. 2022) et in Diérése N° 86, hiver 2022-23
Editorial, in Diérèse N° 85, octobre 2022
L’un seul, légendes, Geneviève Deplatière, éd. Unicité, Collection Le Vrai Lieu (2020), in ce blog (juin 2022) et in Diérèse N° 87
Le cerisier, Antoine Maine, éd. La chouette imprévue (2021), in ce blog (mai 2022) et in Diérèse N° 85, septembre 2022
A la cime des heures, Jean-Pierre Boulic, éd. L’enfance des arbres (2022), in ce blog (mars 2022) et in Diérèse N° 85, octobre 2022
Ouvrière durée, Gilles Lades, éd. Le Silence qui roule (2021), in ce blog, juin 2021, et in Terres de femmes, juin 2022
Capter l’indicible, Silvaine Arabo, éd. Rafael de Surtis (2021), in ce blog (mars 2022) et in Chemins de traverse N° 61, décembre 2022
D’ores et déjà, Daniel Martinez, éd. Les Deux Siciles (2021), in ce blog (mars 2022), sur le site Diérèse et les Deux Siciles, mars 2022, et in Chemins de traverse n° 60, juin 2022
Cahiers des chemins qui ne mènent pas, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2020), in ce blog (déc. 2020), et in Diérèse N° 83, janvier 2022
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, in ce blog (octobre 2021) et le n° 105 de Poésie sur Seine, janvier 2022
Ici, Pierre Dhainaut, éd. Arfuyen (2021), in ce blog, juin 2021, et in Concerto pour silence et marées, revue, N° 15, juin 2022
Conversations dans un jardin, nouvelles, Bernard Pignero, Encretoile éditions (2021), in blog (juin 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Statues-menhirs, Bernard Fournier, texte inédit, in ce blog, juin 2021
Le Bruit des nuits, Léon Bralda, Les éditions du Petit Pois, Collection Prime Abord (2021), in ce blog (mai 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Ombres géométriques frôlées par le vent, Marie-Claude San Juan & Roland Chopard, éd. Unicité, Collection Images écrits (2020), in ce blog, mai 2021
La bonne vie, Jean-Pierre Otte, éd. Cactus inébranlable (2021), in ce blog (avril 2021) et dans in Diérèse N° 82, octobre 2021
L’Offrande des lieux – Jean-Pierre Boulic, éd. La Part commune (2021), in ce blog (avril 2021) et in Diérèse N° 82, octobre 2021
La cérémonie des inquiétudes, Alain Duault, éd. Gallimard (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Pour voix et flûte, Pierre Dhainault, éd. AEncrages & Co (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
La gloire des poussières, Raymond Farina, éd. Alcyone (2020), in ce blog, oct. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
A l’aube de la voix, poèmes de Léon Bralda, gravures de Lionel Balard, éd. Donner à voir (2020), in le site Terres de femmes, juin 2020
Quelques regards, textes de Bernard Noël, peintures de Jean-Michel Marchetti, éd. La Dragonne (2016), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 79, juin 2020
Aux sources de ta voix, poèmes de Léon Bralda, peintures de Hervé Chanassiol, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 46 (2020), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Dans la paix des tumultes, introduction à Alain Plouvier – Peintures, carnets, portraits, meubles, ouvrage consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021, in ce blog, janv. 2020
Hémon, suivi d’Antigone, Silences et Loin la langue, Bernard Fournier, éd. La Feuille de thé (2019), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
Ophélie d’Elseneur, Michel Passelergue, éd. Aspect (2019), in ce blog, janv. 2020, et et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
L’œil et l’instant, Pascale Alejandra, éd. Le phare du cousseix (2019), in ce blog, déc. 2019 et in Diérèse n° 78, printemps-été 2020
Sang d’encre, textes de Michèle Vaucelle, linogravures de M. Vaucelle, éd. Collodion (2019), in ce blog, déc. 2019, publié sur le site des éditions Collodion et in Diérèse n° 79, juin 2020
De la matière des rêves, à propos des images photographiques de Pierre Fuentes et de sa série Dans le repli des songes , in ce blog, nov. 2019 et pages face book
Chartres et environs, textes de Jean-Paul Bota, dessins de David Hébert, éd. des Vanneaux – Collection Carnets nomades (2019), in ce blog, nov. 2019 et Dièrèse n° 78, printemps-été 2020
La cendre grise pour demain, poèmes de Léon Bralda, photographies de Michel Coste, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 38 (2019), in ce blog, oct. 2019, et Diérèse n° 80, printemps 2021
Pierrier, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2019), in ce blog, oct. 2019 et sur le site des éditions Musimot
