Etude publiée dans le n° 105 de la revue Poésie sur Seine, janvier 2022
Bernard Fournier : un chant d’innocence et de détresse
« J’interroge l’homme / j’interroge son silence, sa misère […] // J’interroge l’homme / fort, plein d’assurance / qui impose le silence / même aux oiseaux, même au ciel, / même à la lumière qui siffle aux mufles des bêtes. » (Silences)
Toute la poésie de Bernard Fournier pourrait être placée sous le regard de cette obsédante interrogation, car le poète questionne l’homme, obstinément, comme il interroge Hémon et Antigone, le paysan des Causses qui secoue sur sa cuisse la poussière de son béret, ou tel autre « cloué sous les ailes de son chapeau / comme un crucifié aux portes des étables. »
Bernard Fournier est un poète qui ne cesse d’interroger : les paysages qu’il traverse et ceux où il revient, leurs pierres levées qui l’intriguent, les vaches fortes et douces qui ruminent dans les pâtures, les collines, les arbres, « les paroles inédites / retenues au fond des gorges ». Comme il écoute et interroge le silence, la langue où il écrit, celle jamais apprise, le vent, les murs, les âmes, « les yeux qui parlent », la « lumière tranchante / qui lacère l’ombre », le grand-père taiseux qui parle « depuis sa mort »… A quoi bon écrire alors puisque, nous confie-t-il, il y a « tant de choses à dire qu’aussitôt je m’arrête / devant le silence / dans le silence. // Condamné, peut-être, par les pères / au silence. »
En vérité, la poésie, comme le fait celle de Bernard Fournier, nous situe d’emblée dans le paradoxe propre au langage poétique, puisqu’il nous faut associer à la poésie ce silence qu’il interroge. Car si le silence fait obstacle à la communication usuelle, un « meurtre » nous dit le poète, il est en même temps la condition indispensable de la démarche poétique. Mais quel sens donner à ce silence dans son association avec la poésie ? Rilke et Hölderlin nous mettent sur la voie d’une autre caractéristique du langage humain en tant qu’il s’oppose au langage poétique : non seulement il est bruyant, discordant, fait violence à l’harmonie et au silence, mais il est langage de l’entendement, qui nomme, distingue, comprend, délimite, « paroles trop bruyantes / qui giflent et griffent le silence / l’épaississent et le durcissent » nous dit Bernard Fournier. Ainsi, le silence poétique dont il veut surtout nous parler serait silence de la nature, de la vie intérieure et de l’innommé du langage, dans lequel peut résonner l’harmonie respectueuse de ce silence, qui serait silence du sens, silence de l’entendement.
« Le chemin secret va vers l’intérieur » écrivait Novalis. Et comme le feu est dans le bois, le mot se tapit dans le silence. Ainsi Bernard Fournier travaille-t-il sa langue en transformations successives, laboure le champ/chant de l’intériorité, les yeux résolument fixés pourtant, et toujours attentifs, sur les choses du monde, et nous apparaît alors l’entrée du chemin, la voie avec tous ses dangers, ses ombres, ces riens qui sont merveilles de la Vie, et ses métamorphoses : « Même si tombent les pétales / Au moins aurons-nous vécu / Plus que le temps de cette chute et d’un nouveau printemps : / Un été à rêver les soirs où le jour appelle ». Ne serait-ce point alors le corps et la voix du silence que le poète troue avec des lèvres suturées, pour aller vers ce désir latent où tout s’efface ? La poésie de Bernard Fournier est celle d’un homme en prise étroite avec le monde mais dont la parole travaille incessamment à libérer cela qui en nous cherche à aller plus loin que nos toujours étroites déterminations, pour qu’allégés nous remontions vers un clair de terre en faisant nôtre cette injonction : « Au monde, il faut répondre par la lenteur / Le silence qui préside à l’aube, / Le silence qui attend midi et le calme du soir ».
Le parcours de vie et de littérature de Bernard Fournier n’est pas de ceux qui, naissant dans une langue dont on leur transmet aussitôt les codes, baignés des mots des contes qu’on leur lit le soir et entourés de livres, entrent déjà armés d’un savoir familial dans le giron d’une institution scolaire qui fera bien vite son tri, héritiers qu’ils sont, sans même s’en douter, d’une culture qui privilégie les siens. Le petit paysan des campagnes de l’Aveyron, comme celui de nos profonds terroirs, de nos quartiers déshérités, devra faire ses preuves bien plus qu’un autre. Le recueil Marches II nous apparaît ainsi, chargé de ces paroles que l’on reconnaît comme autant de confidences autobiographiques. Car Bernard Fournier n’oublie rien et ne renie rien de ses origines. «Il est venu des hautes terres par-delà les terres hautes des Causses / […] par-delà les volcans qui forment un cercle comme une entrée dans un monde fantastique. » Voyageur sous d’autres climats, il est d’abord, et demeure l’enfant d’un pays ingrat où « au-delà, c’est encore le causse sec et long où paissent les moutons ». Un pays de pierres dressées et sculptées, Statues-menhirs, Vigiles des villages, comme s’intitulent deux autres recueils de l’auteur, ces pierres millénaires qui défient les orages, les vents et le temps, et où les hommes, plus que sur d’autres terres, doivent peiner pour assurer leur pain. Car, ainsi qu’il l’écrit : « Terre d’exil, terre aride, terre rude, tu ne nourris pas tes hommes : / Ils partent vers la capitale ou l’Amérique ».
Exil aussi que celui du futur poète, soudainement plongé dans un autre monde, « … projeté, sonné, dans la banlieue plate de la métropole, des terres grillagées aux chemins goudronnés (…) ». Là, qu’il « a vu des rues et des usines, des champs féconds peuplés de béton, / Des palissades où pendaient des affiches usées de pluie ».
Autre silence encore, vécu dans la souffrance tue, que celui d’un jeune homme qui se sait ignorant de tout et se sent démuni face à la tâche qui l’attend, et qu’il se promet d’accomplir : obtenir des diplômes, acquérir un savoir universitaire, se confronter à l’écriture et réduire la différence avec ceux qui, de loin et de haut, ne le considèrent pas comme de leur espèce. Légitime combat de qui cherche à trouver sa place dans un monde qui n’est pas le sien, où il sentira toujours illégitime (et où on lui fait comprendre qu’il l’est) et toujours mal assimilé. Apprendre alors, et étudier encore, « tout savoir, tout connaître, du nom de l’épiphylle à la théorie des quanta, / Les règles de la Mourre et celles du cricket, / la vie des abeilles, / les molécules dont il est fait, tous les os de son corps // […] Et les langues, mon dieu, les langues». Puis, plus tard, quelque peu allégé de ce « poids d’ignorance et de naïveté » qui courbait ses épaules, entrer en poésie, et s’autoriser à écrire, à parler, et « si ses vers sont un chant, qu’il soit léger », et « que son poème soit une naissance au monde ».
Cet immense et long effort de soi, sur soi, pour exister plus amplement, s’extraire de la gangue de sa condition originelle et du sentiment douloureux de son inachèvement, nous le trouvons aussi, traduit dans les poèmes réunis sous le titre L’Homme de marbre. Superbe suite métaphorique qui associe le destin du poète à l’image de ces statues que l’on a commencé à extraire de la carrière et que les ciseaux du sculpteur n’ont jamais qu’ébauchées, « bel éphèbe incomplet, inachevé devant les étoiles », dieu grec ou romain « mal équarri, gardé, tenu, retenu », « raidi, coincé, carré, / […] corps engoncé », pieds lourds, incapable « d’un pas hors du cadre qui l’incarcère autant qu’il le révèle ». Tout est dit, dans ces pages, l’essentiel en tout cas de ce que sur lui-même veut bien nous confier le poète, que nous savons présent derrière la figure de ce qui aspirait à jaillir de l’informe. Une créature incomplète, comme un être (pourtant à venir) que « l’horizon incarcère », n’est pas encore né, mais qui, dans sa prison de pierre, sait recevoir pourtant le « baiser de feu » des étés, ce baiser « d’air et d’or que le soleil offre à sa peau de grain minéral ». Pourtant, écrit encore Bernard Fournier, « sait-on quel cœur peut trembler dans ce marbre ?» Et quelle voix y veille qu’on ne peut pas encore entendre ? « Entendra-t-on jamais ce chant de sous la terre ? »
Mais cette voix s’est faite chant, et l’homme de marbre poète, et « son destin ouvre la forêt, à la mer, à l’écume d’oliviers aux mille grains ». Pourtant, si le pays demeure, bien présent, dans les poèmes de Bernard Fournier, que l’on peut à peu près retrouver tel qu’il fut dans ses années d’enfance, s’insinue dans les mots du poète une incurable nostalgie : celle d’être, aussi charnellement que sentimentalement, enfant d’un pays dont on l’a privé de la langue. Aussi est-ce dans Loin la langue que se poursuit cette interrogation sur le silence et sur cette langue des origines, non transmise, « étrange, singulière (…) / révélant des tindouls, des avens, des puits secs et cassants / Des mondes telluriques, des monstres chtoniens », Langue du pays d’Olt. Loin cette langue, écrit l’auteur, « Ma langue étrangère, ma langue défendue / à jamais obsolète, prise dans les fougères, / retenue par les chênes, tenue par la rivière ». Alors surgissent ces questions : « Quelle est ma langue ? Quel est cet idiome qui m’est étranger / qu’on ne m’a pas transmis ? » Alors, pour ceux qui l’en ont dépossédé mais lui ont cependant transmis cet amour de la terre natale, comment « trouver les mots, trouver le rythme, trouver la manière de chanter, trouver ce langage qui dirait leur histoire ? » Bernard Fournier a su trouver sa langue de poète, forgée mot après mot, à la seule force du chant.
