PEU DE CHOSES
Lorsque l’océan s’éloigne
Sur le rivage respire
Un frais parfum de varechs
Sur le banc bleu écaillé
Des songes vient se poser
Le vent infini du large
Alors qu’il laisse ses ailes
Éclore en souffle de vie
On voit s’élancer l’oiseau
Jusqu’à cet inaccessible
Des nuages du ponant.