Le samedi 2 juillet 2016,
je serai à la galerie La Cravantaise
où je ferai, à 18 h., une lecture des extraits de l’ouvrage Né de la déchirure.
Je serai heureux de vous y accueillir.
Le samedi 2 juillet 2016,
je serai à la galerie La Cravantaise
où je ferai, à 18 h., une lecture des extraits de l’ouvrage Né de la déchirure.
Je serai heureux de vous y accueillir.
A l’occasion de l’exposition des cyanotypes de Laurent Dubois, à la médiathèque de La Riche, je ferai, le vendredi 20 mai, à 19 h., une lecture d’extraits de l’ouvrage, « Né de la déchirure », que nous avons publié aux éditions Cénomane.
Médiathèque du Mans : vendredi 18 mars, à 18 h, lecture d’extraits de l’ouvrage « Né de la déchirure », suivie d’une dédicace.
Dans le cadre de la manifestation LE BOUCAN DES ARTS,
je serai à Lavaré (Sarthe), le samedi 5 septembre 2015 où, à 14h,
dans l’église du village où seront aussi exposés des cyanotypes de Laurent Dubois,
je ferai une lecture des extraits de l’ouvrage Né de la déchirure, publié aux éditions Cénomane.
J’aurais plaisir à vous y rencontrer.
Michel Diaz
NÉ DE LA DÉCHIRURE : Cyanotypes de Laurent Dubois, texte de Michel Diaz.
Préface de Raphaël Monticelli
– Editions Cénomane – Mai 2015.
« Ce livre nous parle d’arbres abattus. Deux voix en dialogue : celle du photographe, Laurent Dubois, et celle du poète, Michel Diaz. Laurent Dubois a approché leurs restes: corps meurtris, déchirés, démembrés, morcelés, veines à vif. Il n’a usé d’aucun artifice, n’a pas sacrifié au goût de l’instantané et de la surprise. Sans mise en scène, il a fait, lentement, le portrait des arbres désolés.
Dans les suaires de Laurent Dubois, Michel Diaz découvre non seulement le corps meurtri des arbres, mais tout ce dont ce corps est porteur: la terre où il s’ancre, l’eau qu’il aspire depuis les gouttes, flaques ou mares jusqu’aux mers et aux océans, et le ciel que vont habiter ses branches. On entre dans le bleu, dit-il, comme on confie sa voix au vent. Dans l’image de l’arbre livré au fer de l’abattage, dans les œuvres de Laurent Dubois, il reconnaît cet espace où s’exorbite la pensée, vers l’infini du bleu où elle s’enfonce en nageant , un édifice mouvant bâti sur un abîme, (…) qui nous lave de l’effroi risible du silence, et où se joue l’énigme insondable de notre propre vie.
Images et textes sont ici liés comme on le voit rarement, dans la lenteur, la précaution ou la suspension.
Ils proposent une double méditation sur notre présence au monde: éphémère dans sa réalité physique, défiant ou méprisant le temps quand montent le bleu et le chant. »
Extraits de la préface de Raphaël Monticelli.
Extraits du texte :
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