CAR L’AMOUR EXISTE – Cyrille Latour
Editions de L’Amourier (2018)
« La nuit sera blanche et noire » (G. de Nerval)
Ce livre, dans le drame qu’il nous révèle et nous livre pudiquement, par fragments successifs, est traversé de pages déchirantes qui nous touchent au plus intime.
Mais quelle est la nature de ce texte ? Il appartient à la catégorie des objets littéraires non (ou peu) identifiés. En lui, rien qui puisse vraiment le ranger dans un genre bien défini qui nous en fournirait la méthode d’approche. On pourrait cependant, comme nous le suggère la présentation de l’ouvrage, retenir la formule de « récit de vie ».
Les premières lignes de la 4ème de couverture nous présentent ainsi cet ouvrage, en commençant par une citation: «L’ordinateur diffuse le film que tu ne regarderas plus. Sur l’écran, il ne me reste que les mots pour tenter de redessiner, en transparence, le reflet de ton visage.
Ce très beau film, qu’elle ne regardera plus, est L’Amour existe, de Maurice Pialat. Parce qu’il fut prélude à leur rencontre, le narrateur en tresse ici le récit avec cet autre, celui de leur courte vie ensemble, interrompue par son geste, à elle.»
Ce geste, Cyrille Latour l’évoque dès la 3ème page de son livre: «Quand je repense à cet été, à notre attente, je peux dire tout ce que tu as fait– en quoi, concrètement, tu as transformé cette attente –, mais je ne saurai jamais comment tu as attendu. Deux mois plus tard, tu donneras la vie. Encore douze de plus et tu te donneras la mort. Terrible puissance du don – mais la mort ne se donne pas, tout juste se reçoit-elle.»
A travers la voix du comédien-récitant J. Loup Reynold, ce sont les mots de M. Pialat que l’on entend dans L’Amour existe, court-métrage d’une vingtaine de minutes en noir et blanc, réalisé en 1960, un des premiers du réalisateur.
On peut, avec Cyrille Latour, légitimement estimer que ce court film est un chef-d’œuvre. Ce n’est, au demeurant, ni tout à fait un documentaire, ni un essai, mais un poème cinématographique à la mélancolie poignante, qui s’articule autour des mots délivrés en voix off, des longs plans panoramiques dessinés par l’œil de la caméra et de la musique de G. Delerue. On y voit doucement défiler les images grises, tristes et désolées, désolantes de solitude, de la banlieue d’alors, d’entre Pantin et Courbevoie, ou de la périphérie Est de Paris. On y voit aussi défiler les images navrantes et compactes des heures de pointe sur les quais ou dans les couloirs du métro, les embouteillages des vies pavillonnaires prêtes à tous les sacrifices pour échapper aux horizons concentrationnaires des barres d’immeubles, quitte à planter leurs quatre murs au bout d’une piste d’atterrissage d’Orly ou de Roissy. On y voit encore des images des bidonvilles de Massy à la fin des années cinquante, celles des barres HLM parfois quasiment aveugles.
Ce que propose M. Pialat dans ce film, ce n’est pas une étude sociologique de la banlieue, mais une évocation, pour dire « le parachèvement de la ségrégation des classes », la promiscuité des appartement HLM « qu’on ne choisit pas », pour dire la vie de travailleurs qui n’ont que la « vieillesse comme récompense », et la mise à l’écart des centre-ville, là où les rares horizons sont ceux des zones industrielles et commerciales. C’est un film d’amour, triste et rageur, sévère mais lucide, dont le propos, résolument politique, sur la banlieue, sur le quotidien sans futur des habitants de la périphérie parisienne reste vrai, 55 ans après sa réalisation.
C’est tout cela, cette tristesse, cette rage sourde, cette sévérité lucide et ce même regard politique, que l’on retrouve, fidèlement transposés, clairement assumés, dans le livre de Cyrille Latour.
Il était nécessaire, je crois, pour mieux parler de la « nature » de ce livre si singulier, de rappeler ce que nous montre le film de M. Pialat, puisque Cyrille Latour, prenant appui sur ses images, les commentant l’une après l’autre, plan après plan, retranscrivant les mots de la voix off, ses inflexions et ses silences, y tresse son « récit de vie », ne le superpose pas à eux, mais l’y mêle, les confondant parfois, comme en des effets de miroirs, l’un devenant alors l’éclairage des autres.
On peut penser, peut-être, à la démarche de M. Duras, comme dans India song, par exemple, faisant un livre de son film et déplaçant son œuvre d’un genre vers un autre pour lui proposer un nouveau statut. On peut, je crois encore, se risquer à le dire, tant Cyrille Latour, qui n’est pas l’auteur de L’Amour existe, se le réapproprie pourtant intimement, semble en récrire tout le scénario jusque dans les moindres détails, semble en réinventer le matériau, en tout cas le « rénove » et le « revisite ». Ainsi, comme on le lit encore dans la présentation du livre, « le cinéma devient texte, et le récit de vie se fait image au creux de l’absence ».
Le trouble qui nous prend à la lecture de ce livre, nous poursuit, sa lecture achevée, provient bien entendu de l’incompréhensible « geste », de l’irrémédiable « c’est arrivé« , mais il provient aussi de quelque chose d’indéfinissable qui est, dans son déplacement de l’angle de vision, comme le compte-rendu « hyperréaliste » des images de la réalité, celles grises, tristes, désolées, proposées par le film de M. Pialat, celles de la banlieue contemporaine, tout aussi désolées, évoquées par l’auteur du livre, et celles incrustées dans sa mémoire comme autant de photos ou d’images mouvantes de l’être disparu. La superposition de ces regards, de ces strates d’images, provoque au cours des pages (c’est en tout cas mon expérience de lecture) quelque chose d’halluciné.
Par « halluciné », je veux dire que cet ouvrage est produit d’un regard qui, posé sur les choses (les images de la banlieue filmée dans années soixante, confondues avec celles, tout aussi réelles, d’aujourd’hui, qu’il arrive à l’auteur de superposer sur les mêmes lieux), provoque un trouble de la vue qui en fait apparaître, avec une intense acuité, ce que le regard, tout d’abord, n’aurait su aussi bien percevoir. Il en émane, comme une saisie par un troisième œil, une impression de « surréalité » qui, au-delà des apparences du réel sensible, en fait jaillir un sens qui ne peut s’imposer que comme une évidence, en serait la « révélation » (au sens photographique du terme), l’apparition de quelque chose qui met à mal notre lecture du réel, banalement infirme, mais l’ouvre à d’autres angles de vision et de compréhension.
L’une des vertus d’un ouvrage qui ne doit d’exister qu’à la seule et urgente nécessité de son écriture, est d’interroger l’incompréhensible, d’apporter quelque sens à ce questionnement et à l’absurde vérité du monde, donnant ainsi à son auteur la seule dimension qui vaille. F. Nietszche écrit, dans Le gai savoir: « Nous avons l’art pour ne pas mourir de la vérité. » L’expérience de vie (et de mort) et la démarche d’écriture, dans le cas de son livre, autorise Cyrille Latour à regarder en face l’un des aspects de cette vérité dont la dureté nous brûle les yeux et l’esprit, et dont certain(e)s, à l’éprouver dans ce qu’elle a d’insupportable, vont jusqu’à en mourir. L’art, quelquefois, ne suffit plus.