« Il n’a jamais rien appris que l’esprit de la marche, celui qui fait croire en des aurores ignorées, en des songes d’enfant et à des routes infinies. » Voilà qui ressemblerait presque à un programme d’existence. Il n’est donc pas inutile de souligner que trois des recueils de Bernard Fournier portent le titre de Marches, Marches II, Marches III. Car si Bernard Fournier interroge toutes choses du monde, il est aussi un « homme qui marche ». Et que pouvons-nous entendre par là ? Au-delà de la marche, celle qui, à chaque enjambée, nous projette plus loin vers l’avant, dans l’espace et le temps, il y a d’abord une démarche de (sur)vie. Et si « les pas de l’homme peuvent être lourds / Il s’agit d’avancer toujours », car « il faut bien vivre » et « garder un cap », comme dans Germinal, le personnage de zola, avançant dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, sur la grande route de Marchiennes, ou l’homme de Giacometti, « réduit à l’empan de ses jambes ».
Cependant, s’il faut au poète, en dépit de tout, avancer comme avance cet « homme qui marche », celui-là qui arrache ses pieds de la terre comme à l’impossible des pas, regarde droit vers l’horizon, scrutant son devenir, s’il lui faut s’efforcer de vivre, tel un homme debout, marchant et vivant, lui faut-il donc sans cesse tout réinventer ? Même l’espoir ? Et toujours au bord de l’effondrement qui, chaque matin nous menace ? Mais la verticalité humaine, à « nous qui peinons tant à lutter avec le jour » est position difficile à tenir.
Mais le désir pourtant de perdurer dans l’espace incertain (si souvent hostile) du monde ! Et de s’y établir un peu de temps au moins, comme un arbre déplie ses feuilles, s’efforce de « hausser la vie au-dessus de la terre, / Au-dessus des corps ». Ecrire alors, et malgré tout, au sang de ses poignets, nœud coulant autour de la gorge, et travailler, puisque « le monde est long à construire », à accorder « longue vie aux rêves / Qui demeurent comme les brouillards d’après-midi sur les pentes boisées ».
Oui, cet homme sait bien qu’avancer, d’un pas si hasardeux, c’est aussi s’arrêter, au matin, près d’un arbre, regarder tomber de ses branches ce qui reste d’étoiles, regarder se lever, par cette embrasure du temps, un grand bonheur furtif, et penser, avec raison, qu’en cet instant au moins nous avons fait partie du tout : « Pour cela il faut croire au printemps : / Répondre à chaque feuille tombée ».
Le lyrisme toujours contenu, presque discret dans sa sobriété, mais présent toujours dans son écriture, n’autorise jamais Bernard Fournier à se risquer, plus qu’il pourrait se le permettre, à quelque épanchement trop personnel. Il est celui d’un être qui, bien qu’habité par une opiniâtre énergie de conquête sur lui-même et brûlant du feu de la vie, a d’abord éprouvé bien des difficultés à s’inscrire sur la ligne de l’existence, à s’accepter et à s’aimer. Mais s’il est toujours, dans ces textes et dans un certain nombre d’autres poèmes, le même sujet sous la forme du « je », du « tu » ou du « il », ce n’est jamais que dans la volonté de se tenir à mi-chemin entre le « moi » et le monde objectif dont il n’est que l’un des actants. Pas moins important que ceux de la réalité concrète des choses de ce monde, mais pas plus important non plus que le torrent roulant sur ses cailloux, tel arbre se dressant au détour du chemin ou tel oiseau traçant sa route dans l’espace du ciel. Dans la démarche poétique de Bernard Fournier, il y a quelque chose de l’animisme (et je risquerai la formule, d’une vigoureuse pensée archaïque) qui nous rappelle à chaque instant, et presque à chaque vers, que nous appartenons au tout, comme se tiennent entre eux les maillons de la chaîne. Aussi aspire-t-il, dans ce regard qu’il nous propose, à être au plus près de la présence énigmatique et de la force élémentaire, primordiale, des pierres, des arbres, de l’eau, dans cette profonde empathie qui le conduirait à faire corps et matière avec elles : « Naître de l’eau […] / Etre cette écume battue. / Epaules qui se roulent et se moulent dans l’eau […] // Naître chamois sautant de rocher en rocher, dauphin volant l’air pour de sourdes plongées». A faire corps encore avec la vache, ce presque totémique animal dont il parle si bien : « Ah ! vivre un moment la rumination du corps auprès de la demeure ! / Endosser le vêtement de lin dont est issu le château / Pour vivre sur son cuir l’air immobile, / Faire partie du paysage».
« Un chant d’innocence et de détresse, une plainte commune et singulière » écrit justement Pierre Oster à propos des poèmes qui composent le recueil Marches II. En effet, ces poèmes, comme la plupart de ceux qu’a écrit Bernard Fournier, sont autant de textes qui naissent de ses heurts avec le monde, celui de tous les jours avec son cortège d’injustices et de violences, de malheurs, de douleurs, mais aussi de surprises et de joies, celles des paysages aimés, des pierres millénaires caressées dans la toujours neuve émotion, des vaches si magnifiquement chantées, et de ces menues merveilles du monde, bois, collines, torrents ou ciels d’orage, dont il sait s’emparer. Ses livres sont une tentative pour coller ces morceaux épars que sont nos existences, nouer tous ces fils épars. Et moins échafauder un sens et donner des réponses que trouver une issue, s’en sortir, sans jamais sortir de ce monde qui, ainsi que l’écrivait Lorca « est notre probable paradis perdu ». Les poèmes de Bernard Fournier sont alors autant de chemins qui cartographient une véritable traversée de soi où il s’agit d’apprendre, comprendre et aimer tout ce qui se tient entre nous, sous nos yeux et nos pas, que l’on porte moins qu’on ne s’y épaule. Et rendre aussi « à l’homme sa part d’éternité ».
IX. Chroniques et notes de lecture publiées en revues
X. Nouvelles et textes poétiques publiés en revues
XI. Revue de presse : articles et études consacrés aux ouvrages de Michel Diaz
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I. THEATRE
Le Verbe et l’hameçon, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1977
L’Insurrection, Cahiers de Radio-France, Paris, 1986
Le Dépôt des locomotives, préface de Georges Vitaly, édit. Jean-Michel Place, Paris, 1989
La Dame blanche, 2000, Jour de colère, 2002 [ monologues, publiés sous forme de nouvelles in A deux doigts du paradis , édit. L’Amourier, 2012]
La Nuit de la Toussaint, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, janv. 2016
Au « Musée de la littérature théâtrale belge », Bruxelles :
Faubourgs amers, MLTB 04282, 1986
Trois impromptus pour clarinette seule, pièces pour la radio [publiées sous forme de nouvelles dans différents recueils], MLTB 04283, 1987-88 :
I. Lettre de loin II. La photo de Louise III. Roissy blues
Solitudes, d’après quatre nouvelles de Raymond Carver, MLTB 04316, 1989
Il est doux sur la vaste mer…. a été joué au Théâtre municipal d’Orléans (Carré Saint-Vincent), en 1975.
Le Verbe et l’hameçon a été joué à Tours (salle Thélème, Université François Rabelais), par le Théâtre du Pratos, en 1975.