Carnaval, textes de Jean-Luc Coudray, peintures de Jonathan Bougard, éd. du Petit Véhicule (2019), in ce blog, août 2019, et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Passants, Antoine Emaz, éd. Unes (2017), in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Les nuits échangées, Raphaële George, éd. Unes (2018), in in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Enquête sur un poète disparu – Jean-Jacques Mahet (2ème version), in ce blog, juillet 2019 et Dièrèse n° 77, automne-hiver 2019
A propos des photos de Rieja van Aart, in ce blog, mars 2019
De votre absence, Monique Lucchini, éd. Musimot (2019), in ce blog, févr. 2019 et sur le site des éditions Musimot
La prophétie des mouches, Brigitte Guilhot, éd. Jacques Flament (2019), in ce blog, févr. 2019
De sang, de nerfs et d’os, Patrice Blanc, éd. Le Contentieux (2018), in ce blog in ce blog, déc. 2018 et Diérèse n° 76, été 2019
La pièce du bas, Gilles Lades, éd. L’Etoile des Limites (2018), in ce blog, nov. 2018, et Diérèse n° 76, été 2019
Introduction à l’oeuvre poétique de Claude Cailleau, anthologie poétique, éd. du Petit Pavé (avril 2019)
Matrie, Colette Daviles-Estinès, éd. Henry, 2018, in ce blog, sept. 2018, le site de la revue Lichen, nov. 2018, et sur le site Volets ou vers, de C. Daviles-Estinès
Si loin est l’horizon, nouvelles, Anne Renault, éd. L’Harmattan (2019), in ce blog, août 2018
Car l’amour existe, Cyrille Latour, éd. de L’Amourier (2018), in Le Basilic (juin 2018), le site des éditions de L’Amourier et le site de C. Latour, mai 2018
Fragments d’une errance, texte pour une vidéo de Pierre Fuentes, in ce blog, avr. 2018
Le poème recommencé, Gilles Lades, éd. Alcyone (2018), in ce blog, avril 2018, Diérèse N° 74, hiver 2018, L’Iresuthe n° 45, sept. 2019, Chemins de traverse n° 54, été 2019, et le site de Radio occitania, 17 mai 2018
Debout, présents et vivants, Olivia Rolde, peintures, texte de catalogue, in le site d’Olivia Rolde, mars 2018
De la responsabilité du chroniqueur et de celle de l’auteur(e), in L’Iresuthe n° 45, sept. 2018
En territoires de l’incertitude, Patrice Delory, peintures, texte d’exposition, in ce blog, févr. 2018
Noir, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2017), in L’Iresuthe n° 43, août 2018, et sur le site des éditions Musimot
Requiem, Poème sans héros et autres poèmes, Anna Akhamatova, éd. Poésie/Gallimard (2014), in Les Cahiers de la rue Ventura N° 41, mars 2018
La nuit déborde, Jeanne Bastide, éd. de L’Amourier (2017), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 39, févr. 2018, sur le site des éditions de L’Amourier et sur le site Terres de femmes
Un bégaiement, Julien Bosc, éd. Cénomane (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura, n° 40, janv. 2018
Etre et avoir l’été, Charles Simond, éd. Musimot (2013), in ce blog, nov. 2107 et sur le site des éditions Musimot
Contre le désert, Alain Freixe, éd. de L’Amourier (2017), in le site des éditions de L’Amourier, et le site Terres de femmes, oct. 2017
Nouveau Roman & Théâtre nouveau, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 37, sept. 2017
Ma (dé)conversion au judaïsme, Benjamin Taiëb, éd. Lunatique (2107), coll. Lire debout, in ce blog, juin 2017
Mer intérieure, Raphaël Monticelli, éd. La Passe du vent (2011), in ce blog, juin 2017
Lettre au poète Claude Cailleau, in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et Les Cahiers de la rue Ventura n° 40, mai 2018
Le collier rouge, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard (2014), in L’Iresuthe n° 41, juin 2017
Le Livre du désir, Léonard Cohen, éd. Le Cherche Midi, collection Points (2008), in ce blog, mai 2017
Les reflets du silence, Shoshana, éd. Musimot (2017), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017, et sur le site des éditions Musimot
Un dangereux plaisir, François Vallejo, éd. Viviane Hamy (2016), in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et sur le site de François Vallejo
Mécomptes de Noël, Gabriel Eugène Kopp, éd. de L’Ours Blanc (2016), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017
Haïku – Anthologie du poème court japonais, éd. Poésie/Gallimard (2002), in ce blog, mai 2017
Je, tu, il, Claude Cailleau, éd. Tensing (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 35, mai 2017
Un scarabée bruissant du rêve, Pascal Revault, éd. Musimot (2015), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, oct. 2016
Fantaisies, Bernard Henninger, éd. Blogger de Loire (2015), in ce blog et sur le site « Impulsions » de B. Henninger, oct. 2016
Allant vers et autres escales, Colette Daviles-Estinès, éd. de L’Aigrette (2016), in ce blog et sur le site « Volets ou vers » de C. D.-Estinès, oct. 2016
Une étude sur Alain Borne, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 33, sept. 2016