C’est cette « vérité » que Cyrille Latour (à la suite de M. Pialat) désigne comme l’un des visages d’un monde où l’air que l’on respire devient de plus en plus terrible. « Cela » qui semble justifier, en tout cas expliquer, en arrive-t-il à nous dire, ce « geste » de désespérance qui, d’abord, aux yeux du lecteur, ne semblait relever que d’un mal être personnel au monde, d’une décision incompréhensible mais solitaire. Cette « vérité » que chacun fréquente quotidiennement et que le plus grand nombre, s’y accoutumant, finit par ne plus voir ou tâche, pour l’exorciser, s’en défendre, la tenir à distance, de ne rien changer à ses habitudes, la voilà dite dans ce livre: « Violence du monde, violence du groupe ou violence solitaire retournée contre soi […] le monde entier est en danger. […] Et au moins, n’as-tu pas eu à voir se confirmer ce que ta peur lucide te répétait en boucle jusqu’à l’usure, à proprement parler jusqu’à la déraison: le monde entier est un danger. »
Et puis, comment continue-t-on, aujourd’hui comme hier, à maltraiter les hommes ? A leur imposer une vie qui ne peut que les rendre malades d’eux-mêmes et du monde, « jusqu’à la déraison » ? « Temps de vie fragmenté, du domicile au lieu de travail, du lieu de travail aux commerces, des commerces au centre-ville, du centre-ville à la périphérie. Et tant de vies en morceaux, découpées par la palpitation permanente des feux de détresse. […] Faut-il que les lieux de vie soient si invivables pour devoir les quitter aussi souvent ? Deux heures, trois heures, quatre heures de trajet par jour. Faut-il que le temps ait si peu de valeur pour le gaspiller en embouteillages et heures de pointe ? […] Entassement dans les wagons surchargés. Second trajet en autobus. » Voix et regard à l’œuvre dans le film de M. Pialat, comme ceux de l’auteur du livre, ne font plus qu’un, ici encore, et s’accordent pour dévoiler « l’humiliation quotidienne à laquelle ils préfèreraient probablement oublier qu’ils ont accepté de se soumettre ». Vies d’êtres épuisés par l’inexorable routine, la longueur des trajets, l’ingratitude du travail. Déportation massive, quotidienne, à laquelle il leur faut consentir. Rien n’a changé. Tout se répète, continue, et on aurait envie de dire « en pire », car l’horizon des espérances s’est résolument assombri. Aucun rêve ne semble plus possible, et la violence du monde n’a pas baissé les armes, loin de là. Non, nous répète Cyrille Latour, comme un leitmotiv, « la guerre n’est jamais très loin ».
Aussi, voilà aussi ce qui, au bout des mots finit par s’imposer: « A bien y regarder, ton mal n’était en rien l’expression de ce qui n’allait pas en toi, mais plutôt de tout ce qui autour de toi, autour de chacun d’entre nous, ne va pas en soi, ne va plus de soi. Tu n’as fait, au fond, que réagir sainement à un environnement qui ne l’était pas. »
Et puis, voilà encore, comme suite logique de ce qui précède, une autre scène du film de M. Pialat: une femme en maillot de bain, qui plonge dans la piscine en plein air du quai Michelet à Levallois, dont le corps disparaît un instant de l’image. Et Cyrille Latour écrit: « Vertige qui me glace. Je ne peux assister à ce saut sans une violente angoisse. Je ne peux supporter cette absence – saut qui anticipe, répète ton propre saut; absence qui prévoit, redouble la tienne. Elle saute, disparaît – premier être humain sur lequel s’attarde son regard depuis la nuit blanche et noire – et tout est brusquement dépeuplé. »
Oui, cela fait bien référence à cet autre « saut », celui de Gérard de Nerval dans « la nuit blanche et noire » de son désespoir et aux derniers mots qu’il nous laissés. Et c’est dans ces quelques pages du livre, que je viens d’évoquer, que situe le cœur saignant du livre, là qu’il bat au plus près des images du film, où se scelle sa clé de voûte.
Contre l’oubli, ce livre se remémore. Livre de vie, en vérité, et au-delà de l’inconsolation. « Faire son deuil », dit-on couramment aujourd’hui, en se conformant aux formules prêtes à l’emploi. Expression détestable, me semble-t-il, car injonction à recouvrir (ou à combler) le manque de l’absence. En fait, il n’y a pas de deuil possible, quand l’absence a ouvert sa béance, autant inacceptable que démesurée, et que l’amour perdure au-delà de la mort, et contre tout l’oubli. « Faire son deuil » devrait plutôt être l’effort d’œuvrer à maintenir cette béance ouverte pour y approfondir et cultiver notre expérience de la perte. Cyrille Latour s’y emploie, qui écrit à la fin de son livre:
« Tu as donné la vie. Tu m’as donné la vie. […] […] Après toi, après le plein de toi, je n’ai que des bris. Le plaisir, la joie, l’abandon, la confiance, la douceur ne pourront s’offrir que par morceaux, sans unité ni cohérence. Pourtant, j’en ai l’intuition étrange – insolente, incongrue mais nécessaire -, ils constitueront tout de même un avenir. Vie brisée, mais vie quand même. Je ne veux pas demander grâce, mais rendre grâce. Car l’amour a existé – par la grâce de toi. Car l’amour existe. »
Derniers mots dictés par l’amour. Ce que l’on doit en conserver d’intact et de plus lumineux. Ils ne doivent cependant toute leur force, à la fin de ce livre, qu’à tous ceux qui les précèdent, qui leur ont permis de grandir et de solidement s’enraciner dans le terreau de la douleur, d’acquérir le plein sens de leur paisible certitude.
Cette certitude est celle que le titre de l’ouvrage affiche, affirme, et qui est contenue tout entière dans le « car », la conjonction de coordination qui impose, incontestable, la relation causale d’une proposition à ce qui en découle. Dans ce titre, en effet, qui devrait logiquement être (……………) car l’amour existe, Cyrille Latour fait l’économie de la première partie de la phrase dans laquelle se résume le livre entier qui se retrouve dans ces mots: « Je dois assumer sans toi maintenant ce risque que nous avons pris – vivre -, mais ton geste n’y change rien, n’y changera jamais rien. Ne pourra jamais prendre ce qui est pris. »
Par ce livre qui questionne et qui le questionne, le regard largement ouvert, dans sa pleine mesure d’homme, en être qui travaille à « transformer le pourquoi en pour quoi« , Cyrille Latour nous donne une leçon de vie et, par-delà la mort, rend le plus bel hommage qui se puisse à sa compagne disparue et déjà, par ces pages, « rend à (s)on geste sa dignité », comme par sa promesse de « (s)e montrer à la hauteur de (s)on sacrifice ».