Lettre de loin a été joué au festival de Cluny par la Compagnie de José Manuel Cano Lopez, en 1986.
Cœur obus éclaté a été joué à Tours, Espace Ligéria, par la troupe de Claude Derrez, en 1989.
Le Dépôt des locomotives à été joué au théâtre Mouffetard (Paris), dans une mise en scène de Georges Vitaly, avec Maria Casarès et François Perrot, en 1989.
L’Insurrection et Faubourgs amers ont été lus dans leurs théâtres respectifs, à l’invitation de J.-L. Barrault et L. Terzieff, en 1989.
L’Insurrection, Lettre de loin, Roissy blues, Le Dépôt des locomotives, Faubourgs amers ont été diffusés, dans leur version radiophonique, sur France-Culture et la R.T.B.F.en 1986, 1990, 1992 (avec une Aide à la Création du Ministère de la Culture, Département des Théâtres et des Spectacles).
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II. POÉSIE ET LIVRES D’ART
Mise en demeure, édit. Pierre-Jean Oswald, Paris, 1975
Atelier des silences, photos de Thierry Cardon, préface d’Yves Bonnefoy, édit. Jacques Hesse, Saint-Etienne-de-Diray, 1997
Juste au-delà des yeux, images de Pierre Fuentes, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-les-Tours, 2013
Cristaux de nuit, édit. de L’Ours blanc, Paris, 2013
Aux passants que nous sommes, photos de Rieja van Aart, note liminaire de Martin de Crouy, édit. La Simarre & Christian Pirot, Joué-lès-Tours, 2013
La belle, photo de Rieja van Aart, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013
Sans titre 2 (Approches du visage), peintures de Laurent Bouro, préface d’Agathe Place, édit. Label-Martin Decrouy, La Guerche, septembre 2014
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, édit. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014
Arbre(s), dessins de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, Paris, déc. 2014
Né de la déchirure, cyanotypes de Laurent Dubois, préface de Raphaël Monticelli, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2015
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015
Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, peintures d’Alain Plouvier, édit. La Simarre & Chistian Pirot, Joué-lès-Tours, novembre 2015
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016
Owakudani, terre de soufre, images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, Paris, janv. 2016
Le Cœur endurant, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 4ème trim. 2016
Un navire de papier, photos de Laurent Dubois, préface de Bernard Giusti, édit. Cénomane, Le Mans, avril 2017
Dans l’inaccessible présence, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Thi lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, nov. 2017
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018
Bassin-versant, préface de Jean-Marie Alfroy, édit. Musimot, Cussac-sur-Loire, avril 2018 (Prix Amélie Murat 2019)
Lignes de crête, frontispice de Jean-Michel Marchetti, édit. Alcyone, Saintes, févr. 2019
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
Comme un chemin qui s’ouvre, édit. de L’Amourier, Coaraze, mars 2019
La source, le poème, gravures sur bois de Lionel Balard, édition séparée en portfolios, tirages de tête numérotés de I à IV, éd. Les Cahiers des passerelles, Aubière, juillet 2020
Le verger abandonné, édit. Musimot, Le Mayet d’École, août 2020 (Prix Aliénor 2020)
Offrandes, peintures d’Olivia Rolde, préface de Daniel Leuwers, Thi Lùu éditions, Saint-Cyr-sur-Loire, sept. 2020
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés, édit. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2021
La source, le poème, avec 10 gravures sur bois de Lionel Balard, édition courante, suite extraite du recueil « Eloge des eaux murmurantes » (inédit), édit. Les Cahiers des passerelles, Aubière, 1er trim. 2021
Quelque part dans l’inaccompli, peintures de Paola Di Prima, édit. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Quelque part la lumière pleut, frontispice de Silvaine Arabo, édit. Alcyone, Saintes, mars 2022
Sous l’étoile du jour, préface d’Alain Freixe, Rosa canina éditions, Lodève, avril 2023
Au risque de la lumière, recueil à quatre mains, textes de Michel Diaz et Léon Bralda, avec en fontispice une peinture de Silvaine Arabo, éd. Alcyone, juillet 2023
Eloge des eaux murmurantes, gravures sur bois de Lionel Balard, éd. La Simarre, mars 2024
Plus rien que le blanc dans la nuit, en projet de publication aux éditions Les Cahiers des passerelles, gravures de Pierre Jourde (à paraître en 2025)
Traverser l’obscur, édit. Musimot, Le Mayet d’Ecole (2024)
Entrefaits et Le quatuor d’Arnal, Michel Diaz, Jean-Claude Tardif, Yves Arauxo, Jean-Pierre Otte, édit. A l’index, collection Empreintes (octobre 2024)
Le souffle du sacré, peintures de Patrice Delory, en attente de publication (sept.-oct 2024) aux éditions Unicité
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III. NOUVELLES
Séparations, édit. L’Harmattan, Paris, 2009
A deux doigts du paradis, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2012
Le Gardien du silence, édit. de L’Amourier, Coaraze, 2014
Partage des eaux, édit. N. & B. (Noir & Blanc), Toulouse, septembre 2014
Le Petit train des gueules cassées,recueil collectif de nouvelles, contient : « Dites-moi une chose, une seule », « Compte à rebours », édit. de L’Ours Blanc, Paris, janvier 2015
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IV. PUBLICATIONS EN ANTHOLOGIES
in Gravure / poésie, « Sciences »,une prose poétique, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2023
in Donner à voir, « Forêts », un poème, juin 2022
in Gravure / poésie, « L’errance/le voyage », deux poèmes, atelier « Gravure et techniques d’impression » du Service Université Culture (Clermont-Ferrand), juin 2022
in Terre à ciel, « Rencontrer », deux poèmes (Vieil arbre), janvier 2022
in Editions Musimot, « Désir » ( à l’occasion du Printemps des poètes 2021), trois poèmes, mars 2021
in Terre à ciel, « Dire oui », un poème, janvier 2021
in Saraswati numéro 16, « Les saisons », quatre poèmes, décembre 2020
in Arpanuméro 130, « Naître au monde », quatre poèmes, décembre 2020
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V. ESSAIS
Arthur Adamov, hier déjà et encore demain, thèse de doctorat, 1990-95, bibliothèque de l’Université François Rabelais, Tours. (700 p., 2 vol.: bibliographie d’Arthur Adamov; écrits de jeunesse et textes inédits commentés ; essai sur l’influence de la poésie romantique allemande et du théâtre expressionniste allemand et nordique sur l’œuvre d’A. Adamov.)
Introduction au théâtre radiophonique d’Arthur Adamov, 1996 (cf. archives sonores aux Editions André Dimanche)
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VI. PRÉFACES
Arbre(s), introduction à l’oeuvre dessinée, arbres morts et racines, de Setsuko Uno, édit. L’Atelier du livre, 2014
Le Petit train des gueules cassées, préface au recueil collectif de nouvelles, édit. de L’Ours Blanc, Paris, 2015
Owakudani, terre de soufre, introduction à la série « La montagne de soufre », images de Pierre Fuentes, édit. L’Atelier du livre, janv. 2016
Anthologie poétique, 1956-1970 et 1999-2018, introduction à l’œuvre poétique de Claude Cailleau, édit. du Petit Pavé, avril 2019
Tout doit disparaître !, préface au recueil de nouvelles de Gabriel Eugène Kopp, RROYZZ Editions, mai 2019
Si loin est l’horizon, préface au recueil de nouvelles d’Anne Renault, édit. L’Harmattan, 2019
Dans la paix des tumultes, introduction à l’ouvrage Peintures, carnets, portraits, meubles, consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, présentation du poète dans le dossier qui lui est consacré dans le n° 105 de la revue Poésie sur Seine, décembre 2021
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VII. ENTRETIENS
Au seuil du silence,« Les chemins d’un auteur », entretien avec Christian Rome, in la revue « Chemins de traverse », N°43, pp. 1-14, décembre 2013
Entretien avec Benjamin Taïeb, in revue « La Voix du basilic », N° 47, pp. 2-4, mai 2014
Entretien avec Jean-Yves Casteldrouin, in site des éditions N & B (Noir et Blanc, Toulouse), février 2015
Entretiens avec Claire Desthomas-Demange, Radio Altitude (Clermont-Ferrand), 2 entretiens de 1 heure, enregistrés le 13 juin 2019.
Interview par Clémence Prot, pour Signature-Touraine, 15 mai 2020.