Jésus l’apocryphe, Jean-Luc Coudray, éd. de L’Amourier (2016), in Chemins de traverse n° 49, déc. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
Quête du nom, Alain Guillard, éd. de L’Amourier (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
L’aube a un goût de cerise, Raymond Alcovère, éd. N&B (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site de Raymond Alcovère
Carnets de montagne, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2016), in ce blog et le site des éditions Musimot, juin 2016
Insinuations sur fond de pluie, Javier Vicedo Alos, éd. Fondencre (2015), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
L’Histoire de la brume, Stuart Dybek, éd. Siloé (2008), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
Shitao et Cézanne, une même expérience spirituelle, Charles Juliet, éd. L’Echoppe (2008), in ce blog, mars 2016
Les Admirés, Daniel Berghezan, éd. Musimot (2016), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, mars 2016
La Morasse, Jean Forestier, éd. Edilivre (2016), in L’Iresuthe n° 38, 2015
Il n’est plus d’étrangers, Catherine Leblanc, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 37, 2015, et sur le site des éditions de L’Amourier
Comme une corde prête à rompre, Bernard Giusti, éd. de L’Ours Blanc (2007), in Chemins de traverse n° 47, 2015
Bribes, Raphaël Monticelli, éd. de L’Amourier (2015), in ce blog, déc. 2015
La côte sauvage, Jean-René Huguenin, éd. Points-Seuil (rééd.), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 30, déc. 2015
Enquête sur un poète disparu, Jean-Jacques Mahet, éd. Les Paragraphes littéraires de Paris (1976), in L’Iresuthe n° 35, déc. 2015, sur le site de L’Anacoluthe et in Dièrèse n° 77 (version mise à jour du texte)
Alain Borne – En une seuleinjure, éd. Editinter (2002), in ce blog, nov. 2015
Treize – Indociles, Alain Borne, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
Cette roue qui nous emporte, Jean-Pierre Schamber, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
A un jour de la source, Françoise Oriot, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 36, 2015, sur le site des éditions de L’Amourier, sur le site Terres de femmes et Talentpaper blog
J’ailleurs, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog et sur le site des éditions SKA, juil. 2015
La peau sur les mots, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog, juil. 2015
Le pays que je te ferai voir, Michel Séonnet, éd. de L’Amourier (2014), in L’Iresuthe n° 33, 2014, et sur le site des éditions de L’Amourier
Un an de noyaux de cerises, Sylvie Azéma-Prolonge, éd. Relink (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Soluble, Brigitte Guilhot, éd. de L’Ours Blanc (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Autour de quelques tableaux de Thierry Dussac, in ce blog, sept. 2014
Les petites pièces rapportées, Eve de Laudec, éd. Chum (2014), in ce blog et sur le site « L’Emplume et l’écrié » d’E. de Laudec, sept. 2014
La nouvelle came, Audrey Terrisse, éd. BoD (2013), in ce blog, oct. 2014
Les bois levés de Thierry Cardon, in le recueil Cristaux de nuit (éd. de L’Ours Blanc, 2013), mai 2013
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X. NOUVELLES ET TEXTES POÉTIQUES PUBLIÉS EN REVUES (ou sites et blogs)
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), à paraître in Lichen N° 100, septembre 2024
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), à paraître in le prochain N° de Concerto pour marées et silence, revue
7 poèmes extraits de « Embrasures » (recueil inédit), in A l’index N° 49, pp. 14-17, sept. 2024
4 poèmes extraits de « Traverser l’obscur », in Chemins de traverse N° 64, pp. 24-25, juin 2024
Eloge des eaux murmurantes, 2 extraits publiés in Terres de femmes, mars 2024
Un petit théâtre de ruines, nouvelle, in Diérèse N° 88, automne 2023
Fragments d’une errance, extrait de « Traverser l’obscur » (recueil à paraître en 2024), in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », février 2023
Comme une porte au vent, à Alessandra Pizarnik, in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », juin 2022
Pierre du vent, in Diérèse N° 85, septembre 2022
2 poèmes extraits de la série « Arbre(s) », in Terre à ciel (anthologie sur le thème « Rencontrer »), juin 2022
3 poèmes extraits de « Offrandes », in le N° 15 de Concerto pour marées et silence, revue, juin 2022
Je t’écris du plus loin de moi-même, nouvelle, in Diérèse N° 83, janv-févr 2022
« Nésdu confinement », 5 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Diérèse N° 81, automne 2021
3 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Concerto pour marées et silence (revue dirigée par Colette Klein) N° 14, juin 2021