IX. Chroniques et notes de lecture publiées en revues
X. Nouvelles et textes poétiques publiés en revues
XI. Revue de presse : articles et autres textes consacrés aux ouvrages de Michel Diaz
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I. THEATRE
Le Verbe et l’hameçon, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1977
L’Insurrection, Cahiers de Radio-France, Paris, 1986
Le Dépôt des locomotives, préface de Georges Vitaly, édit. Jean-Michel Place, Paris, 1989
La Dame blanche, 2000, Jour de colère, 2002 [ monologues, publiés sous forme de nouvelles in A deux doigts du paradis , édit. L’Amourier, 2012]
La Nuit de la Toussaint, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, janv. 2016
Au « Musée de la littérature théâtrale belge », Bruxelles :
Faubourgs amers, MLTB 04282, 1986
Trois impromptus pour clarinette seule, pièces pour la radio [publiées sous forme de nouvelles dans différents recueils], MLTB 04283, 1987-88 :
I. Lettre de loin II. La photo de Louise III. Roissy blues
Solitudes, d’après quatre nouvelles de Raymond Carver, MLTB 04316, 1989
Il est doux sur la vaste mer…. a été joué au Théâtre municipal d’Orléans (Carré Saint-Vincent), en 1975.
Le Verbe et l’hameçon a été joué à Tours (salle Thélème, Université François Rabelais), par le Théâtre du Pratos, en 1975.
Lettre de loin a été joué au festival de Cluny par la Compagnie de José Manuel Cano Lopez, en 1986.
Cœur obus éclaté a été joué à Tours, Espace Ligéria, par la troupe de Claude Derrez, en 1989.
Le Dépôt des locomotives à été joué au théâtre Mouffetard (Paris), dans une mise en scène de Georges Vitaly, avec Maria Casarès et François Perrot, en 1989.
L’Insurrection et Faubourgs amers ont été lus dans leurs théâtres respectifs, à l’invitation de J.-L. Barrault et L. Terzieff, en 1989.
L’Insurrection, Lettre de loin, Roissy blues, Le Dépôt des locomotives, Faubourgs amers ont été diffusés, dans leur version radiophonique, sur France-Culture et la R.T.B.F.en 1986, 1990, 1992 (avec une Aide à la Création du Ministère de la Culture, Département des Théâtres et des Spectacles).
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II. POÉSIE ET LIVRES D’ART
Mise en demeure, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1975
Atelier des silences, photos de Thierry Cardon, préface d’Yves Bonnefoy, édit. Jacques Hesse, Saint-Etienne-de-Diray, 1997
Juste au-delà des yeux, images de Pierre Fuentes, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-les-Tours, 2013
Cristaux de nuit, édit. de L’Ours blanc, Paris, 2013
Aux passants que nous sommes, photos de Rieja van Aart, note liminaire de Martin de Crouy, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, 2013
La belle, photo de Rieja van Aart, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013
Sans titre 2 (Approches du visage), peintures de Laurent Bouro, préface d’Agathe Place, édit. Label-Martin Decrouy, La Guerche, septembre 2014
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, édit. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014
Arbre(s), dessins de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, Paris, déc. 2014
Né de la déchirure, cyanotypes de Laurent Dubois, préface de Raphaël Monticelli, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2015
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015
Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, peintures d’Alain Plouvier, édit. La Simarre & Chistian Pirot, Joué-lès-Tours, novembre 2015
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016
Owakudani, terre de soufre, images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, Paris, janv. 2016
Le Cœur endurant, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 4ème trim. 2016
Un navire de papier, photos de Laurent Dubois, préface de Bernard Giusti, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2017
Dans l’inaccessible présence, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Thi lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, nov. 2017
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018
Bassin-versant, préface de Jean-Marie Alfroy, édit. Musimot, Cussac-sur-Loire, avril 2018 (Prix Amélie Murat 2019)
Lignes de crête, frontispice de Jean-Michel Marchetti, édit. Alcyone, Saintes, févr. 2019
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
Comme un chemin qui s’ouvre, édit. de L’Amourier, Coaraze, mars 2019
La source, le poème, gravures sur bois de Lionel Balard, édition séparée en portfolios, tirages de tête numérotés de I à IV, éd. Les Cahiers des passerelles, Aubière, juillet 2020
Le verger abandonné, édit. Musimot, Le Mayet d’École, août 2020 (Prix Aliénor 2020)
Offrandes, peintures d’Olivia Rolde, préface de Daniel Leuwers, Thi Lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, sept. 2020
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés, édit. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2021
La source, le poème, avec 10 gravures sur bois de Lionel Balard, édition courante, suite extraite du recueil « Eloge des eaux murmurantes » (inédit), édit. Les Cahiers des passerelles, Aubière, 1er trim. 2021
Quelque part dans l’inaccompli, peintures de Paola Di Prima, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Quelque part la lumière pleut, frontispice de Silvaine Arabo, édit. Alcyone, Saintes, mars 2022
Sous l’étoile du jour, préface d’Alain Freixe, édit. Rosa canina éditions, Lodève, avril 2023
Au risque de la lumière, recueil à quatre mains, textes de Michel Diaz et Léon Bralda, avec en fontispice une peinture de Silvaine Arabo, éd. Alcyone, juillet 2023
Comme une porte au vent, en projet de publication aux éditions Les Cahiers des passerelles, gravures de Pierre Jourde (2024)
Traverser l’obscur, en projet de publication aux éditions Musimot (2024)
Eloges des eaux murmurantes, avec 16 xylogravures de Lionel Balard, en attente de publication
Le souffle du sacré, peintures de Patrice Delory, en attente de publication
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III. NOUVELLES
Séparations, édit. L’Harmattan, Paris, 2009
A deux doigts du paradis, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2012
Le Gardien du silence, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2014
Partage des eaux, édit. N. & B. (Noir & Blanc), Toulouse, septembre 2014
Le Petit train des gueules cassées,recueil collectif de nouvelles, contient : « Dites-moi une chose, une seule », « Compte à rebours », édit. de L’Ours Blanc, Paris, janvier 2015
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IV. PUBLICATIONS EN ANTHOLOGIES
in Gravure / poésie, « Sciences »,une prose poétique, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2023
in Donner à voir, « Forêts », un poème, juin 2022
in Gravure / poésie, « L’errance/le voyage », deux poèmes, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2022
in Terre à ciel, « Rencontrer », deux poèmes (Vieil arbre), janvier 2022
in Editions Musimot, « Désir » ( à l’occasion du Printemps des poètes 2021), trois poèmes, mars 2021
in Terre à ciel, « Dire oui », un poème, janvier 2021
in Saraswati numéro 16, « Les saisons », quatre poèmes, décembre 2020
in Arpanuméro 130, « Naître au monde », quatre poèmes, décembre 2020
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V. ESSAIS
Arthur Adamov, hier déjà et encore demain, thèse de doctorat, 1990-95, bibliothèque de l’Université François Rabelais, Tours. (700 p., 2 vol.: bibliographie d’Arthur Adamov; écrits de jeunesse et textes inédits commentés ; essai sur l’influence de la poésie romantique allemande et du théâtre expressionniste allemand et nordique sur l’œuvre d’A. Adamov.)