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VIII. LIVRES D’ARTISTES
Traits, spirales, pointillés, photos de Thierry Cardon, galerie La Métisse d’argile, Saint Hippolyte, 1998
Au regard du silence,photos de Pierre Fuentes, livre vertical, installation, in « L’Automnale de Vouvray », 2012
La belle, photo de Rieja van Aart, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 1er trim. 2013 (21 ex.)
Owakudani, image de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2013 (4 ex.)
Ne rien laisser que cendres, dessins de Jacques Riby, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex)
Arbre, vieil arbre, dessins de Setsuko Uno, éd. Les Cahiers du Museur, Collection « A côté », Nice, 2014 (21 ex)
Feuilles vives, la feuille de vigne, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feuilles vives, la feuille de figuier, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (6 ex.), Collection de la galerie La Boîte noire et Fonds livres d’artistes de la Médiathèque de La Riche
Feu et sang,dessins de Georges Badin, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Textures, dessin de Roselyne Guittier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Par la fenêtre du solstice,dessin de Roselyne Guittier, 2014, coll. privée
Dans la nuit de la voix, dessins de Jean-Gilles Badaire, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Au commencement était le silence, photo de M.-Christine Schrigen, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2014 (4 ex.)
Dans l’inexplicable présence, en collaboration avec Yves Ughes, dessins de Martin Miguel, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2015 (21 ex.)
Ce qu’il nous faut rendre à la nuit, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Ces puits qui veillent, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2016 (21 ex.)
Nuit trop lucide, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
D’entre silences, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Evidemment le bleu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Ombre du doigt de Dieu, dessins, monogravures et encres de Jean Luneau, 2016, coll. privée
Derniers faux pas, dessins de Yves Conte, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2016 (4 ex.)
Lettre morte, dessin de Jeannine Diaz-Aznar, « Du livre pauvre au Mail Art », médiathèque de Manosque, sept. 2016
Bassin-versant, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
Coup de grâce, dessins de Martin Miguel, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, Musée de la ville de Sète 2017 (4 ex.)
La brûlure a la couleur des lèvres, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Heureux… comme le migrant…, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Etes-vous libre ? Soyez dangereux (hommage à Claude Cahun), dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2017 (4 ex.)
Stylite, dessin de Patrice Delory (ex. unique), coll. privée, 2017
Mélancholia, gravure de Jean Luneau (ex. unique), coll. privée, févr. 2018
Aux lèvres du sommeil, dessins de Coco Texèdre, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Flamme et rose, dessins de Françoise Roullier, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Clamavis in deserto, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Au croc rouillé des siècles, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche 2018 (4 ex.)
Soleil levant, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, Collection de la galerie La Chapelle Sainte-Anne, La Riche, 2018 (4 ex.)
Drôle d’époque !, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Dans l’hospitalité du seuil, cyanotypes de Laurent Dubois, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2018 (10 ex.)
Pour balayer les cendres, dessins de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Rumeur de l’eau, dessins de Pascale Giraud Cauchy, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
A Hölderlin, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Faux jour, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2018 (4 ex.)
Ardeur, dessins de Geneviève Besse, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2019
L’âme est une eau heureuse I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse III, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
L’âme est une eau heureuse IV, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure I, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Embrasure II, encres de Paola Di Prima, 2019, coll. privée
Résonance, dessins de Paola Di Prima, 2019, coll. privée (2 ex.)
Miroir sans fond, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Mais là, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
La sentinelle, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2019 (4 ex.)
Dans le miroir des yeux, dessins de Muriel Astier-Lameignère, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Vers l’étoile du soir, peintures de Jean-Michel Marchetti, coffrets toilés contenant 5 textes + 5 peintures, éd. Les Cahiers du Museur, collection « Connivences », Nice, 2020 (14 ex. dont 4 ex. en tirages de tête contenant 1 texte manuscrit accompagné d’un dessin inédit de l’artiste)
Entre la flamme et l’ombre, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fête des morts, images de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Fujisan, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au pied du volcan, dessins de Michèle Vaucelle, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Le cri de la hulotte, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Cendre des jours, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Au sommeil du volcan, dessins de Patrice Delory, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
La chevêche Athéna, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
J’écoute le silence, dessins de Paola Di Prima, 2020, coll. privée (3 ex.)
Palimpseste, dessins de Setsuko Uno, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Phalène, dessins de Jeannine Diaz-Aznar, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Pulsation, dessins de Jean-Noël Bachès, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
L’œil écoute, peintures de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Matin, champ, photos de Jean-Michel Marchetti, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2020 (4 ex.)
Telle est la nuit, dessins de Paola Di Prima, 2021, coll. privée (2 ex.)
Quelque part dans l’inaccompli, encres de Paola Di Prima, éd. Les Cahiers du Museur, collection « A côté », Nice, 2021
Je vous écris I, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Je vous écris II, photos de Pierre Fuentes, Musée du livre pauvre du Prieuré de Saint-Cosme, La Riche, 2021 (4 ex.)
Horizons du temps, encres de Paola Di Prima, juil. 2023 (5 ex.)
Pierre du vent, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
Le livre de l’exode, dessins de Françoise Roullier, en projet, coll. privée (ex. unique)
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IX. CHRONIQUES ET NOTES DE LECTURE (publiées en revues)
Comme tremble le seuil, Eric Chassefière, éd. Alcyone (2024), in ce blog (sept. 2024)
Cousu, décousu, profil perdu, Françoise Le Bouar, éd. L’Herbe qui tremble (2024), in ce blog (sept. 2024)
Ombres abruptes, Eric Barbier, 538ème Encres Vives (2024), in ce blog (sept. 2024)
L’invention des couleurs, Isabelle Lévesque, Pierre Dhainaut, éd. L’Ail des ours, collection coquelicot (2024), in ce blog (août 2024), note publiée en in Diérèse N° 91 (automne 2024)
La Petite Plage, suivi de Brest, rivage de l’ailleurs, Marie-Hélène Prouteau, éd. La Part commune (2024), in ce blog (juillet 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Après la fin du monde, Requiem, Colette Klein, éd. Henry (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Terres de femmes (sept. 2024)
Mes anticorps, Jean-Pierre Otte, éd. Le Temps qu’il fait (2023), in ce blog (juin 2024), note de lecture à paraître in Diérèse N° 92
Epures du cri, Pierre Thibaud, éd. Alcyone (2024), in ce blog (juin 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91 (automne 2024)
Mont Ventoux, vues et variations, Angèle Paoli, Caroline François-Rubino, éd. Voix d’encre (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Poésibao (12 juin 2024)
Eveil trois fois, Pierre Dhainaut, éd. du Douayeul, coll. Les Carnets du Douayeul (2024), in ce blog (mai 2024), note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 113 (sept. 2024)
Patienter sous les nuages, Richard Rognet, éd. Gallimard Collection blanche (2024), in ce blog (mars 2024), note publiée in Poésie sur Seine N° 113 (sept. 2024)
Héritage du souffle, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note publiée in Terres de femmes (mai 2024)
Pays perpétuel, Gilles Lades, éd. Alcyone (2023), in ce blog (avril 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Vapeurs d’enfance, Michel Lamart, éd. Unicité (2023), in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 91
Quelques miettes tombées du poème, Jean-Pierre Boulic, éd. Les Cahiers d’Illador, in ce blog (mars 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Cet au-delà de l’ombre, Sabine Péglion, éd. L’Ail des ours, Collection Grand ours (2023), in ce blog (février 2024), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Emergences, Christophe Mahy, dessins de Jean-Marc Ehanno, éd. L’Herbe qui tremble (2023), in ce blog (novembre 2023), note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Je veux dire, Cyrille Latour, éd. Jacques Brémond (2023), in ce blog (nov. 2023), note publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
L’âpre beauté du paysage, Jeanne Bastide, éd. L’ail des ours (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Palermo, Eric Chassefière, éd. Rafaël de Surtis (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Retour sur écoute : , Pierre Dhainaut, éd. Le Bateau Fantôme (2023), in ce blog (octobre 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
L’empreinte Matala, Teo Libardo, Rosa canina éditions (2033), note de lecture in ce blog (août 2023), note publiée in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Lieux, Jean-Paul Bota, éd. Tarabuste (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée Place de la Sorbonne N° 13 (juin 2024)
La troisième voix, Isabelle Lévesque-Pierre Dhainaut, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (juillet 2023), note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023) et in Concerto pour marées et silence, revue, N° 17 (juin 2024)
Le ciel jaloux des roses, Alain Duault, éd. Gallimard (2023), in ce blog (juillet 2023) et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
Enraciné, Jean-Pierre Boulic, éd. La part commune (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Dans un nid de flammes, Richard Rognet, éd. L’herbe qui tremble (2023), in ce blog (mai 2023) et in Diérèse N° 88 (oct. 2023)
Un exil sans royaume(sur Camus et l’Algérie), texte à paraître dans un ouvrage collectif consacré à Albert Camus, in ce blog (mars 2023)
Un printemps sans fenêtre suivi de Réminiscences, Raymond Farina, éd. N&B (2022), in ce blog (mars 2023), et in Diérèse N° 87
Jardin des voix, Pierre Thibaud, éd. Parole et Silence (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 87
Clartés du soir, Jacques Robinet, éd. Unicité (2022), in ce blog (janv. 2023), et in Diérèse N° 89 (hiver-printemps 2024)
La mesure des murs, Colette Daviles-Estinès, éd. L’ail des ours (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Persévérance des brumes, Florence Saint-Roch, éd. Vincent Rougier (2022), in ce blog (déc. 2022), et in Diérèse N° 87
Images de l’éternel fleuve, à propos des peinture de Lena Nikcovic (en projet de publication dans un catalogue d’artiste, version française traduite en allemand) in ce blog (nov. 2022)
Le jardin d’absence, Eric Chassefière, éd. Sémaphore (2022), in ce blog (oct. 2022) et in Diérèse N° 86, janvier 2023
Dits de la pierre, Bernard Fournier, éd. La feuille de thé (2022), in ce blog (oct. 2022) et in [Terres de femmes, hiver 2023 ?]