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, mai 2021
1 poème extrait de « Quelque part la lumière pleut », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », mai 2021
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Diérèse N° 80, printemps 2021
4 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Saraswati N° 16, printemps 2021
Le livre de l’exil, in Chemins de traverse N° 57, mai 2021
1 poème extrait de « Offrandes », in anthologie Terre à ciel, janvier 2021
3 poèmes extraits de « Au risque de la lumière », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », décembre 2020
6 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Arpa N° 129-130 (thème « Naître au monde »), automne 2020
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Chemins de traverse N° 56, pp. 8-10, juin 2020
2 poèmes extraits durecueil « Quelque part la lumière pleut« , in le site de Raphaël Monticelli, Bribes en lignes, mai 2020
2 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut », in le site de Daniel Martinez, Diérèse et les deux Siciles, 28 mars 2020
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in la page Facebook de Silvaine Arabo, mars 2020
Fragments d’une errance, in L’iresuthe N° 46, pp. 5-7, hiver 2020
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in Chemins de traverse N° 55, pp. 8-10, décembre 2019
5 textes extraits de la suite « Sous l’étoile Absinthe », in Arpa N°127, pp. 43-46, sept. 2019
Vers le désert, nouvelle, in Diérèse N° 76, été 2019
6 poèmes extraits du recueil « Lignes de crête« , in site des éditions Alcyone, février 2019
1 poème extrait du recueil « Lignes de crête », in Terres de femmes, février 2019
« Comme vont ces chemins », 2 poèmes inédits, in L’Iresuthe N° 44, p. 38, hiver 2019
Poèmes et proses poétiques, in Lichen N° 5, 6, 7, 8, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 20, 23, 27, 34, 35, 36, 37, 57, 60, 61, 62
« Alep », in Chemins de traverse N° 52, p. 15, décembre 2018
« Trois histoires d’anges », extraits du recueil « Bassin versant », in L’Iresuthe N° 42, pp. 41-44, hiver 2018
« Inverser le regard », poème, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 11, 1er trim. 2018
Extrait de la préface au recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 10, 1er trim. 2018
2 textes extraits du recueil « Bassin versant », in L’Herbe folle N° 9, mai 2017
« Trois courts hommages », extraits du recueil « Lignes de crête », in L’Iresuthe N° 41, pp. 38-40, automne 2017
1 poème sans titre, in Poésie/première N° 68, p. 89,sept. 2017
« Ce qui gouverne le silence », 2 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Ecrit(s) du Nord N° 31-32, sept. 2017
« Au clou rouillé du soir », texte extrait du recueil « Bassin versant », in site Emmila Gitana, 23 septembre 2017
« Certains jours de partage… », texte extrait du recueil « Cristaux de nuit », in site Emmila Gitana, 4 août 2017
2 poèmes sans titre, in L’Herbe folle N° 7, janvier 2017
1 poème extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Poésie/première N° 65, p. 82, oct. 2016
5 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 32, pp. 37-39, juin 2016
« Fragments d’un carnet d’hiver », extraits du recueil « Fêlure », in L’Iresuthe N° 37, pp. 42-47, printemps-été 2016
Vers le désert, nouvelle, in L’Iresuthe N° 32, pp. 6-9, hiver 2015
4 textes extraits de « Sans titre 2, Approches du visage », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 27, pp. 30-32, 1er trim. 2015
Dites-moi une chose, une seule, nouvelle, in L’Iresuthe N° 31, pp. 11-18, automne 2014
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in L’Iresuthe N° 30, pp. 4-9, été 2014
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in L’Iresuthe N° 26, pp. 2-10, hiver 2013
« Treize stèles et une pierre blanche »,extraits du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 43, pp. 12-13, décembre 2013
« Lettre à Pénélope », extrait du recueil « Le verger abandonné », in L’Iresuthe N° 28, pp. 5-8, automne 2013
10 textes extraits de « Né de la déchirure », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 20, pp. 24-28, juin 2013
« Scénario pour la fin d’un monde », extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 42, pp. 15-17, juin 2013
L’Invitation, nouvelle, in L’Iresuthe N° 25, pp. 24-30, automne-hiver 2012
« Chemins de crête », extrait du recueil « Séparations », nouvelle, in Chemins de traverse N° 41, pp. .18-20, décembre 2012
« Arbre, vieil arbre », in La voix du Basilic N° 10, p. 5, mai 2012
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XI. ARTICLES ET AUTRES TEXTES CONSACRÉS AUX OUVRAGES DE MICHEL DIAZ (cf » Revue de presse »)