Introduction au théâtre radiophonique d’Arthur Adamov, 1996 (cf. archives sonores aux Editions André Dimanche)
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VI. PRÉFACES
Arbre(s), introduction à l’oeuvre dessinée, arbres morts et racines, de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, 2014
Le Petit train des gueules cassées, préface au recueil collectif de nouvelles, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 2015
Owakudani, terre de soufre, introduction à la série « La montagne de soufre », images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, janv. 2016
Anthologie poétique, 1956-1970 et 1999-2018, introduction à l’œuvre poétique de Claude Cailleau, édit. du Petit Pavé, avril 2019
Tout doit disparaître !, préface au recueil de nouvelles de Gabriel Eugène Kopp, RROYZZ Editions, mai 2019
Si loin est l’horizon, préface au recueil de nouvelles d’Anne Renault, édit. L’Harmattan, 2019
Dans la paix des tumultes, introduction à l’ouvrage Peintures, carnets, portraits, meubles, consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, présentation du poète dans le dossier qui lui est consacré dans le n° 105 de la revue Poésie sur Seine, décembre 2021
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VII. ENTRETIENS
Au seuil du silence,« Les chemins d’un auteur », entretien avec Christian Rome, in la revue « Chemins de traverse », N°43, pp. 1-14, décembre 2013
Entretien avec Benjamin Taïeb, in revue « La Voix du basilic », N° 47, pp. 2-4, mai 2014
Entretien avec Jean-Yves Casteldrouin, in site des éditions N & B (Noir et Blanc, Toulouse), février 2015
Entretiens avec Claire Desthomas-Demange, Radio Altitude (Clermont-Ferrand), 2 entretiens de 1 heure, enregistrés le 13 juin 2019.
Interview par Clémence Prot, pour Signature-Touraine, 15 mai 2020.
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VIII. LIVRES D’ARTISTES
Traits, spirales, pointillés, photos de Thierry Cardon, galerie La Métisse d’argile, Saint Hippolyte, 1998
Au regard du silence,photos de Pierre Fuentes, livre vertical, installation, in « L’Automnale de Vouvray », 2012
La belle, photo de Rieja van Aart, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013 (21 ex.)
Owakudani, image de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2013 (4 ex.)
Ne rien laisser que cendres, dessins de Jacques Riby, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex)
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, éd. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014 (21 ex)
Feuilles vives, la feuille de vigne, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feuilles vives, la feuille de figuier, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (6 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feu et sang,dessins de Georges Badin, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Textures, dessin de Roselyne Guittier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Par la fenêtre du solstice,dessin de Roselyne Guittier, 2014, coll. privée
Dans la nuit de la voix, dessins de Jean-Gilles Badaire, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Au commencement était le silence, photo de M.-Christine Schrigen, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015 (21 ex.)
Ce qu’il nous faut rendre à la nuit, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016 (21 ex.)
Nuit trop lucide, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
D’entre silences, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Evidemment le bleu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Ombre du doigt de Dieu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Derniers faux pas, dessins de Yves Conte, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Lettre morte, dessin de Jeannine Diaz-Aznar, « Du livre pauvre au Mail Art », médiathèque de Manosque, sept. 2016
Bassin-versant, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
Coup de grâce, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
La brûlure a la couleur des lèvres, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Heureux… comme le migrant…, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Etes-vous libre ? Soyez dangereux (hommage à Claude Cahun), dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Stylite, dessin de Patrice Delory (ex. unique), coll. privée, 2017
Mélancholia, gravure de Jean Luneau (ex. unique), coll. privée, févr. 2018
Aux lèvres du sommeil, dessins de Coco Texèdre, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Flamme et rose, dessins de Françoise Roullier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Clamavis in deserto, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Au croc rouillé des siècles, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche 2018 (4 ex.)
Soleil levant, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche, 2018 (4 ex.)
Drôle d’époque !, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018 (10 ex.)
Pour balayer les cendres, dessins de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Rumeur de l’eau, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
A Hölderlin, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Faux jour, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
L’âme est une eau heureuse I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse III, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse IV, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Résonance, dessins de Paola Di Prima, 2019, coll. privée (2 ex.)
Miroir sans fond, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Mais là, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
La sentinelle, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Dans le miroir des yeux, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés contenant 5 textes + 5 peintures, éd. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2020 (14 ex. dont 4 ex. en tirages de tête contenant 1 texte manuscrit accompagné d’un dessin inédit de l’artiste)
Entre la flamme et l’ombre, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fête des morts, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fujisan, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au pied du volcan, dessins de Michèle Vaucelle, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Le cri de la hulotte, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Cendre des jours, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au sommeil du volcan, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
La chevêche Athéna, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
J’écoute le silence, dessins de Paola Di Prima, 2020, coll. privée (3 ex.)
Palimpseste, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Phalène, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Pulsation, dessins de Jean-Noël Bachès, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
L’œil écoute, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Matin, champ, photos de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Telle est la nuit, dessins de Paola Di Prima, 2021, coll. privée (2 ex.)
Quelque part dans l’inaccompli, encres de Paola Di Prima, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Je vous écris I, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Je vous écris II, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Horizons du temps, encres de Paola Di Prima, juil. 2023 (5 ex.)
Pierre du vent, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
Le livre de l’exode, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
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IX. CHRONIQUES ET NOTES DE LECTURE (publiées en revues)
Emergences, Christophe Mahy, dessins de Jean-Marc Ehanno, éd. L’Herbe qui tremble (2023), in ce blog (novembre 2023), note de lecture à paraître in Diérèse N° 90
Je veux dire, Cyrille Latour, éd. Jacques Brémond (2023), in ce blog (nov. 2023), note à paraître in Diérèse N° 90
L’âpre beauté du paysage, Jeanne Bastide, éd. L’ail des ours (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89
Palermo, Eric Chassefière, éd. Rafaël de Surtis (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (automne 2023)
Retour sur écoute : , Pierre Dhainaut, éd. Le Bateau Fantôme (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (automne 2023)
L’empreinte Matala, Teo Libardo, Rosa canina éditions (2033), note de lecture in ce blog (août 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (automne 2023)
Lieux, Jean-Paul Bota, éd. Tarabuste (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture à paraître in la revue Place de la Sorbonne
La troisième voix, Isabelle Lévesque-Pierre Dhainaut, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (juillet 2023), Note de lecture à paraître in Concerto pour marées et silence, revue, N° 17, déc. 2023
Le ciel jaloux des roses, Alain Duault, éd. Gallimard (2023), in ce blog (juillet 2023) et in Diérèse N° 89 (automne 2023)
Enraciné, Jean-Pierre Boulic, éd. La part commune (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Dans un nid de flammes, Richard Rognet, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Un exil sans royaume(sur Camus et l’Algérie), texte à paraître dans un ouvrage collectif consacré à Albert Camus, in ce blog (mars 2023)
Un printemps sans fenêtre suivi de Réminiscences, Raymond Farina, éd. N&B (2022), in ce blog (mars 2023), et in Diérèse N° 87
Jardin des voix, Pierre Thibaud, éd. Parole et Silence (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 87
Clartés du soir, Jacques Robinet, éd. Unicité (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 89 (automne 2023)
La mesure des murs, Colette Daviles-Estinès, éd. L’ail des ours (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Persévérance des brumes, Florence Saint-Roch, éd. Vincent Rougier (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Images de l’éternel fleuve, à propos des peinture de Lena Nikcovic (en projet de publication dans un catalogue d’artiste, version française traduite en allemand) in ce blog (nov. 2022)
Le jardin d’absence, Eric Chassefière, éd. Sémaphore (2022), in ce blog (oct. 2022) et in Diérèse N° 86, janvier 23
Dits de la pierre, Bernard Fournier, éd. La feuille de thé (2022), in ce blog (oct. 2022) et in [Terres de femmes, hiver 2023 ?]