Le réel est un poème métaphysique, Marie-Claude San Juan, éd. Unicité (2022), in ce blog (oct. 2022), et in Diérèse N° 88
A propos de Jean-Paul Bota, in ce blog ( janvier 2021) et in Diérèse N° 86, hiver 2022-23
Tu viens de là, Teo Libardo, éd. Musimot (2022), in ce blog (sept. 2022) et in Diérése N° 86, hiver 2022-23
Editorial, in Diérèse N° 85, octobre 2022
L’un seul, légendes, Geneviève Deplatière, éd. Unicité, Collection Le Vrai Lieu (2020), in ce blog (juin 2022) et in Diérèse N° 87
Le cerisier, Antoine Maine, éd. La chouette imprévue (2021), in ce blog (mai 2022) et in Diérèse N° 85, septembre 2022
A la cime des heures, Jean-Pierre Boulic, éd. L’enfance des arbres (2022), in ce blog (mars 2022) et in Diérèse N° 85, octobre 2022
Ouvrière durée, Gilles Lades, éd. Le Silence qui roule (2021), in ce blog, juin 2021, et in Terres de femmes, juin 2022
Capter l’indicible, Silvaine Arabo, éd. Rafael de Surtis (2021), in ce blog (mars 2022) et in Chemins de traverse N° 61, décembre 2022
D’ores et déjà, Daniel Martinez, éd. Les Deux Siciles (2021), in ce blog (mars 2022), sur le site Diérèse et les Deux Siciles, mars 2022, et in Chemins de traverse n° 60, juin 2022
Cahiers des chemins qui ne mènent pas, Jean-Louis Bernard, éd. Alcyone (2020), in ce blog (déc. 2020), et in Diérèse N° 83, janvier 2022
Bernard Fournier, Un chant d’innocence et de détresse, in ce blog (octobre 2021) et le n° 105 de Poésie sur Seine, janvier 2022
Ici, Pierre Dhainaut, éd. Arfuyen (2021), in ce blog, juin 2021, et in Concerto pour silence et marées, revue, N° 15, juin 2022
Conversations dans un jardin, nouvelles, Bernard Pignero, Encretoile éditions (2021), in blog (juin 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Statues-menhirs, Bernard Fournier, texte inédit, in ce blog, juin 2021
Le Bruit des nuits, Léon Bralda, Les éditions du Petit Pois, Collection Prime Abord (2021), in ce blog (mai 2021), et in Diérèse N° 82, octobre 2021
Ombres géométriques frôlées par le vent, Marie-Claude San Juan & Roland Chopard, éd. Unicité, Collection Images écrits (2020), in ce blog, mai 2021
La bonne vie, Jean-Pierre Otte, éd. Cactus inébranlable (2021), in ce blog (avril 2021) et dans in Diérèse N° 82, octobre 2021
L’Offrande des lieux – Jean-Pierre Boulic, éd. La Part commune (2021), in ce blog (avril 2021) et in Diérèse N° 82, octobre 2021
La cérémonie des inquiétudes, Alain Duault, éd. Gallimard (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Pour voix et flûte, Pierre Dhainault, éd. AEncrages & Co (2020), in ce blog, nov. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
La gloire des poussières, Raymond Farina, éd. Alcyone (2020), in ce blog, oct. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
A l’aube de la voix, poèmes de Léon Bralda, gravures de Lionel Balard, éd. Donner à voir (2020), in le site Terres de femmes, juin 2020
Quelques regards, textes de Bernard Noël, peintures de Jean-Michel Marchetti, éd. La Dragonne (2016), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 79, juin 2020
Aux sources de ta voix, poèmes de Léon Bralda, peintures de Hervé Chanassiol, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 46 (2020), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 80, printemps 2021
Dans la paix des tumultes, introduction à Alain Plouvier – Peintures, carnets, portraits, meubles, ouvrage consacré au peintre Alain Plouvier, auto-édition, automne 2021, in ce blog, janv. 2020
Hémon, suivi d’Antigone, Silences et Loin la langue, Bernard Fournier, éd. La Feuille de thé (2019), in ce blog, janv. 2020, et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
Ophélie d’Elseneur, Michel Passelergue, éd. Aspect (2019), in ce blog, janv. 2020, et et in Diérèse N° 78, printemps-été 2020
L’œil et l’instant, Pascale Alejandra, éd. Le phare du cousseix (2019), in ce blog, déc. 2019 et in Diérèse n° 78, printemps-été 2020
Sang d’encre, textes de Michèle Vaucelle, linogravures de M. Vaucelle, éd. Collodion (2019), in ce blog, déc. 2019, publié sur le site des éditions Collodion et in Diérèse n° 79, juin 2020
De la matière des rêves, à propos des images photographiques de Pierre Fuentes et de sa série Dans le repli des songes , in ce blog, nov. 2019 et pages face book
Chartres et environs, textes de Jean-Paul Bota, dessins de David Hébert, éd. des Vanneaux – Collection Carnets nomades (2019), in ce blog, nov. 2019 et Dièrèse n° 78, printemps-été 2020
La cendre grise pour demain, poèmes de Léon Bralda, photographies de Michel Coste, éd. Les Cahiers de l’Entour N° 38 (2019), in ce blog, oct. 2019, et Diérèse n° 80, printemps 2021
Pierrier, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2019), in ce blog, oct. 2019 et sur le site des éditions Musimot
Carnaval, textes de Jean-Luc Coudray, peintures de Jonathan Bougard, éd. du Petit Véhicule (2019), in ce blog, août 2019, et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Passants, Antoine Emaz, éd. Unes (2017), in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Les nuits échangées, Raphaële George, éd. Unes (2018), in in ce blog, août 2019 et Diérèse n° 77, automne-hiver 2019
Enquête sur un poète disparu – Jean-Jacques Mahet (2ème version), in ce blog, juillet 2019 et Dièrèse n° 77, automne-hiver 2019
A propos des photos de Rieja van Aart, in ce blog, mars 2019
De votre absence, Monique Lucchini, éd. Musimot (2019), in ce blog, févr. 2019 et sur le site des éditions Musimot
La prophétie des mouches, Brigitte Guilhot, éd. Jacques Flament (2019), in ce blog, févr. 2019
De sang, de nerfs et d’os, Patrice Blanc, éd. Le Contentieux (2018), in ce blog in ce blog, déc. 2018 et Diérèse n° 76, été 2019
La pièce du bas, Gilles Lades, éd. L’Etoile des Limites (2018), in ce blog, nov. 2018, et Diérèse n° 76, été 2019
Introduction à l’oeuvre poétique de Claude Cailleau, anthologie poétique, éd. du Petit Pavé (avril 2019)
Matrie, Colette Daviles-Estinès, éd. Henry, 2018, in ce blog, sept. 2018, le site de la revue Lichen, nov. 2018, et sur le site Volets ou vers, de C. Daviles-Estinès
Si loin est l’horizon, nouvelles, Anne Renault, éd. L’Harmattan (2019), in ce blog, août 2018
Car l’amour existe, Cyrille Latour, éd. de L’Amourier (2018), in Le Basilic (juin 2018), le site des éditions de L’Amourier et le site de C. Latour, mai 2018
Fragments d’une errance, texte pour une vidéo de Pierre Fuentes, in ce blog, avr. 2018
Le poème recommencé, Gilles Lades, éd. Alcyone (2018), in ce blog, avril 2018, Diérèse N° 74, hiver 2018, L’Iresuthe n° 45, sept. 2019, Chemins de traverse n° 54, été 2019, et le site de Radio occitania, 17 mai 2018
Debout, présents et vivants, Olivia Rolde, peintures, texte de catalogue, in le site d’Olivia Rolde, mars 2018
De la responsabilité du chroniqueur et de celle de l’auteur(e), in L’Iresuthe n° 45, sept. 2018
En territoires de l’incertitude, Patrice Delory, peintures, texte d’exposition, in ce blog, févr. 2018
Noir, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2017), in L’Iresuthe n° 43, août 2018, et sur le site des éditions Musimot
Requiem, Poème sans héros et autres poèmes, Anna Akhamatova, éd. Poésie/Gallimard (2014), in Les Cahiers de la rue Ventura N° 41, mars 2018
La nuit déborde, Jeanne Bastide, éd. de L’Amourier (2017), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 39, févr. 2018, sur le site des éditions de L’Amourier et sur le site Terres de femmes
Un bégaiement, Julien Bosc, éd. Cénomane (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura, n° 40, janv. 2018
Etre et avoir l’été, Charles Simond, éd. Musimot (2013), in ce blog, nov. 2107 et sur le site des éditions Musimot
Contre le désert, Alain Freixe, éd. de L’Amourier (2017), in le site des éditions de L’Amourier, et le site Terres de femmes, oct. 2017