Eric Chassefière, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Francopolis (septembre 2024)
Marie-Claude San Juan, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Trames nomades (juillet 2024)
Marie-Christine Guidon, Traverser l’obscur, note de lecture publiée in ……
Jean-Pierre Boulic, Traverser l’obscur, note de lecture à paraître dans un prochain numéro d’Arpa
Jean-Louis Bernard, L’Ecriture essentielle, texte publié in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024), introduction au dossier consacré à Michel Diaz
Jean-Louis Bernard, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Terres de femmes (avril 2024)
Marie-Christine Guidon, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Arts et poésie de Touraine (avril 2024)
Bernard Fournier, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024)
Jean-Pierre Boulic, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Antoine de Matharel, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023)
Marie-Claude Sans Juan, à propos de ma recension sur son recueil Le réel est un poème métaphysique, in Diérèse N° 88, automne 2023
Gilles Lades, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Verso N° 186
Jean-Louis Bernard, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Concerto pour marées et silence, revue N° 17 (juin 2024)
Jean-Pierre Boulic, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 et in Diérèse N° 90 (été 2024)
Marie-Claude San Juan, notes de lecture sur des articles parus dans deux numéros de Diérèse (85, 86), in « Trames nomades » (18/08/2023)
Jean-Pierre Boulic, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 110 (septembre 2023)
Eric Chassefière, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Diérèse N° 88 (automne 2023)
Michel Passelergue, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Pierre Dhainaut, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Bernard Fournier, Sous l’étoile du jour, note de lecture in Poésie/première (sept. 2023)
Alain Freixe, Sous l’étoile du jour, note de lecture, in Terres de femmes (juillet 2023)
Jean-Louis Bernard,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Concerto pour marées et silence, revue, N° 16-2023
Gérard Bocholier,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Arpa N° 137-138
Gilles Lades, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Verso N° 191
Armelle Chichit, Le verger abandonné, note de lecture, in Verso N° 190
Jean-Pierre Boulic, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Diérèse N° 85 -septembre 2022)
Marie-Claude San Juan, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Trames nomades (mai 2022) et in revue A l’index, N° 46 (mars 2023)
Bernard Fournier, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Poésie/première N° 82 (mai 2022)
Pierre Dhainaut, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Michel Passelergue, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Marie-Claude San Juan, « Le verger abandonné », de Michel Diaz. Ulysse errant choisissant le non-retour, ou l’ascèse d’écriture et d’être, en récit métaphysique…, in Trames nomades, décembre 2021
Bernard Fournier, La source, le poème, impressions de lecture, in ce blog, « Principaux ouvrages publiés, juin 2021
Jean-Paul Bota, Le Verger abandonné, note de lecture, in Diérèse N° 80 (mai 2021)
Bernard Fournier, Le Verger abandonné, note de lecture, in Poésie/première N° 79 (printemps 2021)
Marie-Claude San Juan, Lignes de crête, in le site des éditions Alcyone et le site Trames nomades, avril 2021
Marie-Claude San Juan, Les saisons en poésie (à propos des textes publiés in Saraswati N° 16), in le site Trames nomades.
Brigitte Guilhot, Le petit train des gueules cassées, in le blog de L’Ours blanc, février 2021
Michel Passelergue, Le Verger abandonné, in Diérèse N° 80 (Hiver-printemps 2021)
Silvaine Arabo, Le Verger abandonné, in Sawasrati N° 16 (2021)
Eric Barbier, Né de la déchirure, in Diérèse N° 79 (octobre 2020)
Angèle Paoli, « Un chant nouveau de la disparition », Le Verger abandonné, in Terres de femmes, septembre 2020
Lionel Balard, Le verger abandonné, septembre 2020
Jean-Pierre Boulic, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Le verger abandonné, septembre 2020
Philippe Boutibonnes, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Fêlure, courrier du 13/08/2020
Gilles Lades, « Deux voies de l’infini », à propos de Né de la déchirure, juillet 2020
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Contacts :
micheldiaz.md@orange.fr
www.michel-diaz.com
cf. site des éditions Alcyone
cf. site des éditions L’Amourier
cf. site des éditions Musimot
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