Le réel est un poème métaphysique, Marie-Claude San Juan, éd. Unicité (2022), in ce blog (oct. 2022), et in Diérèse N° 88
A propos de Jean-Paul Bota, in ce blog ( janvier 2021) et in Diérèse N° 86, hiver 2022-23
Tu viens de là, Teo Libardo, éd. Musimot (2022), in ce blog (sept. 2022) et in Diérése N° 86, hiver 2022-23
Editorial, in Diérèse N° 85, octobre 2022
L’un seul, légendes, Geneviève Deplatière, éd. Unicité, Collection Le Vrai Lieu (2020), in ce blog (juin 2022) et in Diérèse N° 87
Le cerisier, Antoine Maine, éd. La chouette imprévue (2021), in ce blog (mai 2022) et in Diérèse N° 85, septembre 2022
A la cime des heures, Jean-Pierre Boulic, éd. L’enfance des arbres (2022), in ce blog (mars 2022) et in Diérèse N° 85, octobre 2022
Ouvrière durée, Gilles Lades, éd. Le Silence qui roule (2021), in ce blog, juin 2021, et in Terres de femmes, juin 2022
Capter l’indicible, Silvaine Arabo, éd. Rafael de Surtis (2021), in ce blog (mars 2022) et in Chemins de traverse N° 61, décembre 2022
D’ores et déjà, Daniel Martinez, éd. Les Deux Siciles (2021), in ce blog (mars 2022), sur le site Diérèse et les Deux Siciles, mars 2022, et in Chemins de traverse n° 60, juin 2022
Cahiers des chemins qui ne mènent pas, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2020), in ce blog (déc. 2020), et in Diérèse N° 83, janvier 2022
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, in ce blog (octobre 2021) et le n° 105 de Poésie sur Seine, janvier 2022
Ici, Pierre Dhainaut, éd. Arfuyen (2021), in ce blog, juin 2021, et in Concerto pour silence et marées, revue, N° 15, juin 2022
Conversations dans un jardin, nouvelles, Bernard Pignero, Encretoile éditions (2021), in blog (juin 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Statues-menhirs, Bernard Fournier, texte inédit, in ce blog, juin 2021
Le Bruit des nuits, Léon Bralda, Les éditions du Petit Pois, Collection Prime Abord (2021), in ce blog (mai 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Ombres géométriques frôlées par le vent, Marie-Claude San Juan & Roland Chopard, éd. Unicité, Collection Images écrits (2020), in ce blog, mai 2021
La bonne vie, Jean-Pierre Otte, éd. Cactus inébranlable (2021), in ce blog (avril 2021) et dans in Diérèse N° 82, octobre 2021
L’Offrande des lieux – Jean-Pierre Boulic, éd. La Part commune (2021), in ce blog (avril 2021) et in Diérèse N° 82, octobre 2021
La cérémonie des inquiétudes, Alain Duault, éd. Gallimard (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Pour voix et flûte, Pierre Dhainault, éd. AEncrages & Co (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
La gloire des poussières, Raymond Farina, éd. Alcyone (2020), in ce blog, oct. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
A l’aube de la voix, poèmes de Léon Bralda, gravures de Lionel Balard, éd. Donner à voir (2020), in le site Terres de femmes, juin 2020
Quelques regards, textes de Bernard Noël, peintures de Jean-Michel Marchetti, éd. La Dragonne (2016), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 79, juin 2020
Aux sources de ta voix, poèmes de Léon Bralda, peintures de Hervé Chanassiol, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 46 (2020), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Dans la paix des tumultes, introduction à Alain Plouvier – Peintures, carnets, portraits, meubles, ouvrage consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021, in ce blog, janv. 2020
Hémon, suivi d’Antigone, Silences et Loin la langue, Bernard Fournier, éd. La Feuille de thé (2019), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
Ophélie d’Elseneur, Michel Passelergue, éd. Aspect (2019), in ce blog, janv. 2020, et et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
L’œil et l’instant, Pascale Alejandra, éd. Le phare du cousseix (2019), in ce blog, déc. 2019 et in Diérèse n° 78, printemps-été 2020
Sang d’encre, textes de Michèle Vaucelle, linogravures de M. Vaucelle, éd. Collodion (2019), in ce blog, déc. 2019, publié sur le site des éditions Collodion et in Diérèse n° 79, juin 2020
De la matière des rêves, à propos des images photographiques de Pierre Fuentes et de sa série Dans le repli des songes , in ce blog, nov. 2019 et pages face book
Chartres et environs, textes de Jean-Paul Bota, dessins de David Hébert, éd. des Vanneaux – Collection Carnets nomades (2019), in ce blog, nov. 2019 et Dièrèse n° 78, printemps-été 2020
La cendre grise pour demain, poèmes de Léon Bralda, photographies de Michel Coste, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 38 (2019), in ce blog, oct. 2019, et Diérèse n° 80, printemps 2021
Pierrier, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2019), in ce blog, oct. 2019 et sur le site des éditions Musimot
Carnaval, textes de Jean-Luc Coudray, peintures de Jonathan Bougard, éd. du Petit Véhicule (2019), in ce blog, août 2019, et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Passants, Antoine Emaz, éd. Unes (2017), in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Les nuits échangées, Raphaële George, éd. Unes (2018), in in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Enquête sur un poète disparu – Jean-Jacques Mahet (2ème version), in ce blog, juillet 2019 et Dièrèse n° 77, automne-hiver 2019
A propos des photos de Rieja van Aart, in ce blog, mars 2019
De votre absence, Monique Lucchini, éd. Musimot (2019), in ce blog, févr. 2019 et sur le site des éditions Musimot
La prophétie des mouches, Brigitte Guilhot, éd. Jacques Flament (2019), in ce blog, févr. 2019
De sang, de nerfs et d’os, Patrice Blanc, éd. Le Contentieux (2018), in ce blog in ce blog, déc. 2018 et Diérèse n° 76, été 2019
La pièce du bas, Gilles Lades, éd. L’Etoile des Limites (2018), in ce blog, nov. 2018, et Diérèse n° 76, été 2019
Introduction à l’oeuvre poétique de Claude Cailleau, anthologie poétique, éd. du Petit Pavé (avril 2019)
Matrie, Colette Daviles-Estinès, éd. Henry, 2018, in ce blog, sept. 2018, le site de la revue Lichen, nov. 2018, et sur le site Volets ou vers, de C. Daviles-Estinès
Si loin est l’horizon, nouvelles, Anne Renault, éd. L’Harmattan (2019), in ce blog, août 2018
Car l’amour existe, Cyrille Latour, éd. de L’Amourier (2018), in Le Basilic (juin 2018), le site des éditions de L’Amourier et le site de C. Latour, mai 2018
Fragments d’une errance, texte pour une vidéo de Pierre Fuentes, in ce blog, avr. 2018
Le poème recommencé, Gilles Lades, éd. Alcyone (2018), in ce blog, avril 2018, Diérèse N° 74, hiver 2018, L’Iresuthe n° 45, sept. 2019, Chemins de traverse n° 54, été 2019, et le site de Radio occitania, 17 mai 2018
Debout, présents et vivants, Olivia Rolde, peintures, texte de catalogue, in le site d’Olivia Rolde, mars 2018
De la responsabilité du chroniqueur et de celle de l’auteur(e), in L’Iresuthe n° 45, sept. 2018
En territoires de l’incertitude, Patrice Delory, peintures, texte d’exposition, in ce blog, févr. 2018