Nouveau Roman & Théâtre nouveau, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 37, sept. 2017
Ma (dé)conversion au judaïsme, Benjamin Taiëb, éd. Lunatique (2107), coll. Lire debout, in ce blog, juin 2017
Mer intérieure, Raphaël Monticelli, éd. La Passe du vent (2011), in ce blog, juin 2017
Lettre au poète Claude Cailleau, in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et Les Cahiers de la rue Ventura n° 40, mai 2018
Le collier rouge, Jean-Christophe Rufin, éd. Gallimard (2014), in L’Iresuthe n° 41, juin 2017
Le Livre du désir, Léonard Cohen, éd. Le Cherche Midi, collection Points (2008), in ce blog, mai 2017
Les reflets du silence, Shoshana, éd. Musimot (2017), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017, et sur le site des éditions Musimot
Un dangereux plaisir, François Vallejo, éd. Viviane Hamy (2016), in L’Iresuthe n° 40, juin 2017, et sur le site de François Vallejo
Mécomptes de Noël, Gabriel Eugène Kopp, éd. de L’Ours Blanc (2016), in Chemins de traverse n° 50, juin 2017
Haïku – Anthologie du poème court japonais, éd. Poésie/Gallimard (2002), in ce blog, mai 2017
Je, tu, il, Claude Cailleau, éd. Tensing (2016), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 35, mai 2017
Un scarabée bruissant du rêve, Pascal Revault, éd. Musimot (2015), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, oct. 2016
Fantaisies, Bernard Henninger, éd. Blogger de Loire (2015), in ce blog et sur le site « Impulsions » de B. Henninger, oct. 2016
Allant vers et autres escales, Colette Daviles-Estinès, éd. de L’Aigrette (2016), in ce blog et sur le site « Volets ou vers » de C. D.-Estinès, oct. 2016
Une étude sur Alain Borne, in Les Cahiers de la rue Ventura n° 33, sept. 2016
Jésus l’apocryphe, Jean-Luc Coudray, éd. de L’Amourier (2016), in Chemins de traverse n° 49, déc. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
Quête du nom, Alain Guillard, éd. de L’Amourier (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site des éditions de L’Amourier
L’aube a un goût de cerise, Raymond Alcovère, éd. N&B (2016), in L’Iresuthe n° 38, sept. 2016, et sur le site de Raymond Alcovère
Carnets de montagne, Claire Desthomas-Demange, éd. Musimot (2016), in ce blog et le site des éditions Musimot, juin 2016
Insinuations sur fond de pluie, Javier Vicedo Alos, éd. Fondencre (2015), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
L’Histoire de la brume, Stuart Dybek, éd. Siloé (2008), in Chemins de traverse n° 48, juin 2016
Shitao et Cézanne, une même expérience spirituelle, Charles Juliet, éd. L’Echoppe (2008), in ce blog, mars 2016
Les Admirés, Daniel Berghezan, éd. Musimot (2016), in ce blog et sur le site des éditions Musimot, mars 2016
La Morasse, Jean Forestier, éd. Edilivre (2016), in L’Iresuthe n° 38, 2015
Il n’est plus d’étrangers, Catherine Leblanc, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 37, 2015, et sur le site des éditions de L’Amourier
Comme une corde prête à rompre, Bernard Giusti, éd. de L’Ours Blanc (2007), in Chemins de traverse n° 47, 2015
Bribes, Raphaël Monticelli, éd. de L’Amourier (2015), in ce blog, déc. 2015
La côte sauvage, Jean-René Huguenin, éd. Points-Seuil (rééd.), in Les Cahiers de la rue Ventura n° 30, déc. 2015
Enquête sur un poète disparu, Jean-Jacques Mahet, éd. Les Paragraphes littéraires de Paris (1976), in L’Iresuthe n° 35, déc. 2015, sur le site de L’Anacoluthe et in Dièrèse n° 77 (version mise à jour du texte)
Alain Borne – En une seuleinjure, éd. Editinter (2002), in ce blog, nov. 2015
Treize – Indociles, Alain Borne, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
Cette roue qui nous emporte, Jean-Pierre Schamber, éd. Fondencre (2008), in ce blog, nov. 2015
A un jour de la source, Françoise Oriot, éd. de L’Amourier (2015), in L’Iresuthe n° 36, 2015, sur le site des éditions de L’Amourier, sur le site Terres de femmes et Talentpaper blog
J’ailleurs, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog et sur le site des éditions SKA, juil. 2015
La peau sur les mots, Brigitte Guilhot, éd. SKA (2015), in ce blog, juil. 2015
Le pays que je te ferai voir, Michel Séonnet, éd. de L’Amourier (2014), in L’Iresuthe n° 33, 2014, et sur le site des éditions de L’Amourier
Un an de noyaux de cerises, Sylvie Azéma-Prolonge, éd. Relink (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Soluble, Brigitte Guilhot, éd. de L’Ours Blanc (2014), in Chemins de traverse n° 45, déc. 2014
Autour de quelques tableaux de Thierry Dussac, in ce blog, sept. 2014
Les petites pièces rapportées, Eve de Laudec, éd. Chum (2014), in ce blog et sur le site « L’Emplume et l’écrié » d’E. de Laudec, sept. 2014
La nouvelle came, Audrey Terrisse, éd. BoD (2013), in ce blog, oct. 2014
Les bois levés de Thierry Cardon, in le recueil Cristaux de nuit (éd. de L’Ours Blanc, 2013), mai 2013
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X. NOUVELLES ET TEXTES POÉTIQUES PUBLIÉS EN REVUES (ou sites et blogs)
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), publiés in Lichen N° 100, septembre 2024
5 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), publiés in Poésie sur Seine N° 113, septembre 2024
7 poèmes extraits de « Entre l’énigme et l’évidence », publiés in A l’index N° 49, sept. 2024
4 poèmes extraits de « Embrasure » (recueil inédit), à paraître in le prochain N° de Concerto pour marées et silence, revue
4 poèmes extraits de « Traverser l’obscur », in Chemins de traverse N° 64, pp. 24-25, juin 2024
Eloge des eaux murmurantes, 2 extraits publiés in Terres de femmes, mars 2024
Un petit théâtre de ruines, nouvelle, in Diérèse N° 88, automne 2023
Fragments d’une errance, extrait de « Traverser l’obscur » (recueil publié en 2024), in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », février 2023
Comme une porte au vent, à Alejandra Pizarnik, in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », juin 2022
Pierre du vent, in Diérèse N° 85, septembre 2022
2 poèmes extraits de « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, juillet 2022
2 poèmes extraits de la série « Arbre(s) », in Terre à ciel (anthologie sur le thème « Rencontrer »), juin 2022
3 poèmes extraits de « Offrandes », in le N° 15 de Concerto pour marées et silence, revue, juin 2022
Je t’écris du plus loin de moi-même, nouvelle, in Diérèse N° 83, janv-févr 2022
« Nésdu confinement », 5 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Diérèse N° 81, automne 2021
3 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Concerto pour marées et silence (revue dirigée par Colette Klein) N° 14, juin 2021
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in Recours au poème, mai 2021
1 poème extrait de « Quelque part la lumière pleut », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », mai 2021
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Diérèse N° 80, printemps 2021
4 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Saraswati N° 16, printemps 2021
Le livre de l’exil, in Chemins de traverse N° 57, mai 2021
1 poème extrait de « Offrandes », in anthologie Terre à ciel, janvier 2021
3 poèmes extraits de « Au risque de la lumière », in le site de Raphaël Monticelli, « Bribes en lignes », décembre 2020
6 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut« , in Arpa N° 129-130 (thème « Naître au monde »), automne 2020
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in Chemins de traverse N° 56, pp. 8-10, juin 2020
2 poèmes extraits durecueil « Quelque part la lumière pleut« , in le site de Raphaël Monticelli, Bribes en lignes, mai 2020
2 poèmes extraits du recueil « Quelque part la lumière pleut », in le site de Daniel Martinez, Diérèse et les deux Siciles, 28 mars 2020
