Tu sais que la nuit entre un peu plus sous ta peau
à chaque tour de sablier.
Le sang qui affleure à tes tempes
menace de fleurir.
La marée,
insensible à ta solitude,
n’en continue pas moins de héler la mort à coups de butoir.
La pièce commencera plus tard.
Sans toi.
Sans même le souvenir de toi.