Noir, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2017), in L’Iresuthe n° 43, août 2018, et sur le site des éditions Musimot
Requiem, Poème sans héros et autres poèmes, Anna Akhamatova, éd. Poésie/Gallimard (2014), in Les Cahiers de la rue Ventura N° 41, mars 2018
La nuit déborde, Jeanne Bastide, éd. de L’Amourier (2017), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 39, févr. 2018, sur le site des éditions de L’Amourier et sur le site Terres de femmes
Un bégaiement, Julien Bosc, éd. Cénomane (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura, n° 40, janv. 2018
Etre et avoir l’été, Charles Simond, éd. Musimot (2013), in ce blog, nov. 2107 et sur le site des éditions Musimot
Contre le désert, Alain Freixe, éd. de L’Amourier (2017), in le site des éditions de L’Amourier, et le site Terres de femmes, oct. 2017
Nouveau Roman & Théâtre nouveau, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 37, sept. 2017
Ma (dé)conversion au judaïsme, Benjamin Taiëb, éd. Lunatique (2107), coll. Lire debout, in ce blog, juin 2017
Mer intérieure, Raphaël Monticelli, éd. La Passe du vent (2011), in ce blog, juin 2017
Lettre au poète Claude Cailleau, in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et Les Cahiers de la rue Ventura n° 40, mai 2018
Le collier rouge, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard (2014), in L’Iresuthe n° 41, juin 2017
Le Livre du désir, Léonard Cohen, éd. Le Cherche Midi, collection Points (2008), in ce blog, mai 2017
Les reflets du silence, Shoshana, éd. Musimot (2017), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017, et sur le site des éditions Musimot
Un dangereux plaisir, François Vallejo, éd. Viviane Hamy (2016), in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et sur le site de François Vallejo
Mécomptes de Noël, Gabriel Eugène Kopp, éd. de L’Ours Blanc (2016), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017
Haïku – Anthologie du poème court japonais, éd. Poésie/Gallimard (2002), in ce blog, mai 2017
Je, tu, il, Claude Cailleau, éd. Tensing (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 35, mai 2017
Un scarabée bruissant du rêve, Pascal Revault, éd. Musimot (2015), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, oct. 2016
Fantaisies, Bernard Henninger, éd. Blogger de Loire (2015), in ce blog et sur le site « Impulsions » de B. Henninger, oct. 2016
Allant vers et autres escales, Colette Daviles-Estinès, éd. de L’Aigrette (2016), in ce blog et sur le site « Volets ou vers » de C. D.-Estinès, oct. 2016
Une étude sur Alain Borne, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 33, sept. 2016
Jésus l’apocryphe, Jean-Luc Coudray, éd. de L’Amourier (2016), in Chemins de traverse n° 49, déc. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
Quête du nom, Alain Guillard, éd. de L’Amourier (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
L’aube a un goût de cerise, Raymond Alcovère, éd. N&B (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site de Raymond Alcovère
Carnets de montagne, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2016), in ce blog et le site des éditions Musimot, juin 2016
Insinuations sur fond de pluie, Javier Vicedo Alos, éd. Fondencre (2015), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
L’Histoire de la brume, Stuart Dybek, éd. Siloé (2008), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
Shitao et Cézanne, une même expérience spirituelle, Charles Juliet, éd. L’Echoppe (2008), in ce blog, mars 2016
Les Admirés, Daniel Berghezan, éd. Musimot (2016), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, mars 2016
La Morasse, Jean Forestier, éd. Edilivre (2016), in L’Iresuthe n° 38, 2015
Il n’est plus d’étrangers, Catherine Leblanc, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 37, 2015, et sur le site des éditions de L’Amourier
Comme une corde prête à rompre, Bernard Giusti, éd. de L’Ours Blanc (2007), in Chemins de traverse n° 47, 2015
Bribes, Raphaël Monticelli, éd. de L’Amourier (2015), in ce blog, déc. 2015
La côte sauvage, Jean-René Huguenin, éd. Points-Seuil (rééd.), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 30, déc. 2015
Enquête sur un poète disparu, Jean-Jacques Mahet, éd. Les Paragraphes littéraires de Paris (1976), in L’Iresuthe n° 35, déc. 2015, sur le site de L’Anacoluthe et in Dièrèse n° 77 (version mise à jour du texte)
Alain Borne – En une seuleinjure, éd. Editinter (2002), in ce blog, nov. 2015
Treize – Indociles, Alain Borne, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
Cette roue qui nous emporte, Jean-Pierre Schamber, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
A un jour de la source, Françoise Oriot, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 36, 2015, sur le site des éditions de L’Amourier, sur le site Terres de femmes et Talentpaper blog
J’ailleurs, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog et sur le site des éditions SKA, juil. 2015
La peau sur les mots, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog, juil. 2015
Le pays que je te ferai voir, Michel Séonnet, éd. de L’Amourier (2014), in L’Iresuthe n° 33, 2014, et sur le site des éditions de L’Amourier
Un an de noyaux de cerises, Sylvie Azéma-Prolonge, éd. Relink (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Soluble, Brigitte Guilhot, éd. de L’Ours Blanc (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Autour de quelques tableaux de Thierry Dussac, in ce blog, sept. 2014
Les petites pièces rapportées, Eve de Laudec, éd. Chum (2014), in ce blog et sur le site « L’Emplume et l’écrié » d’E. de Laudec, sept. 2014
La nouvelle came, Audrey Terrisse, éd. BoD (2013), in ce blog, oct. 2014
Les bois levés de Thierry Cardon, in le recueil Cristaux de nuit (éd. de L’Ours Blanc, 2013), mai 2013
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X. NOUVELLES ET TEXTES POÉTIQUES PUBLIÉS EN REVUES (ou sites et blogs)
Un petit théâtre de ruines, nouvelle, in Diérèse N° 87, juin 2023
Fragments d’une errance, extrait de « Traverser l’obscur » (recueil à paraître en 2024), in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », février 2023
Comme une porte au vent, à Alessandra Pizarnik, in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », juin 2022
Pierre du vent, in Diérèse N° 85, septembre 2022
2 poèmes extraits de la série « Arbre(s) », in Terre à ciel (anthologie sur le thème « Rencontrer »), juin 2022
3 poèmes extraits de « Offrandes », in le N° 15 de Concerto pour marées et silence, revue, juin 2022
Je t’écris du plus loin de moi-même, nouvelle, in Diérèse N° 83, janv-févr 2022
« Nésdu confinement », 5 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Diérèse N° 81, automne 2021
3 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Concerto pour marées et silence (revue dirigée par Colette Klein) N° 14, juin 2021
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, mai 2021
1 poème extrait de « Quelque part la lumière pleut », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », mai 2021