1 poème extrait du recueil « Quelque part la lumière pleut », in la page Facebook de Silvaine Arabo, mars 2020
Fragments d’une errance, in L’iresuthe N° 46, pp. 5-7, hiver 2020
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in Chemins de traverse N° 55, pp. 8-10, décembre 2019
5 textes extraits de la suite « Sous l’étoile Absinthe », in Arpa N°127, pp. 43-46, sept. 2019
Vers le désert, nouvelle, in Diérèse N° 76, été 2019
6 poèmes extraits du recueil « Lignes de crête« , in site des éditions Alcyone, février 2019
1 poème extrait du recueil « Lignes de crête », in Terres de femmes, février 2019
« Comme vont ces chemins », 2 poèmes inédits, in L’Iresuthe N° 44, p. 38, hiver 2019
Poèmes et proses poétiques, in Lichen N° 5, 6, 7, 8, 12, 13, 14, 15, 17, 18, 20, 23, 27, 34, 35, 36, 37, 57, 60, 61, 62, 63
« Alep », in Chemins de traverse N° 52, p. 15, décembre 2018
« Trois histoires d’anges », extraits du recueil « Bassin versant », in L’Iresuthe N° 42, pp. 41-44, hiver 2018
« Inverser le regard », poème, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 11, 1er trim. 2018
Extrait de la préface au recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 39, p. 10, 1er trim. 2018
2 textes extraits du recueil « Bassin versant », in L’Herbe folle N° 9, mai 2017
« Trois courts hommages », extraits du recueil « Lignes de crête », in L’Iresuthe N° 41, pp. 38-40, automne 2017
1 poème sans titre, in Poésie/première N° 68, p. 89,sept. 2017
« Ce qui gouverne le silence », 2 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Ecrit(s) du Nord N° 31-32, sept. 2017
« Au clou rouillé du soir », texte extrait du recueil « Bassin versant », in site Emmila Gitana, 23 septembre 2017
« Certains jours de partage… », texte extrait du recueil « Cristaux de nuit », in site Emmila Gitana, 4 août 2017
2 poèmes sans titre, in L’Herbe folle N° 7, janvier 2017
1 poème extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Poésie/première N° 65, p. 82, oct. 2016
5 textes extraits du recueil « Comme un chemin qui s’ouvre », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 32, pp. 37-39, juin 2016
« Fragments d’un carnet d’hiver », extraits du recueil « Fêlure », in L’Iresuthe N° 37, pp. 42-47, printemps-été 2016
Vers le désert, nouvelle, in L’Iresuthe N° 32, pp. 6-9, hiver 2015
4 textes extraits de « Sans titre 2, Approches du visage », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 27, pp. 30-32, 1er trim. 2015
Dites-moi une chose, une seule, nouvelle, in L’Iresuthe N° 31, pp. 11-18, automne 2014
Des désagréments de la poésie, nouvelle, in L’Iresuthe N° 30, pp. 4-9, été 2014
Dernières nouvelles du printemps, nouvelle, in L’Iresuthe N° 26, pp. 2-10, hiver 2013
« Treize stèles et une pierre blanche »,extraits du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 43, pp. 12-13, décembre 2013
« Lettre à Pénélope », extrait du recueil « Le verger abandonné », in L’Iresuthe N° 28, pp. 5-8, automne 2013
10 textes extraits de « Né de la déchirure », in Les Cahiers de la rue Ventura N° 20, pp. 24-28, juin 2013
« Scénario pour la fin d’un monde », extrait du recueil « Le Cœur endurant », in Chemins de traverse N° 42, pp. 15-17, juin 2013
L’Invitation, nouvelle, in L’Iresuthe N° 25, pp. 24-30, automne-hiver 2012
« Chemins de crête », extrait du recueil « Séparations », nouvelle, in Chemins de traverse N° 41, pp. .18-20, décembre 2012
« Arbre, vieil arbre », in La voix du Basilic N° 10, p. 5, mai 2012
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XI. ARTICLES ET AUTRES TEXTES CONSACRÉS AUX OUVRAGES DE MICHEL DIAZ (cf » Revue de presse »)
Marie-Claude San Juan, Traverser l’obscur, note de lecture ) paraître in Dièrèse N° 92
Marc Wetzel, Les Entrefaits – Le quatuor d’Arnal, note de lectureà paraître
Thierry Corneau, Les Entrefaits – Le quatuor d’Arnal, note de lecture publiée in le site Le lorgnon mélancolique (oct. 2024)
Eric Chassefière, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Francopolis (septembre 2024)
Marie-Claude San Juan, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Trames nomades (juillet 2024)
Marie-Christine Guidon, Traverser l’obscur, note de lecture publiée in ……
Jean-Pierre Boulic, Traverser l’obscur, note de lecture à paraître dans un prochain numéro d’Arpa
Jean-Louis Bernard, L’Ecriture essentielle, texte publié in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024), introduction au dossier consacré à Michel Diaz
Jean-Louis Bernard, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Terres de femmes (avril 2024)
Marie-Christine Guidon, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Arts et poésie de Touraine (avril 2024)
Bernard Fournier, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 112 (avril 2024)
Jean-Pierre Boulic, Eloge des eaux murmurantes, note de lecture publiée in Diérèse N° 90 (été 2024)
Antoine de Matharel, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 (décembre 2023)
Marie-Claude Sans Juan, à propos de ma recension sur son recueil Le réel est un poème métaphysique, in Diérèse N° 88, automne 2023
Gilles Lades, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Verso N° 186
Jean-Louis Bernard, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Concerto pour marées et silence, revue N° 17 (juin 2024)
Jean-Pierre Boulic, Au risque de la lumière, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 111 et in Diérèse N° 90 (été 2024)
Marie-Claude San Juan, notes de lecture sur des articles parus dans deux numéros de Diérèse (85, 86), in « Trames nomades » (18/08/2023)
Jean-Pierre Boulic, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Poésie sur Seine N° 110 (septembre 2023)
Eric Chassefière, Sous l’étoile du jour, note de lecture publiée in Diérèse N° 88 (automne 2023)
Michel Passelergue, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Pierre Dhainaut, Sous l’étoile du jour, note de lecture in correspondance privée (mai 2023)
Bernard Fournier, Sous l’étoile du jour, note de lecture in Poésie/première (sept. 2023)
Alain Freixe, Sous l’étoile du jour, note de lecture, in Terres de femmes (juillet 2023)
Jean-Louis Bernard,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Concerto pour marées et silence, revue, N° 16-2023
Gérard Bocholier,Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Arpa N° 137-138
Gilles Lades, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Verso N° 191
Armelle Chichit, Le verger abandonné, note de lecture, in Verso N° 190
Jean-Pierre Boulic, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Diérèse N° 85 -septembre 2022)
Marie-Claude San Juan, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Trames nomades (mai 2022) et in revue A l’index, N° 46 (mars 2023)
Bernard Fournier, Quelque part la lumière pleut, note de lecture, in Poésie/première N° 82 (mai 2022)
Pierre Dhainaut, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Michel Passelergue, Quelque part la lumière pleut, impressions de lecture, in ce blog, mars 2022
Marie-Claude San Juan, « Le verger abandonné », de Michel Diaz. Ulysse errant choisissant le non-retour, ou l’ascèse d’écriture et d’être, en récit métaphysique…, in Trames nomades, décembre 2021
Bernard Fournier, La source, le poème, impressions de lecture, in ce blog, « Principaux ouvrages publiés, juin 2021
Jean-Paul Bota, Le Verger abandonné, note de lecture, in Diérèse N° 80 (mai 2021)
Bernard Fournier, Le Verger abandonné, note de lecture, in Poésie/première N° 79 (printemps 2021)
Marie-Claude San Juan, Lignes de crête, in le site des éditions Alcyone et le site Trames nomades, avril 2021
Marie-Claude San Juan, Les saisons en poésie (à propos des textes publiés in Saraswati N° 16), in le site Trames nomades (2021).