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Diérèse N° 80, printemps 2021
4 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Saraswati N° 16, printemps 2021
Le livre de l’exil, in Chemins de traverse N° 57, mai 2021
1 poème extrait de « Offrandes », in anthologie Terre à ciel, janvier 2021
3 poèmes extraits de « Au risque de la lumière », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », décembre 2020
6 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Arpa N° 129-130 (thème « Naître au monde »), automne 2020
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Chemins de traverse N° 56, pp. 8-10, juin 2020
2 poèmes extraits durecueil « Quelque part la lumière pleut« , in le site de Raphaël Monticelli, Bribes en lignes, mai 2020
2 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut », in le site de Daniel Martinez, Diérèse et les deux Siciles, 28 mars 2020
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in la page Facebook de Silvaine Arabo, mars 2020
Fragments d’une errance, in L’iresuthe N° 46, pp. 5-7, hiver 2020
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in Chemins de traverse N° 55, pp. 8-10, décembre 2019
5 textes extraits de la suite « Sous l’étoile Absinthe », in Arpa N°127, pp. 43-46, sept. 2019
Vers le désert, nouvelle, in Diérèse N° 76, été 2019
6 poèmes extraits du recueil « Lignes de crête« , in site des éditions Alcyone, février 2019
1 poème extrait du recueil « Lignes de crête », in Terres de femmes, février 2019
« Comme vont ces chemins », 2 poèmes inédits, in L’Iresuthe N° 44, p. 38, hiver 2019
Poèmes et proses poétiques, in Lichen N° 5, 6, 7, 8, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 20, 23, 27, 34, 35, 36, 37, 57, 60, 61, 62
« Alep », in Chemins de traverse N° 52, p. 15, décembre 2018
« Trois histoires d’anges », extraits du recueil « Bassin versant », in L’Iresuthe N° 42, pp. 41-44, hiver 2018
« Inverser le regard », poème, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 11, 1er trim. 2018
Extrait de la préface au recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 10, 1er trim. 2018
2 textes extraits du recueil « Bassin versant », in L’Herbe folle N° 9, mai 2017
« Trois courts hommages », extraits du recueil « Lignes de crête », in L’Iresuthe N° 41, pp. 38-40, automne 2017
1 poème sans titre, in Poésie/première N° 68, p. 89,sept. 2017
« Ce qui gouverne le silence », 2 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Ecrit(s) du Nord N° 31-32, sept. 2017
« Au clou rouillé du soir », texte extrait du recueil « Bassin versant », in site Emmila Gitana, 23 septembre 2017
« Certains jours de partage… », texte extrait du recueil « Cristaux de nuit », in site Emmila Gitana, 4 août 2017
2 poèmes sans titre, in L’Herbe folle N° 7, janvier 2017
1 poème extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Poésie/première N° 65, p. 82, oct. 2016
5 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 32, pp. 37-39, juin 2016
« Fragments d’un carnet d’hiver », extraits du recueil « Fêlure », in L’Iresuthe N° 37, pp. 42-47, printemps-été 2016
Vers le désert, nouvelle, in L’Iresuthe N° 32, pp. 6-9, hiver 2015
4 textes extraits de « Sans titre 2, Approches du visage », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 27, pp. 30-32, 1er trim. 2015
Dites-moi une chose, une seule, nouvelle, in L’Iresuthe N° 31, pp. 11-18, automne 2014
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in L’Iresuthe N° 30, pp. 4-9, été 2014
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in L’Iresuthe N° 26, pp. 2-10, hiver 2013
« Treize stèles et une pierre blanche »,extraits du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 43, pp. 12-13, décembre 2013
« Lettre à Pénélope », extrait du recueil « Le verger abandonné », in L’Iresuthe N° 28, pp. 5-8, automne 2013
10 textes extraits de « Né de la déchirure », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 20, pp. 24-28, juin 2013
« Scénario pour la fin d’un monde », extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 42, pp. 15-17, juin 2013
L’Invitation, nouvelle, in L’Iresuthe N° 25, pp. 24-30, automne-hiver 2012
« Chemins de crête », extrait du recueil « Séparations », nouvelle, in Chemins de traverse N° 41, pp. .18-20, décembre 2012
« Arbre, vieil arbre », in La voix du Basilic N° 10, p. 5, mai 2012
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XI. ARTICLES ET AUTRES TEXTES CONSACRÉS AUX OUVRAGES DE MICHEL DIAZ (cf » Revue de presse »)
Gilles Lades, Sous l’étoile du jour, note de lecture à paraître in Verso N° 186
Jean-Louis Bernard, Au risque de la lumière, note de lecture à paraître in Concerto pour marées et silence, revue
Jean-Pierre Boulic, Au risque de la lumière, note de lecture à paraître in Poésie sur Seine
Marie-Claude San Juan, notes de lecture sur des articles parus dans deux numéros de Diérèse (85, 86), in « Trames nomades » (18/08/2023)
Jean-Pierre Boulic, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 110 (septembre 2023)
Eric Chassefière, Sous l’étoile du jour, note de lecture à paraître in Diérèse N° 88
Michel Passelergue, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Pierre Dhainaut, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Bernard Fournier, Sous l’étoile du jour, note de lecture in Poésie/première (sept. 2023)
Alain Freixe, Sous l’étoile du jour, note de lecture, in Terres de femmes (juillet 2023)
Jean-Louis Bernard,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Concerto pour marées et silence, revue, N° 16-2023
Gérard Bocholier,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Arpa N° 137-138
Gilles Lades, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Verso N° 191
Armelle Chichit, Le verger abandonné, note de lecture, in Verso N° 190
Jean-Pierre Boulic, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Diérèse N° 85 -septembre 2022)
Marie-Claude San Juan, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Trames nomades (mai 2022) et in revue A l’index, N° 46 (mars 2023)
Bernard Fournier, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Poésie/première N° 82 (mai 2022)
Pierre Dhainaut, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Michel Passelergue, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Marie-Claude San Juan, « Le verger abandonné », de Michel Diaz. Ulysse errant choisissant le non-retour, ou l’ascèse d’écriture et d’être, en récit métaphysique…, in Trames nomades, décembre 2021
Bernard Fournier, La source, le poème, impressions de lecture, in ce blog, « Principaux ouvrages publiés, juin 2021
Jean-Paul Bota, Le Verger abandonné, note de lecture, in Diérèse N° 80 (mai 2021)
Bernard Fournier, Le Verger abandonné, note de lecture, in Poésie/première N° 79 (printemps 2021)
Marie-Claude San Juan, Lignes de crête, in le site des éditions Alcyone et le site Trames nomades, avril 2021
Marie-Claude San Juan, Les saisons en poésie (à propos des textes publiés in Saraswati N° 16), in le site Trames nomades.
Brigitte Guilhot, Le petit train des gueules cassées, in le blog de L’Ours blanc, février 2021
Michel Passelergue, Le Verger abandonné, in Diérèse N° 80 (Hiver-printemps 2021)
Silvaine Arabo, Le Verger abandonné, in Sawasrati N° 16 (2021)
Eric Barbier, Né de la déchirure, in Diérèse N° 79 (octobre 2020)
Angèle Paoli, « Un chant nouveau de la disparition », Le Verger abandonné, in Terres de femmes, septembre 2020
Lionel Balard, Le verger abandonné, septembre 2020
Jean-Pierre Boulic, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Le verger abandonné, septembre 2020
Philippe Boutibonnes, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Fêlure, courrier du 13/08/2020
Gilles Lades, « Deux voies de l’infini », à propos de Né de la déchirure, juillet 2020
Daniel Leuwers, « Offrandes et contre-offrandes », préface à Offrandes-Olivia Rolde, éd. Thi Lùu, 2020
Gérard Bocholier, Lignes de crête & Comme un chemin qui s’ouvre, in Arpa N° 127
David Le Breton, « L’aspiration à l’absence », préface au Verger abandonné, éd. Musimot, 2020
Eric Barbier, Comme un chemin qui s’ouvre, in Diérèse N° 76, juin 2019
Fanny Guiné, « Michel Diaz reçoit le prix francophone de poésie Amélie-Murat à Clermont-Ferrand », in La Montagne, 14 juin 2019
Claire Demange, Bassin versant, présentation de l’ouvrage à l’occasion de la remise à l’auteur du prix de poésie Amélie-Murat, 12 juin 2019
Angèle Paoli, « Dans la complicité des arbres et la confidence du fleuve », Comme un chemin qui s’ouvre, in Terres de femmes, mai 2019
Alain Freixe, Comme un chemin qui s’ouvre, in Le Basilic, mai 2019
(Non signé) « Regards poétiques de Diaz et Luneau », in La Nouvelle République, 25 octobre 2018
Jean-Marie Alfroy, préface à Bassin versant, éd. Musimot, 2018
Philippe Fréchet, Bassin versant, in Lichen N° 27, juin 2019
Valérie Canat de Chizy, Fêlure, in Verso N° 171, janvier 2019
(Non signé) « Au Printemps des poètes-Château de Mosny », in La Nouvelle République, 04 mars 2018
Bernard Henninger, Fêlure, in blog Lire au Centre (FR3 Centre), 19 janvier 2018
Jean-Marie Alfroy, Fêlure, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 38, déc. 2017
Jean-Claude Vallejo, Un navire de papier, in L’Iresuthe N° 41, automne 2017
(Non signé) Un navire de papier, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Laurent Dubois, Fêlure & Le cœur endurant, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Gabriel Eugène Kopp,Fêlure & le Cœur endurant, in Chemins de traverse N° 50, juin 2017
Raymond Alcovère, Fêlure & Le cœur endurant, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
Claire Desthomas-Demange,Fêlure, in site des éd. Musimot, janvier 2017
Jean-Claude Vallejo, Fêlure, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
(Non signé) « Expo-dédicaces », Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, in La Nouvelle République, 02 décembre 2015
Renaud Marot, Né de la déchirure, in Réponses photo N° 280, juillet 2015
Raphaël Monticelli, « Oraison des suaires », préface à Né de la déchirure, éd. Cénomane, 2015, in le site Bribes en ligne (partie « Les rossignols du crocheteur »)
(Non signé) « Le Printemps des poètes à Mosny », Arbre(s), in La Nouvelle République, 26 mars 2015
Brigitte Guilhot, Le Gardien du silence, in site des éd. L’Amourier, avril 2014
(Non signé) « Les visages de nuit de Laurent Bouro », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 22 octobre 2014
(Non signé) « Visages et masques », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 28 septembre 2014
Agathe Place, préface à Sans titre 2-Approches du visage, éditions Label Martin-Decrouy, 2014
Jean-Claude Vallejo, Le Gardien du silence, in L’Iresuthe N° 31, septembre 2014
Bernadette Griot, Le Gardien du silence, lettre d’info de L’Amourier, septembre 2013
Martin de Crouy, note liminaire à Aux passants que nous sommes, éd. Christian Pirot, 2013
Bernard Henninger, Cristaux de nuit, in Lumières de la poésie (FR3 Centre), 25 août 2013
Marie Gosselin, Juste au-delà des yeux, in La Nouvelle République, 27 juillet 2013
Laurent Dubois, préface à Juste au-delà des yeux, éd. Christian Pirot, 2013
Marie-Jo Freixe, A deux doigts du paradis, in Le Basilic N° 21, mai 2012
Léa Morillon, « Une vie d’écrivain », A deux doigts du paradis, in La Nouvelle République, 9 mai 2012
(Non signé) « Loire, lits profonds », bois levés de Th. Cardon, in Les Carnets d’Eucharis N° 20, mai 2010
Dominique Rezeau, Séparations, in Cahiers de la Littérature belge et francophone, janvier 2010
Marie Lansade, Séparations, in Parallèles N° 10, déc.-janvier 2010
Pierre Imbert, Séparations, in La Nouvelle République, 27 octobre 2009
Christian Massé, Séparations, in Reflets du Temps, février 2013
Thierry Guichard, « Au bonheur des cheminots », Atelier des silences, in Le Matricule des Anges, nov.-décembre 1997
Brigitte Scarella, « Les ateliers assoupis de Saint-Pierre-des-Corps », Atelier des silences, in La vie du rail, 4 juin 1997
Jacqueline Hafidi, Atelier des silences, in Le nouveau Ligérien N° 17, été 1997
Jean Olivieri, « Michel Diaz dans la cour des grands », Le dépôt des locomotives, in La Nouvelle République, 25 mars 1989
Bruno Villien, « La dernière nuit de Michel Diaz », Le dépôt des locomotives, in Le Nouvel Observateur, 16 février 1989
A. H.,Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 13 mars 1989
Bernard Thomas, « Un solide petit train », Le dépôt des locomotives, in Le Canard enchaîné, 8 mars 1989
Agnès Dahard, « Maria Casares prend encore des risques », Le dépôt deslocomotives, in Le Parisien Libéré, 21 février 1989
Mario Thébaud, Le dépôt des locomotives, in Le Figaro, 21 février 1989
(Non signé) « Maria Casares défend un jeune auteur », Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 20 février 1989
D. M.,Le dépôt des locomotives, in La Croix, 8 mars 1989
Georges Vitaly, préface au Dépôt des locomotives, éd. Jean-Michel Place, 1989
(Non signé) « Les bruits de la guerre », L’Insurrection, in Libération, 4 novembre 1986
Th. H.,L’Insurrection, in La Libre Belgique, 30 novembre 1986
André Alter, L’Insurrection, in Télérama, 30 octobre 1986
(Non signé) « Convergences », in La Nouvelle République, 2 décembre 1981
Pierre Favre, « On aurait aimé y mordre », Le Verbe et l’hameçon, La Nouvelle République, 15 décembre 1977
Contacts :
micheldiaz.md@orange.fr
www.michel-diaz.com
cf. site des éditions Alcyone
cf. site des éditions L’Amourier
cf. site des éditions Musimot
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