Brigitte Guilhot, Le petit train des gueules cassées, in le blog de L’Ours blanc, février 2021
Michel Passelergue, Le Verger abandonné, in Diérèse N° 80 (Hiver-printemps 2021)
Silvaine Arabo, Le Verger abandonné, in Sawasrati N° 16 (2021)
Eric Barbier, Né de la déchirure, in Diérèse N° 79 (octobre 2020)
Angèle Paoli, « Un chant nouveau de la disparition », Le Verger abandonné, in Terres de femmes, septembre 2020
Lionel Balard, Le verger abandonné, septembre 2020
Jean-Pierre Boulic, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Le verger abandonné, septembre 2020
Philippe Boutibonnes, Le verger abandonné, septembre 2020
Michel Passelergue, Fêlure, courrier du 13/08/2020
Gilles Lades, « Deux voies de l’infini », à propos de Né de la déchirure, juillet 2020
Daniel Leuwers, « Offrandes et contre-offrandes », préface à Offrandes-Olivia Rolde, éd. Thi Lùu, 2020
Gérard Bocholier, Lignes de crête & Comme un chemin qui s’ouvre, in Arpa N° 127
David Le Breton, « L’aspiration à l’absence », préface au Verger abandonné, éd. Musimot, 2020
Eric Barbier, Comme un chemin qui s’ouvre, in Diérèse N° 76, juin 2019
Fanny Guiné, « Michel Diaz reçoit le prix francophone de poésie Amélie-Murat à Clermont-Ferrand », in La Montagne, 14 juin 2019
Claire Demange, Bassin versant, présentation de l’ouvrage à l’occasion de la remise à l’auteur du prix de poésie Amélie-Murat, 12 juin 2019
Angèle Paoli, « Dans la complicité des arbres et la confidence du fleuve », Comme un chemin qui s’ouvre, in Terres de femmes, mai 2019
Alain Freixe, Comme un chemin qui s’ouvre, in Le Basilic, mai 2019
(Non signé) « Regards poétiques de Diaz et Luneau », in La Nouvelle République, 25 octobre 2018
Jean-Marie Alfroy, préface à Bassin versant, éd. Musimot, 2018
Philippe Fréchet, Bassin versant, in Lichen N° 27, juin 2019
Valérie Canat de Chizy, Fêlure, in Verso N° 171, janvier 2019
(Non signé) « Au Printemps des poètes-Château de Mosny », in La Nouvelle République, 04 mars 2018
Bernard Henninger, Fêlure, in blog Lire au Centre (FR3 Centre), 19 janvier 2018
Jean-Marie Alfroy, Fêlure, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 38, déc. 2017
Jean-Claude Vallejo, Un navire de papier, in L’Iresuthe N° 41, automne 2017
(Non signé) Un navire de papier, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Laurent Dubois, Fêlure & Le cœur endurant, in Les Cahiers de la rue Ventura N° 37, sept. 2017
Gabriel Eugène Kopp,Fêlure & le Cœur endurant, in Chemins de traverse N° 50, juin 2017
Raymond Alcovère, Fêlure & Le cœur endurant, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
Claire Desthomas-Demange,Fêlure, in site des éd. Musimot, janvier 2017
Jean-Claude Vallejo, Fêlure, in L’Iresuthe N° 39, janvier 2017
(Non signé) « Expo-dédicaces », Archéologie d’un imaginaire – un peintre, Alain Plouvier, in La Nouvelle République, 02 décembre 2015
Renaud Marot, Né de la déchirure, in Réponses photo N° 280, juillet 2015
Raphaël Monticelli, « Oraison des suaires », préface à Né de la déchirure, éd. Cénomane, 2015, in le site Bribes en ligne (partie « Les rossignols du crocheteur »)
(Non signé) « Le Printemps des poètes à Mosny », Arbre(s), in La Nouvelle République, 26 mars 2015
Brigitte Guilhot, Le Gardien du silence, in site des éd. L’Amourier, avril 2014
(Non signé) « Les visages de nuit de Laurent Bouro », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 22 octobre 2014
(Non signé) « Visages et masques », Sans titre 2-Approches du visage, in La Nouvelle République, 28 septembre 2014
Agathe Place, préface à Sans titre 2-Approches du visage, éditions Label Martin-Decrouy, 2014
Jean-Claude Vallejo, Le Gardien du silence, in L’Iresuthe N° 31, septembre 2014
Bernadette Griot, Le Gardien du silence, lettre d’info de L’Amourier, septembre 2013
Martin de Crouy, note liminaire à Aux passants que nous sommes, éd. Christian Pirot, 2013
Bernard Henninger, Cristaux de nuit, in Lumières de la poésie (FR3 Centre), 25 août 2013
Marie Gosselin, Juste au-delà des yeux, in La Nouvelle République, 27 juillet 2013
Laurent Dubois, préface à Juste au-delà des yeux, éd. Christian Pirot, 2013
Marie-Jo Freixe, A deux doigts du paradis, in Le Basilic N° 21, mai 2012
Léa Morillon, « Une vie d’écrivain », A deux doigts du paradis, in La Nouvelle République, 9 mai 2012
(Non signé) « Loire, lits profonds », bois levés de Th. Cardon, in Les Carnets d’Eucharis N° 20, mai 2010
Dominique Rezeau, Séparations, in Cahiers de la Littérature belge et francophone, janvier 2010
Marie Lansade, Séparations, in Parallèles N° 10, déc.-janvier 2010
Pierre Imbert, Séparations, in La Nouvelle République, 27 octobre 2009
Christian Massé, Séparations, in Reflets du Temps, février 2013
Thierry Guichard, « Au bonheur des cheminots », Atelier des silences, in Le Matricule des Anges, nov.-décembre 1997
Brigitte Scarella, « Les ateliers assoupis de Saint-Pierre-des-Corps », Atelier des silences, in La vie du rail, 4 juin 1997
Jacqueline Hafidi, Atelier des silences, in Le nouveau Ligérien N° 17, été 1997
Jean Olivieri, « Michel Diaz dans la cour des grands », Le dépôt des locomotives, in La Nouvelle République, 25 mars 1989
Bruno Villien, « La dernière nuit de Michel Diaz », Le dépôt des locomotives, in Le Nouvel Observateur, 16 février 1989
A. H.,Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 13 mars 1989
Bernard Thomas, « Un solide petit train », Le dépôt des locomotives, in Le Canard enchaîné, 8 mars 1989
Agnès Dahard, « Maria Casares prend encore des risques », Le dépôt deslocomotives, in Le Parisien Libéré, 21 février 1989
Mario Thébaud, Le dépôt des locomotives, in Le Figaro, 21 février 1989
(Non signé) « Maria Casares défend un jeune auteur », Le dépôt des locomotives, in Le Quotidien de Paris, 20 février 1989
D. M.,Le dépôt des locomotives, in La Croix, 8 mars 1989
Georges Vitaly, préface au Dépôt des locomotives, éd. Jean-Michel Place, 1989
(Non signé) « Les bruits de la guerre », L’Insurrection, in Libération, 4 novembre 1986
Th. H.,L’Insurrection, in La Libre Belgique, 30 novembre 1986
André Alter, L’Insurrection, in Télérama, 30 octobre 1986
(Non signé) « Convergences », in La Nouvelle République, 2 décembre 1981
Pierre Favre, « On aurait aimé y mordre », Le Verbe et l’hameçon, La Nouvelle République, 15 décembre 1977
Contacts :
micheldiaz.md@orange.fr
www.michel-diaz.com
cf. site des éditions Alcyone
cf. site des éditions L’Amourier
cf. site des éditions Musimot
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